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CALENDRIER 2015 des grandes expositions à Paris

lundi 6 mai 2019, par Expositions

Peu à peu la programmation des expositions 2015 de Paris s’esquisse et les rendez-vous s’accumulent. Peut-être y aura-t-il encore des revirements de dernière minute, ou quelques ajustement... Merci de votre indulgence... et de vos enrichissements.

Une année 2015 richissime en événements culturels pour tous les goûts : Vélasquez, Bowie à l’ouverture du Philharmonie, Jean Paul Gaultier, Le Corbusier, Anish Kapoor, les Frères Lumière, Harry Potter à Saint-Denis, la Photographie, Poussin, le Baiser dans l’art, Cherchez le garçon, les Tudors, Piaf... et je ne vous dis pas tout, loin de là !


Accès rapide : Expositions commencées en 2014 - Expositions commençant en 2015 : Janvier - Février - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Août - Septembre - Octobre - Novembre - Décembre


Nous vous indiquons les grandes expositions qui auront lieu en 2015 à Paris. Des confirmations, précisions et détails viendront certainement encore en leur temps, et nécessiteront les inévitables mises à jour... qui ont fait notre réputation. Si vous disposez d’informations complémentaires de votre côté, n’hésitez pas à nous les transmettre.

Vous avez, dans cet article, les expositions classées date à date, en calendrier, comme nous l’avions fait en 2014, 2013, ou 2012... et nous vous les présentons aussi par ordre alphabétique (Paris 2015. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z), comme nous l’avions fait aussi en 2014, 2013, et en 2012, pour vous permettre à la fois d’y retrouver plus facilement vos domaines de prédilection et vos préférences, mais aussi pour vous tenter sur d’autres sujets, vous faire découvrir d’autres talents, de nouvelles émotions.

Nous vous indiquons également chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et.... nos préférences, car on ne se refait pas : LA SEMAINE des expositions, musées, et galeries : que faire à Paris...

Début 2015, l’année 2014 sera encore pour partie en cours, alors que déjà les premiers feux de la programmation de la nouvelle année nous parviennent en rangs serrés... Tout cela paraît prometteur et nous lui souhaitons d’ores et déjà "bon vent !"

Sur le plan des événements culturels, Paris est vraiment une ville formidable !

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NOUVEAU. Voir en fin d’article les programmations des principales villes de province.

Et juste quelques expositions 2015 pour certaines villes d’Europe : Bruxelles, Genève, Bâle, Amsterdam, Londres, Madrid, Milan, et Venise.

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Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons au fur et à mesure de leur publication notre sélection des catalogues d’expositions 2015, comme nous l’avions fait les années précédentes : 2014 2013, 2012. Voir aussi : www.laffairedescatalogues.org.

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**Expositions commencées en 2014 et se prolongeant en 2015**

 Du 8 avril 2014 au 4 janvier 2015. Art robotique : une exposition monumentale. À la Citè des sciences et de l’industrie

 Du 25 octobre 2014 au 4 janvier 2015. Paul McCarthy. Chocolate Factory, à l’ Hôtel de la Monnaie . Un farceur en chocolat pour la ré-ouverture de la Monnaie !

 Du 17 septembre 2014 au 4 janvier 2015. Sous le vent de l’Art brut 2 : la collection De Stadshof, à la Halle Saint Pierre . Des pièces de la collection De Stadshof.

 Du 15 octobre 2014 au 4 janvier 2015. Baccarat, le cristal-roi, au Petit Palais. 250 ans d’existence et 500 chefs-d’œuvre.

Vues intérieures de la maison de Frank Gehry à Santa Monica (1977-1978)

 Du 8 octobre 2014 au 5 janvier 2015. Frank Gehry, au Centre Pompidou, Galerie Sud, Niveau 1.

 Du 17 septembre 2014 au 5 janvier 2015. Émile Bernard. La peinture en colère, au musée de l’Orangerie .

 Du 24 septembre 2014 au 5 janvier 2015. Marcel Duchamp, la peinture même. 1910-1923 au Centre Pompidou, Galerie 2 Niveau 6.

Gageure ou paradoxe : une centaine de toiles et dessins de celui qui voulait tuer la peinture, avec des œuvres entrées dans l’histoire, comme Nu descendant l’escalier, Le Grand Verre, ou La Mariée mise à nu par ses célibataires, même. Pour quelles raisons alors dupliquait-il ces œuvres dans sa Boîte-en-valise ? Et pourquoi s’appliquait-il ainsi à ce qu’elles soient chez un nombre restreint de collectionneurs ? Un événement en perspective...


 Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Mè lanie Matranga, au Palais de Tokyo.

Vue de l’exposition de Mélanie Matranga, å å¤ [FANFU], Palais de Tokyo (21.10 2015 – 10.01 2016). Photo : Aurélien Mole. Courtesy de l’artiste & Karma International (Zurich)

Importante exposition personnelle de l’œuvre de cette artiste française, nè e en 1985, vivant et travaillant à Paris.

Plusieurs environnements, plusieurs moments sont créés grâ‚ce à un ensemble conséquent d’images, de sculptures et d’è lè ments d’architecture.

 Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Ragnar Kjartansson, seul celui qui connaiÌ‚t le dè sir, au Palais de Tokyo.

 Du 2 octobre 2014 au 11 janvier 2015. Kâma-Sûtra : spiritualité et érotisme dans l’art indien, à la Pinacothèque. .

 Du 19 septembre 2014 au 11 janvier 2015. Le Japon au fil des saisons, au musée Cernuschi.

 Du 20 octobre 2014 au 11 janvier 2015. Inside. Exposition collective, au Palais de Tokyo.

 Du 20 octobre 2014 au 11 janvier 2015. David Maljkovic, au Palais de Tokyo.

 Du 8 octobre 2014 au 11 janvier 2015. Saint Louis, à la Conciergerie . Les différents aspects du règne de ce roi de France, né il y a 800 ans.

 Du 15 octobre 2014 au 12 janvier 2015. Robert Delaunay. Rythmes sans fin, au Centre Pompidou, Galerie du musée, Niveau 4.

Peintures, dessins, reliefs, mosaïques, maquettes, photographies... Près de 80 œuvres du maître de la "peinture pure", et le plus bel ensemble au monde, grâce à la donation de 1964 de Sonia et de leur fils Charles.

 Du 1er décembre 2014 au 13 janvier 2015. Hokusai, partie 2, aux Galeries Nationales du Grand Palais.

 Du 15 novembre 2014 au 15 janvier 2015. Toute photographie fait énigme, à la Maison européenne de la photographie.

 Du 18 octobre 2014 au 18 janvier 2015. Collection abcd / Bruno Decharme, à La Maison rouge. Une sélection d’œuvres d’art brut tirée de la plus importante collection du monde.

 Du 18 septembre 2014 au 18 janvier 2015. Impression, soleil levant. L’histoire vraie du chef-d’œuvre de Monet, au musée Marmottan.


 Du 1er octobre 2014 au 18 janvier 2015. Hokusai (1760-1849), aux Galeries Nationales du Grand Palais.

Katsushika Hokusai (1760 -1849), Choshi dans la province de Chiba (dè tail), Sè rie des Mille images de la mer, estampe, 18,2 x 19 cm, Paris, Musè e national des arts asiatiques - musè e Guimet © Rmn-Grand Palais (musè e Guimet, Paris) / Thierry Olivier

 Du 26 septembre 2014 au 18 janvier 2015. Sade : marquis de l’ombre et prince des lumières. L’éventail des libertinages du XVIe au XXe siècle, à l’ Institut des Lettres & Manuscrits .

Avec, en pièce-maîtresse de cette exposition, le manuscrit original des Cent vingt journées de Sodome du Marquis de Sade, pour la première fois, dévoilé au grand public.

 Du 11 octobre 2014 au 18 janvier 2015. La Fabrique du romantisme. Charles Nodier et les voyages pittoresques, au musée de la Vie romantique .

 Du 12 septembre 2014 au 19 janvier 2015. Le Pérugin, maître de Raphaël et de la Renaissance, au musée Jacquemart-André.

Le Pérugin (1450-1523), connu pour l’influence qu’il exerça sur le jeune Raphaël, fut avant tout un peintre novateur qui inventa une nouvelle manière de peindre que Raphaël allait propagé à travers l’Europe entière.

 Du 16 octobre 2014 au 19 janvier 2015. Le Grand Maroc médiéval, au musée du Louvre.

 Du 8 octobre 2014 au 25 janvier 2015. François Truffaut, à la Cinémathèque française.

 Du 17 septembre 2014 au 25 janvier 2015. Roman Vishniac. De Berlin à New-York, 1920-1975, au Mahj. Une centaine d’images inédites de ce photographe humaniste témoin du judaïsme est-européen.

 Du 17 septembre 2014 au 25 janvier 2015. Nira Pereg. Abraham Abraham // Sarah Sarah, au Mahj. Films de "changements de mains". Comment le tombeau des Patriarches d’Hébron, lieu religieux, est alternativement juif ou musulman.

 Du 15 octobre 2014 au 25 janvier 2015. Vu du Front. Représenter la Grande Guerre, au musée de l’Armée - Hôtel des Invalides.

 Du 12 novembre 2014 au 25 janvier 2015. Toute photographie fait énigme, à la Maison européenne de la photographie.

 Du 10 décembre 2014 au 25 janvier 2015. Raed Bawayah. Empreintes de passage, et Démosthènes Davvetas. Photo-graphies, à la Maison européenne de la Photographie .

 Du 14 octobre 2014 au 28 janvier 2015. Attaquer le soleil. Hommage au marquis de Sade, au musée d’Orsay.

Henri Rousseau, dit Le Douanier Rousseau, la Guerre, ou la Chevauchée de la discorde (1894). (Musée d’Orsay, Paris.) Ph. H. Josse © Archives Larbor

 Du 25 novembre 2014 au 1er février 2015. Éloge de la rareté. Cent trésors de la Réserve des Livres rares, à la BnF, site Mitterrand.

 Du 28 octobre 2014 au 1er février 2015. Alix Cléo Roubaud, Photographies. "Quinze minutes la nuit au rythme de la respiration", à la BnF, site François-Mitterrand.

 Du 10 octobre 2014 au 1er février 2015. Altmejd (David). Flux, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. La sculpture monumentale The Flux and the Puddle, récemment acquise par le musée, et tout un univers de ce jeune artiste qui représenta le Canada à la Biennale de Venise en 2007.

 Du 28 octobre 2014 au 1er février 2015. Michael Kenna, 50 photographies N & B sur Paris, au musée Carnavalet.

 Du 17 septembre 2014 au 2 février 2015. Niki de Saint Phalle, aux Galeries Nationales du Grand Palais.

Même le Grand Palais est bien petit pour l’œuvre de Niki de Saint Phalle... Tout n’aurait jamais pu entrer.


 Du 7 octobre 2014 au 8 février 2015. Les Mayas, un temps sans fin, au musée du Quai Branly.

Annoncée comme « La plus grande exposition maya jamais réalisée dans le monde  ». 400 chefs-d’œuvre pour dresser un panorama des différentes époques de la civilisation maya : culture, styles, réussites esthétiques, perfection technique.

 Du 9 octobre 2014 au 8 février 2015. Paul Durand-Ruel, le pari de l’impressionnisme, au musée du Luxembourg.

 Du 14 octobre 2014 au 8 février 2015. Garry Winogrand, au musée du Jeu de Paume.

Première rétrospective, depuis 25 ans, de ce grand photographe américain (1928-1984), chroniqueur de l’Amérique de l’après-guerre. L’un des maîtres de la photographie de rue américaine, au même titre que Evans, Frank, Friedlander ou Klein. Près de la moitié des photographies de cette exposition sont totalement inédites à ce jour.

 Du 28 octobre 2014 au 8 février 2015. D’Utrillo à Picasso, au musée de Montmartre.

 Du 14 novembre 2014 au 9 février 2015. Rhodes, une île grecque aux portes de l’Orient, au musée du Louvre.

Les œuvres réunies (musées de Rhodes, de Copenhague, du Louvre et British Museum) attestent de l’exceptionnelle richesse de l’archéologie rhodienne entre XIVe et VIe siècles avant J.-C. (de l’âge du bronze à l’époque archaïque).

 Du 17 septembre 2014 au 15 février 2015. Les Borgia et leur temps : de Léonard de Vinci à Michel-Ange, au musée Maillol - Fondation Dina Vierny.

 Du 19 novembre 2014 au 15 février 2015. Re-Voir Haïti, Galerie Sud-Est du Grand Palais.

Pierrot Barra, Sans titre (dè tail), 2009, poupè es, tissu, guirlandes, nacre, environ 100 x 60 x 50 cm © DR

 Du 18 novembre 2014 au 15 février 2015. Oulipo, la littérature en jeu(x), à la Bibliothèque de l’Arsenal .

L’Ouvroir de Littérature potentielle (Oulipo), plus ancien groupe littéraire contemporain français, relativement inconnu du grand public, a profondément son époque. Le voile est levé sur l’histoire et les activités de ce groupe, et sur les risques sérieux de contagion créatrice qu’il peut induire.

 Du 6 novembre 2014 au 15 février 2015 , L’art de l’amour au temps des geishas : les chefs-d’œuvre interdits de l’art japonais, d’Utamaro à Hokusaï et Hiroshige à la Pinacothèque 1 de Paris .

Première exposition en France sur les gravures de belles femmes (bijinga) et celles érotiques (shunga) "images de printemps", dont la réputation hante l’imaginaire extrême-oriental et parfois les nôtres.

 Du 17 septembre 2014 au 15 février 2015. Correspondances amoureuses. "Je n’ai rien à te dire sinon que je t’aime", au musée des Lettres et Manuscrits .

Quelques lettres pleines de passion ou des écrits romancés pour indiscrètement pénétrer à des moments sensibles et cruciaux les cœurs de Musset, Apollinaire, Cocteau, Géricault, Piaf, Flaubert, Puccini, Guitry, Stendhal... pris dans le grand manège de l’Amour.

 Du 17 décembre 2014 au 16 février 2015. Contact, d’Elafur Eliasson, à la Fondation Louis-Vuitton.

Fondation Jè roÌ‚me Seydoux-Pathè , Paris XIIIe, 2006-2014, Renzo Piano Building Workshop © Michel Denance

 Du 17 décembre 2014 au 28 septembre 2015. Un bâtiment, combien de vies ? La transformation comme acte de création, à la Cité de l’Architecture.

Il y a une logique à transformer, à agir sur l’existant, à enclencher la mutation du patrimoine. Ce sera sans doute cela la nouvelle expè rimentation spatiale, technique et programmatique du XXIe siècle.

 Du 17 octobre 2014 au 22 février 2015. Sonia Delaunay, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.

Sonia Delaunay (1885-1979) mettait sa palette très colorée aussi bien au service de la peinture que des arts appliqués. Une rétrospective sur les différents supports dont elle se joua.

Chanteurs de flamenco (dit Grand Flamenco), détail, 1915-1916. Peinture à la cire et huile sur toile. CAM. Fondation Calouste Gulbenkian, Lisbonne (Portugal)

 Du 18 novembre 2014 au 22 février 2015. 7 ans de réflexion, au musée d’Orsay. 7 ans des principales acquisitions du musée.

La presque centaine de pièces majeures acquises par le musée durant les 7 dernières années : œuvres des Nabis (Maurice Denis, Pierre Bonnard et Édouard Vuillard), un pastel de Degas, des toiles d’artistes italiens (dont Boldini et Zecchin), sculptures de Gérôme, et une tapisserie de Burne-Jones.

 Du 25 octobre 2014 au 22 février 2015. Diller Scofidio + Renfro, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain. Architectes new-yorkais, ils utilisent des matières et des systèmes technologiques "cocasses" et "subtils"...

 Du 25 octobre 2014 au 22 février 2015. Guillermo Kuitca et David Lynch, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain. Dialogue d’un peintre argentin et d’un artiste américain dans l’étrange living-room créé par Lynch en 2007...


 Du 27 novembre 2014 au 23 février 2015. Philippe Djian. Voyages, au musée du Louvre, Aile Sully, 2e étage.

Une carte blanche pour un voyage onirique dans les arts et la littérature, conçu comme un voyage intérieur qui permettrait d’interroger son destin... De l’Odyssée aux carnets de voyages, des notes dessinées ou écrites, aux peintures et sculptures souvent issues de l’art sacré. Pour s’accoutumer à la transhumance des âmes ?

 Du 21 octobre 2014 au 1er mars 2015. Splendeur des Han, l’essor de l’Empire céleste, au musée Guimet.

 Du 11 juin 2014 au 1er mars 2015. Paris libè rè , Paris photographiè , Paris exposè , au musée Carnavalet.

 Du 4 octobre 2014 au 1er mars 2015. Street Art, l’innovation au cœur du mouvement, à l’Espace Fondation EdF.

En plus de bombes, pochoirs et pinceaux, ces artistes utilisent stylets et caméras numériques, vidéos projecteurs, traceurs et QR codes pour créer des œuvres hybrides pour le paysage urbain comme pour smartphones, ordinateurs et tablettes.

 Du 15 octobre 2014 au 1er mars 2015. Maroc contemporain (L’efflorescence du), à l’Institut du Monde arabe. Jean-Hubert Martin réunit quelque 80 artistes, designers et architectes, ferments et acteurs de la vie culturelle marocaine contemporaine.

 Du 3 juin 2014 au 8 mars 2015. Culture TV, au Musée des Arts-et-Métiers

 Du 5 novembre 2014 au 8 mars 2015. Les Engagés volontaires juifs étrangers dans les armées françaises durant les deux guerres mondiales, au Mémorial de la Shoah .

 Du 16 décembre 2014 au 8 mars 2015. Rameau et la scène, à la Bibliothèque-musée de l’Opéra . 250e anniversaire de sa mort. Un parcours dans l’œuvre lyrique du musicien, soit une vingtaine d’œuvres pour la Cour ou l’Opéra de Paris, explorant tous les genres (tragédie lyrique, opéra-ballet, acte de ballet, pastorale héroïque...), et orchestrant avec hardiesse.

 Du 20 novembre 2014 au 9 mars 2015. Viollet-le-Duc, les visions d’un architecte, à la Cité de l’Architecture. Quand un architecte illuminé tente d’imposer aux monuments français un Moyen Âge imaginaire...

 Du 20 novembre 2014 au 9 mars 2015. Revoir Paris. François Schuiten et Benoît Peeters, à la Cité de l’Architecture.

 Du 11 septembre 2014 au 15 mars 2015. Dali fait le mur, à l’ Espace Dali . 22 artistes Street Art s’invitent chez Dali.

 Du 26 novembre 2014 au 5 avril 2015 (prolongation). La Collaboration, 1940-1945, aux Archives nationales.

Une relecture de cet héritage complexe. Oui, la France a bien collaboré. Mais dans quels buts ? Quels en furent les acteurs ? Quels liens unirent Paris-Vichy-Berlin ? 300 documents, pour la plupart inédits, révèlent ce que furent ces 4 années noires de l’Occupation.

 Du 11 décembre 2014 au 13 avril 2015. La mode et les boutons, au musée des arts décoratifs.

 Du 19 novembre 2014 au 19 avril 2015. Carte blanche à Christian Lacroix, au musée Cognacq-Jay.

 Du 12 décembre 2014 au 25 avril 2015 (prolongation). Paris Magnum. La capitale par les plus grands photo-reporters, à l’Hôtel de Ville de Paris . Exposition gratuite.


 Du 26 novembre 2014 au 27 avril 2015. Jeff Koons, au Centre Pompidou, Galerie 1, Niveau 6.

Première rè trospective majeure consacrè e, en Europe, à Jeff Koons, et prenant la complète mesure de son œuvre controversée de 1979 à nos jours. Le parcours chronologique mettra en è vidence les diffè rents cycles de son travail, des premières œuvres conçues dans une veine hè ritè e du Pop art, aux actuelles dialoguant avec les grands prédécesseurs. Prè sentation, en avant-première, de certaines de ses nouvelles crè ations de l’artiste amè ricain, mais ses œuvres les plus connues, dont Rabbit (1986), Michael Jackson and Bubbles (1988), Balloon Dog (1994-2000) et la sè rie d’aquariums Equilibrium (1985) seront aussi présentes.

 Du 3 décembre 2014 au 3 mai 2015. Profession : Chef-décorateur, à la Cinémathèque française.

 Du 26 septembre 2014 au 18 mai 2015. Sade, marquis de l’ombre et prince des Lumières. L’éventail des libertinages du XVIe au XXe siècle, à l’ Institut des Lettres & Manuscrits .

 Du 28 octobre 2014 à juin 2015. Exposition inaugurale Picasso, au musée Picasso .

L’Intérieur du Port de Marseille, vu du Pavillon de l’horloge du Parc (titre de salon) Vernet, Joseph, 1754, Marseille © Musée National de la Marine / P. Dantec
 Du 15 octobre 2014 au 28 juin 2015. De l’Amphore au conteneur, au musée de la Marine.

Une histoire du commerce maritime de l’Antiquité à nos jours, avec en fil rouge le voyage des cargaisons alimentaires.

 Du 9 décembre 2014 au 28 juin 2015. Fashion Mix. Mode d’ici, créateurs d’ailleurs, au musée de l’Histoire de l’immigration .

De Worth à Alaïa, de Fortuny à Miyake et Yamamoto, les stylistes étrangers qui ont révolutionné la mode française et enrichi son répertoire.

 Du 15 octobre 2014 au 12 juillet 2015. L’art de manger : rites et traditions, au musée Dapper .

Des traditions, des savoirs et des actes qui se vivent au quotidien ou de façon exceptionnelle, lors de cérémonies ou de rituels que des hommes et des femmes perpétuent. Ils président à la préparation et à la consommation de nourritures par les vivants ou par des êtres de l’autre monde.

Les jarres, les pots et autres récipients utilitaires dans lesquels on conserve les céréales, le lait, l’huile et l’eau sont parfois traités de façon originale, mais on accorde une plus grande attention aux plats, coupes, coupelles, cuillers et louches devant recevoir des mets que se partagent de très nombreux convives. Mélanésie, Philippines, Côte-d’Ivoire…

Jarre anthropomorphe. Coll. Particulière © archives musée Dapper et Hugues Dubois

 Du 14 octobre 2014 au 2 août 2015. Zizi sexuel, l’expo, à la Cité des Sciences et de l’industrie.

Incontournable pour les 9-14 ans pour tout savoir sur la sexualité !

- Du 17 septembre 2014 au 9 août 2015 (prolongation). La Cabeza, Niki de Saint Phalle, au Centquatre. Un prolongement de l’exposition du Grand Palais qui présente la Cabeza ou Tête de Mort (Grande), immense crâne, revêtu de miroirs et de pierres colorées. Accès libre.

Niki de Saint Phalle, La Cabeza, 2000, 366 x 427 x 366 cm - Mousse de polyuréthane, armature en acier et résine, éclats de miroir et de vitrail, galets et cailloux divers, coquilles d’ormeaux, incrustations de verre en millefiori

 Du 9 octobre 2014 au 31 août 2015. Mark Lewis. Invention du Louvre, au musée du Louvre, Aile Sully, salle de la maquette.

 Du 13 novembre 2014 au 27 septembre 2015. Rodin, le laboratoire de la création, au musée Rodin.

Le processus de création de Rodin comme chantier d’artiste, à travers un parcours composé de L’Age d’Airain, Les Bourgeois de Calais, Le Monument à Victor Hugo, Le Monument à Balzac, et La Muse Whistler, dans leurs variations et étapes de réalisation. Un ensemble unique de 150 plâtres et terres cuites sorti des réserves.

 Du 6 mai 2014 au 18 octobre 2015. Tatoueurs, tatoués, au musée du Quai Branly, Mezzanine Ouest.

 Du 2 juillet 2014 à fin décembre 2015. Une histoire. Art, architecture, design des années 1980 à nos jours, au Centre Pompidou, Niveau 4. Le nouvel accrochage des collections permanentes du musée : 400 œuvres et objets de plus de 200 artistes, créateurs et architectes.

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**Expositions commençant en 2015**


Janvier

 Du 10 janvier au 5 avril 2015. Krijn de Koning, au Centquatre.

Chacune de ses œuvres est pensée pour un site spécifique (église, château, cours, escalier, bureaux), qu’elle déconstruit géométriquement en l’investissant, créant une mise en abyme...

Krijn de Koning, portrait by Tim Groen, 2010, courtesy Tim Groen

Krijn de Koning donne ainsi à voir la particularité du lieu, sa beauté, et parfois même sa problématique. La couleur est au cœur de son travail. Il explique qu’elle "a la faculté d’influencer la perception de la réalité qui nous entoure. (...) C’est un moyen de pointer du doigt et de conditionner une réalité construite pour mettre en exergue un élément particulier et le laisser s’exprimer. Selon la situation, cet élément peut être beau, intéressant ou complexe." Avec son architecture brute et monumentale, le 104 invite l’artiste à venir remodeler ses espaces et son volume offerts à tous.


 Du 14 janvier au 26 avril 2015. Pieter Hugo - Kin, à la Fondation Henri Cartier-Bresson .

Pieter Hugo. Steven Mohapi, Johannesburg. 2003 © Pieter Hugo. Courtesy of Stevenson, Cape Town/Johannesburg and Yossi Milo, New York

Dans sa série Kin, le photographe sud-africain tente de faire mieux connaître et peut-être identifier les contradictions que traverse son pays et les traces évidemment non évaporées du colonialisme, du régime de l’apartheid, et de l’oppression que les Blancs faisaient subir au Noirs.

 Le 14 janvier 2015. Réouverture totale du musée national Gustave Moreau.

 Du 21 janvier au 6 avril 2015. Un train pour le Yunnan. Les tribulations de deux Français en Chine, au musée Guimet. 65 photographies de deux Français réunis par la construction d’un chemin de fer au Yunnan au XIXe siècle, dans une Chine en pleine ébullition...

 Du 21 janvier au 14 août 2015. Les Cahiers dessinés. L’art du dessin, à La Halle Saint-Pierre.

Un large panorama de dessins de Victor Hugo à Bruno Schulz, d’Alechinsky à Kiki Smith, de Saul Steinberg à Chaval, Sempé, Willemn, Copi, Fred Deux, Ungerer, Tal Coat, Topor, Reiser, Unica Zürn et Vuillemin… ainsi que de créateurs d’art brut dont Louis Pons et Louis Soutter.

 Du 22 janvier au 3 mai 2015. Georges Noël, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.

Hommage à cet artiste français de Béziers (1924-2010) à l’occasion de la donation au musée de 5 de ses œuvres majeures.

 Du 31 janvier au 27 avril 2015. New Frontier IV, au musée du Louvre, Aile Denon, Salle 32.

4e étape de l’exploration que le Louvre a entrepris de la peinture américaine, avec cette fois l’essor de la nature morte au cours du XIXe siècle. Alors que les peintres amè ricains trouvaient aisè ment des commanditaires pour les portraits ou les paysages, les débuts de la nature morte furent assez confidentiels. Raphaelle Peale (1774-1825), puis Martin Johnson Heade (1819-1904) et William Harnett (1848-1892).


Février


 Du 5 février au 27 avril 2015. New Frontier IV, au musée du Louvre, Aile Denon, Salle 32. Suite d’une exploration de la peinture américaine, avec l’essor de la nature morte au XIXe siècle. Raphaelle Peale (1774-1825), puis Martin Johnson Heade (1819-1904) et William Harnett (1848-1892).

 Du 5 février au 17 mai 2015. Mark Lewis. Above and Below the Minhocão, au Bal.

Un ensemble d’œuvres montrées pour la 1ère fois à Paris, articulées autour d’une de ses vidéos les plus récentes réalisée à Sao Paolo. Expansion de la conscience par l’utilisation du vertige...


 Du 10 février au 19 juillet 2015. Déboutonner la mode, aux Arts décoratifs. Une collection, classée œuvre d’intérêt patrimonial majeur, de plus de 3000 boutons avec une sélection de plus de 100 vêtements et accessoires de mode féminine et masculine choisis parmi les couturiers les plus emblématiques.

 Du 11 février 2015 au 21 mars 2016. Sur la piste des grands singes, à la Grande Galerie de l’évolution (Jardin des plantes).

Pour mieux connaître nos parents les plus proches...

 Du 12 février au 5 juillet 2015. La toilette. Naissance de l’intime, au musée Marmottan.

Pierre Bonnard, Nu dans la baignoire. Aquarelle et gouache sur papier, 23,5 x 31,5cm. Collection particulière, courtesy Galerie Bernheim-Jeune, Paris © Galerie Bernheim-Jeune, Paris / Christian Baraja – ADAGP, Paris 2015

Représentations poétiques et cliniques dans la peinture de la toilette (plutôt féminine) et de ses rituels, de Georges de La Tour aux impressionnistes.

 Du 12 février au 21 juin 2015. Au temps de Klimt. La Sécession à Vienne, à la Pinacothèque.

Gustave Klimt, Judith I (1901), huile sur toile, 84 x 42 cm © Belvédère, Vienne

Le développement de l’art à Vienne, de la fin du XIXe siècle, début de la Sécession viennoise aux premières années de l’expressionnisme. Une sélection des travaux majeurs de Klimt, de ses premières années d’études jusqu’à son âge d’or avec des œuvres comme Judith I (1901) ou la Frise Beethoven, monumentale reconstitution à l’échelle présentée pour la première fois en France.

 Du 18 février au 17 mai 2015. Le bord des mondes, au Palais de Tokyo.

Y-a-t-il des œuvres qui ne soient pas d’art ? C’est en s’interrogeant avec Duchamp sur l’essence de la création et ses territoires que le Palais de Tokyo explore les mondes interstitiels, à la lisière de l’art, de la création et de l’invention...

Bridget Polk, Adrift, 2010, Maine coast beach rocks

Avec Carlos Espinosa, Kenji Kawakami, Theo Jansen, Rose-Lynn Fisher, Game of States, Tomas Sarceno, Hiroshi Ishiguro, Jean Katambayi, Sapeurs, Jesse Krimes, Bridget Polk, Charlie Le Mindu, etc. Commissaire Rebecca Lamarche Vadel.

 Du 18 février au 17 mai 2015. Takis. Champs magnétiques, au Palais de Tokyo.

Sculptures lumineuses, musicales ou érotiques de l’œuvre de Takis, que son usage des champs magnétiques a pu rendre célèbre.

 Du 19 février au 10 mai 2015. Jérôme Zonder. Fatum, à la Maison rouge.

Un terrible labyrinthe dessiné pour tenter de se sortir du XXe siècle.

 Du 19 fè vrier au 10 mai 2015. Mathieu Briand. Et in Libertalia Ego, à La Maison rouge.

Pour ce projet, Mathieu Briand a invité de nombreux artistes (Francis Alÿs, Grè gory et Cyril Chapuisat, Sophie Dejode, Bertrand Lacombe, Jacin Giordano, Thomas Hirschhorn, Koo Jeong-A, Pierre Huyghe, Gabriel Kuri, Prue Lang, Richard Siegal, Juan Pablo Macias, Mike Nelson, Damian Ortega, Rudy Riccioti, Yvan Salomone et Gilles Mahè ) à venir travailler dans son atelier situé sur une petite iÌ‚le dans le canal du Mozambique. Et in libertalia ego fait à la fois référence aux peintures Et in Arcadia Ego, et à la colonie libertaire du livre A General History of the Robberies and Murders of the Most Notorious Pyrates du capitaine Charles Johnson (1724).


 Du 24 février au 17 mai 2015. Florence Henri. Le miroir des avant-gardes, 1928-1940, au musée du Jeu de Paume.

Florence Henri, Femme aux cartes, 1930 © Florence Henri / Galleria Martini & Ronchetti

Artiste d’abord connue pour sa peinture, elle prend une place incontestable dans la photographie des avant-gardes entre la fin des années 1920 et le début des années 1940, expérimentant de nouvelles relations à l’espace, notamment par l’introduction de miroirs et d’autres objets dans ses compositions.

 Du 24 février au 17 mai 2015. Taryn Simon, au musée du Jeu de Paume. Du 24 février au 17 mai 2015.

Taryn Simon travaille à New York. Depuis une dizaine d’années, son œuvre ambitieuse s’élabore autour de questions culturelles et politiques (justice, sécurité, religion, recherche scientifique, médecine, défense, économie), sondant leurs travers afin de mieux briser l’illusion d’une image objective, d’une réalité capturée sur le vif.

 Du 24 février au 24 mai 2015. Rome, "bas-fonds du baroque", au musée du Petit Palais. Quand les peintres du XVIIe siècle, entraînés par Le Caravage, montraient le peuple, la misère, la rue et ses tourments.


 Du 25 février au 18 mai 2015. Hervé Télémaque. Rétrospective, au Centre Pompidou.

Petit célibataire un peu nègre et assez joyeux, 1964, huile sur toile, 80x80cm © Collection Centre Pompidou, musée national d’art moderne, Paris.

70 œuvres de cet artiste français né à Port-au-Prince, brasseur de tous les arts, et apporteur d’une culture tropicale post-coloniale.


Mars

 Du 3 mars au 31 mai 2015. David Bowie Is... Watching You, à la Philharmonie de Paris.

Archives personnelles inédites de David Bowie. Plus de 300 objets, manuscrits de chansons, costumes de scène, clips, films, photographies et instruments de musique pour cet artiste unique et indémodable !

Brian Duffy

Mieux comprendre les personnalités ou personnages de David Jones : Ziggy Stardust, Aladdin Sane, le Thin White Duke et bien d’autres…

 Du 4 mars au 3 juin 2015. Qu’est-ce que la photographie ?, au Centre Pompidou.

Une exposition rassemblant des créateurs pour lesquels la photographie est elle-même le sujet de l’œuvre.


 Du 4 mars au 5 juillet 2015. Magie. Anges et démons dans la tradition juive, au Mahj.

Victoire de Samothrace © 2014 Musè e du Louvre / Antoine Mongodin

 Du 5 mars au 9 novembre 2015. La Victoire de Samothrace, au musée du Louvre. Salle des Cheminées.

Toute neuve. Quelle impression ? Exposition sur sa récente restauration menè e de septembre 2013 à juillet 2014, et des informations nouvelles qu’elle a révélé sur la conception et le dè cor de la Victoire de Samothrace.

 Du 7 mars au 30 août 2015. Chercher le Garçon, au MAC/VAL à Vitry/Seine .

Une centaine d’artistes mâles interrogent et déstabilisent les modèles établis et mettent en crise le modèle masculin hégémonique. Rejetant l’autoritarisme, questionnant les valeurs traditionnellement associées au masculin (efficacité, autorité, héroïsme, conquête, force, etc.), leurs œuvres rassemblées proposent des stratégies de résistance et de redéfinition du paradigme en question.

Amorcerions-nous une réflexion autour des modèles culturels dominants de la représentation masculine ?

 Du 8 mars au 23 août 2015. Jeanne Lanvin. Rétrospective, au musée Galliera.

Un nouveau directeur artistique est né à cette marque ancienne (1900-1920), d’une personnalité remarquée par Jacques Doucet, comme le fut aussi initialement Paul Poiret.

 Du 11 mars au 14 juin 2015. Piero Fornasetti : la folie pratique, au musée des Arts décoratifs. Un millier d’objets et œuvres de cet illusionniste talentueux de l’ornemental et de la fantaisie.

 Du 12 mars au 18 octobre 2015. Le Pressionnisme. 1970-1990, les chefs d’œuvre du graffiti sur toile de Basquiat à Bando, à la Pinacothèque.

 Du 13 mars au 21 juin 2015. Bruce Nauman, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain.

Un grand, dont l’une des œuvres proclamait, au milieu des années 1960, que "le véritable artiste aide le monde en mettant au jour des vérités mystiques". 8 œuvres de cet artiste californien (Fort Wayne, 1941), qui ne s’interdit aucun moyen d’expression, passant de grandes installations immersives à des performances ou à des vidéos spectaculaires. Sa dernière exposition en France date de 1997...

© Copyright 2014 Fondation Cartier pour l’art contemporain - Tous droits réservés

 Du 16 mars au 19 juillet 2015. Les Tudors, au musée du Luxembourg.

 Du 17 mars au 28 juin 2015. Pierre Boulez, à la Philharmonie de Paris .

L’exposition présente des œuvres emblématiques du compositeur en les mettant en regard de sa vie et de ses rencontres artistiques. Des travaux de plasticiens tels que Kandinsky, Klee ou Miró qui ont inspiré l’artiste viennent
enrichir cette exposition.

 Du 17 mars au 19 juillet 2015. Pierre Bonnard, peindre l’Arcadie, au musée d’Orsay.

Une rétrospective représentative des différentes périodes de cet artiste qui pratiquait peinture, dessin, estampe, art décoratif, gravure, sculpture, et photographie. L’esthétique avant tout décorative de Bonnard, aux couleurs vives et lumineuses, se nourrissait d’observations incisives et pleines d’humour, tirées de son environnement immédiat.

Du tableautin au grand format, du portrait à la nature morte, de la scène intime au sujet pastoral, du paysage urbain au décor antique, l’œuvre de Bonnard nous révèle un artiste instinctif et sensible. Sa palette en fait l’un des principaux acteurs de l’art moderne et un représentant éminent du courant arcadien.

 Du 18 mars au 18 juin 2015. De Carmen à Mélisande. Drames à l’Opéra comique, au Petit Palais.

Henri Lucien Doucet, Cè lestine Galli Mariè , cantatrice mezzo soprano dans le roÌ‚le titre Carmen, peinture XIXe © BnF

Å’uvres et objets témoins des 7 grands opéras conçus entre 1870 et 1902, Carmen, Les Contes d’Hoffman, Lakmé, Manon, Le Rêve, Louise et Pelléas et Mélisande, la plupart joués aujourd’hui dans le monde entier.

 Du 19 mars au 19 juillet 2015. Yves Saint Laurent 71 : la collection du scandale, à la Fondation Pierre Bergé -Yves Saint-Laurent. Cette fameuse collection printemps-été présentée en janvier 1971, inspirée par la mode des années 1940, ne pouvait que faire polémique...


 Du 20 mars au 28 juin 2015. L’École de Lingnan. L’éveil de la Chine moderne, au musée Cernuschi .

Chen Shuren, Lions en alerte au crè puscule ,1914 © Hong Kong Museum of Art

 Du 24 mars au 21 juin 2015. François Ier, pouvoir et image, à la BnF, site Mitterrand, galerie 1.

500e anniversaire de Marignan, 1515. L’avènement de François Ier, suivi de cette victoire, est aussi la Renaissance nationale des Arts et des Lettres.

Cette exposition revient aux diverses images de ce roi établies sous sa conduite : roi chevalier, "très chrétien", administrateur de son royaume, poète,
lettré et mécène...

 Du 25 mars au 26 juillet 2015. Le Baiser dans l’art, de la Renaissance à nos jours, au musée Maillol.

 Du 25 mars au 13 juillet 2015. Vélasquez et les siens, au Grand Palais. Galeries nationales.

Attention. Cette rétrospective fera événement...

Vénus à son miroir (vers 1650), National Gallery, Londres.

 Du 26 au 29 mars 2015. Art Paris Art Fair, au Grand Palais. 140 galeries d’une vingtaine de pays. Invités d’honneur Singapour et l’Asie du Sud-Est.


 Du 27 mars au 20 juillet 2015. De Giotto à Caravage. Les passions de Roberto Longhi, au musée Jacquemart-André.

Garçon mordu par un lè zard (1594) Caravage (1571-1610) © Firenze, Fondazione di Studi di Storia dell’Arte Roberto Longhi

Ces dè couvertes de l’historien d’art, dont certaines n’ont encore jamais été exposées en France, mettent en valeur des peintures de Giotto, Masaccio, Masolino, Piero della Francesca, Ribera et Caravage.

L’œuvre du Caravage (dont le tableau Garçon mordu par un lè zard) méritera une section particulière.

 Du 27 mars au 14 juin 2015. Lumière ! Le cinéma inventé... au Grand Palais. (Salon d’Honneur).

Une exposition événement à l’occasion de la célébration en 2015 des 120 ans de l’invention du Cinématographe Lumière.

 Du 27 mars au 5 juillet 2015. Mutations, au musée des Arts décoratifs. À partir du hanap "Les métiers d’art" de l’orfèvre Lucien Falize (1896) des collectifs de créateurs (artisans et ateliers d’art, designers, plasticiens) revisitent le répertoire des techniques et des matières représentées sur cet objet symbole.


Avril

 Du 1er avril au 31 juillet 2015. Les Trésors de la vallée des rois de Kazanlak (Bulgarie), au musée du Louvre.

 Du 1er avril au 3 août 2015. La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles, au Grand Palais.


 Du 1er avril au 27 juillet 2015. Sculptures souabes de la fin du Moyen Âge, au musée de Cluny.

La Souabe, ancienne région historique du Sud de l’Allemagne, produisit une sculpture abondante et de haute qualité de 1460 à 1530, travail virtuose du bois à la polychromie raffinée. 30 exemples.

 Du 1er avril au 6 juillet 2015. Les Clefs d’une Passion, à la Fondation Louis-Vuitton .

Les œuvres présentes de la collection recevront le renfort d’une soixantaine de pièces d’art moderne "historiques", qui les resitueront dans le continuum d’un art en marche. Ces grandes sœurs datées de 1900/1950 viendront évidemment des plus grands musées du monde, Russie comprise, dit-on.


 Du 1er avril au 12 juillet 2015. Mannequin d’artiste, Mannequin fétiche, au musée Bourdelle. 160 œuvres : rares mannequins d’artiste du XVIIIe siècle à nos jours, "poupées articulées", mannequins de vitrine de Siégel ou d’Imans, peintures de Gainsborough, Courbet, Burne-Jones, Kokoschka, Beeton, de Chirico, Annigoni, dessins de Salviati, de Millais, planches de l’Encyclopédie, brevets d’invention, photographies de Bellmer, Man Ray, List et Denise Bellon…

Anonyme, Italie. Mannequin néoclassique, vers 1810. Bois et articulations de métal, tête et corps peints à l’huile © Accademia Carrara, Bergame

 Du 2 avril au 29 juin 2015. Poussin et Dieu au musée du Louvre, Hall Napoléon.

Nicolas Poussin, Le Miracle de saint François-Xavier © musè e du Louvre / A. Dequier, M. Bard

Au 350e anniversaire de sa mort, quelles lectures chrè tiennes peut-on faire de la peinture de Nicolas Poussin ? Comment parvint-il à unifier les sacrè s antique et chrè tien ? Un modèle du peintre philosophe dont la dimension chrè tienne a trop souvent è tè occultè e, voire contestè e.

 Du 2 avril au 29 juin 2015. La fabrique des saintes images. Rome-Paris (1580-1660), au musée du Louvre, Hall Napoléon.

En 1563, après l’avènement de la crise religieuse, le concile de Trente rè affirme la lè gitimitè de la présence des images dans les lieux de culte et la vè nè ration qui leur est due.

Et dans les annè es 1580, l’art religieux se reconstruit en Italie sur la base d’une recherche dè vote de puretè et de vè ritè . Ce fut è galement l’aube d’une renaissance inattendue, objet de la prè sente exposition.

 Du 3 avril au 12 juillet 2015. Carol Rama, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. (À l’Arc).

Marginalisée dans l’histoire de l’art et par le mouvement féministe, l’œuvre de Carol Rama fut toujours de son temps et avec les avant-gardes du XXe siècle (surréalisme, art concret, pop art, arte povera, art brut), en restant inclassable. La férocité de son travail, entre abstraction et figuration, invite à revisiter les courants artistiques officiels mais aussi les catégories établies.

 Du 4 avril au 6 septembre 2015. Harry Potter. L’exposition, à la Cité du cinéma, à St-Denis-la Plaine. Réservations sur www.ticketmaster.fr

L’incroyable Hippogrriffe de « Harry Potter », mi aigle, mi-cheval. TM & © Warner Bros Entertainment Inc. Harry Potter droits édition © JKR.

2 000 m2 pour une exposition sur le monde magique d’Harry Potter, que 3 millions de personnes ont déjà vu à travers le monde. Les visiteurs déambuleront à leurs risques et périls dans la salle du Choixpeau magique, ou le long des couloirs de Poudlard. Ils voyagerons dans le Poudlard Express. Décors et costumes originaux des films, ainsi que quelques-unes des créatures étranges ayant servi aux tournages.

 Du 8 avril au 22 juin 2015. Chefs-d’œuvre américains du MoMA de San Francisco et de la collection Fisher, au Grand Palais.

Près de 200 œuvres, quelques-unes iconiques, de l’art américain contemporain (dont par exemple certaines de Alexander Calder, Roy Lichtenstein ou Andy Warhol), présentées pour la première fois ensemble.

 Du 8 avril au 30 août 2015. Napoléon et Paris. Rêves d’une capitale, au musée Carnavalet.

Principal théâtre politique de l’épopée napoléonienne, Paris fut aussi une des préoccupations majeures du premier consul puis de l’empereur, et le lieu où Napoléon montra le plus sa double identité d’héritier des Lumières et de promoteur d’un nouvel absolutisme.


 Du 8 avril au 19 juillet 2015. Michelangelo Antonioni, à la la Cinémathèque française.

Reprise de l’exposition « Le regard de Michelangelo  » de la ville de Ferrare qui recueillit une très importante documentation de ce grand réalisateur extrêmement rigoureux dont l’œuvre ouvrait au cinéma moderne, par son attention aux changements de société et sa mise en évidence de nos incertitudes.


 Du 10 avril au 26 juillet 2015. Churchill – De Gaulle, au musée de l’Armée - Hôtel des Invalides.

À la fois alliés et frères ennemis, itinéraires croisés de ces deux grandes figures. Un hommage rendu à ces deux hommes d’État aux destins exceptionnels, à ces grands vainqueurs de la Deuxième Guerre mondiale.

 Du 14 avril au 13 juillet 2015. Adolfo Wildt, le dernier symboliste, au musée de l’Orangerie.

 Du 14 avril au 23 août 2015. Piaf, à la BnF, site Mitterrand. Centenaire de sa naissance.

Pour retrouver les grands moments de son histoire personnelle, au fil des enregistrements, photographies, affiches, lettres, programmes... et certains objets fétiches comme sa célèbre petite robe noire.

 Du 14 avril au 13 septembre 2015. Dolce vita : l’art décoratif italien de 1900 à 1940, du Liberty au design industriel, au musée d’Orsay.

Quand les arts décoratifs se font les interprètes du désir de progrès d’une nation, et que les maîtres artisans, ébénistes, céramistes, verriers, travaillent avec les plus grands artistes, créant un véritable "style italien". Une centaine d’œuvres recréeront un parcours chronologique, du style Liberty, avec des créations de Carlo Bugatti, Eugenio Quarti, Federico Tesio, au futurisme marqué par sa soif de vitesse et de progrès, au cretour au classicisme et au style rationaliste qui ouvriront la voie au « design  » moderne.

Vittorio Zecchin (1878-1947) Le Mille e una notte (Les Mille et une nuits) Vers 1914 Huile et or sur toile 171x384cm, Paris, musée d’Orsay © ADAGP Musée d’Orsay / Sophie Boegly


 Du 14 avril au 26 juillet 2015. Les maîtres de la sculpture de Côte-d’Ivoire, au musée du Quai Branly. Avec 200 œuvres, historiques ou contemporaines, une dè couverte de l’histoire de l’art en Afrique de l’Ouest et de ses chefs-d’œuvre. Une mise au jour des grands sculpteurs et des è coles de sculpture en CoÌ‚te d’Ivoire et dans ses pays limitrophes.

 Du 15 avril au 13 septembre 2015. Felice Varini, à la Grande Halle de La Villette .

Felice Varini intervient dans le pavillon Paul-Delouvrier et sous la galerie Est de la Grande Halle. Partant d’un point de vue qu’il établit, de lignes ou de formes géométriques simples, il crée des tableaux mouvants éminemment plastiques, à partir desquels nous redécouvrons physiquement les espaces qui nous entourent.


 Du 15 avril au 31 août 2015. Du Nô à Mata Hari, 2000 ans de théâtre en Asie, au musée Guimet .

De l’Inde au Japon en passant par la Chine et l’Asie du Sud-est, masques, costumes, marionnettes et figures du théâtre d’ombre illustrent les multiples facettes d’un art plus que millénaire, aujourd’hui encore objet de fascination, bien au-delà des frontières de l’Asie.

 Du 15 avril au 14 juin 2015. Harry Gruyaert, à la Maison européenne de la photographie. Une des grandes signatures de l’agence Magnum, et un très grand paysagiste aux couleurs soignées, délicates et vraies.

 Du 17 avril au 20 juillet 2015. L’è popè e des rois thraces. Dè couvertes archè ologiques en Bulgarie, au musée du Louvre, Richelieu.

Aux frontières de l’empire perse et du monde grec, le royaume Odryse émerge en Thrace durant la pè riode classique. De nombreuses tombes d’aristocrates ou de rois, mises au jour ces dernières dè cennies, rendent compte, avec leur mobilier en cè ramique, en bronze ou en or, de son opulence née des fructueux è changes avec les civilisations qui l’entourent. Collections des musè es bulgares.

 Du 18 avril au 16 août 2015. Marcel Broodthaers. Musée d’art moderne à vendre pour cause de faillite, à l’ Hôtel de la Monnaie .

Sur une scénographie de l’artiste Danh Vo, aidé de la veuve et de la fille de Marcel Broodthaers (1924-1976), reconstitution du mythique "Musée d’Art Moderne département des aigles" qu’il avait commencé en 1968 et bien sûr, de sa "section financière". Il sera le conservateur de ce « musée  », proposant des environnements, des ready-mades faisant référence à des écrivains et des poètes, développant la relation contradictoire entre le langage et l’image. Première exposition Brootdhaers à Paris depuis 1991 (Jeu de Paume), de cet artiste qui développait une réflexion acide sur le statut de l’art et du musée dans la société contemporaine.

 Du 24 avril au 19 juillet 2015. Markus Lüpertz, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.

De ses Donald Duck post-expressionnistes à ses personnages malingres des mythes antiques et à sa série Arcadies (2013). 1ère rétrospective en France de cet artiste très influent parmi les jeunes générations de peintres, qui a bénéficié d’importantes expositions à travers l’Europe (Bonn, Amsterdam, Madrid...).

 Du 28 avril au 26 juillet 2015. Hip-Hop, du Bronx aux rues arabes, à l’Institut du Monde arabe.

Arrêt automatique total © Bousserez Vincent

Sous la direction artistique du rappeur Akhenaton, le versant arabe de cette culture devenue universelle, et l’historique d’une trajectoire des États-Unis, à la France et du monde arabe : musique, écriture, graffiti, danse, mode, etc.

 Du 28 avril à octobre 2015. Fred Forest. Médias en partage, au musée du Jeu de Paume.

Pionnier d’une "pratique sociologique interventionniste" des nouveaux médias dès leur apparition, Fred Forest observe, souvent avec gourmandise, ces outils d’animation et de dialogue comme leurs effets sur les relations sociales.

Fred Forest © DR

 Du 29 avril au 3 août 2015. Le Corbusier, mesures de l’homme, au Centre Pompidou.

Une rétrospective de ce théoricien des temps modernes, pour lequel le corps humain était la base même de toute compositions architecturale. Trouver la juste proportion...


Mai

 Du 12 mai au 26 juillet 2015. Stéphane Pencréac’h. Å’uvres monumentales, à l’Institut du Monde arabe.

Stéphane Pencréac’h, Tombouctou (détail), 2012. Huile sur toile, polyptique. 195 x 780 cm. Courtesy MAMAC, Nice © ADAGP, Paris, 2014

Comment représenter les événements politiques et sociaux qui bouleversent nos sociétés : Printemps arabe, conflit syrien, récents attentats de Paris...

 Du 13 mai au 26 juillet 2015. Patrick Faigenbaum. Kolkata / Calcutta, à la Fondation Henri Cartier-Bresson . Reportage au cœur de la métropole par le Lauréat du Prix HCB 2013.

Pastèques, dans le quartier de Rajabazar, Kolkata Nord, juillet 2014 © Patrick Faigenbaum

 Du 13 mai au 13 septembre 2015. Trésors du Ghetto de Venise, au musée d’Art et d’histoire du judaïsme . Objets liturgiques (couronnes de torah, keter torah, ornements de bâtons de torah, rimmonim, mains de lecture, yad, boîtes à aromates, bessamim, appliques de Hanoukkah, lampes, coffrets), soustraits aux spoliations et récemment redécouverts, des XVIIIe et XIXe siècles, du premier ghetto d’Europe, institué le 19 mars 1516.

 Du 20 mai au 30 août 2015. Lascaux 3, ou Lascaux révélé, au Parc des expositions de la Porte de Versailles.

La version mobile de la fameuse grotte, réalisée par le plasticien Renaud Sanson. Elle mêle fac-similés, objets préhistoriques et expo numérique.

 Du 20 mai au 21 septembre 2015. Le Vitrail contemporain, de 1945 à nos jours, à la Cité de l’Architecture.

Chagall, Benzaken, Tremlett, Soulages, l’exposition de l’univers fascinant du vitrail, et des éléments de compréhension de cet art de la lumière.

 Du 20 mai au 24 août 2015. Mésopotamie, carrefour des cultures. Grandes heures des manuscrits irakiens, aux Archives nationales. L’histoire de la présence chrétienne en Irak et des collections de la bibliothèque du couvent de Mossoul.

 À partir du 27 mai 2015. Nouvel accrochage des collections modernes, au Centre Pompidou, Niveau 5.

 Du 29 mai au 11 octobre 2015. Henry Darger, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.

Henry Darger, ’Statues strangling children’ (Détail) © Musée d’Art Moderne / Roger-Viollet et ADAGP

L’œuvre brute et obsessionnelle restée secrète jusqu’à la mort de cet artiste très éprouvé par une vie tragique.

Écrit de nuit de façon compulsive, illustré de délicats pastels, ce roman dessiné relate l’incroyable épopée cruelle de fillettes que la cruauté des adultes poursuivait.


Juin

 Du 2 juin 2015 au 6 mars 2016. Invention / Design. Regards croisés, au musée des Arts et Métiers.

Exploration des liens entre Design contemporain et histoire des inventions à travers une sélection de 100 objets. De la marmite de Papin à l’autocuiseur connecté, de la simple hélice au ventilateur sans pales, des premières machines à écrire aux ordinateurs portables les plus sophistiqués... jusqu’à 4 siècles séparent ces objets.

 Du 2 juin au 27 septembre 2015. Germaine Krull, au musée du Jeu de Paume.

Study [Étude], 1931. Germaine Krull. Collection MOMA New York / Thomas Walther, donation T. Walther © Germaine Krull Estate

L’une des figures les plus connues de l’histoire de la photographie (avant-gardes des années 1920-1940), et aussi l’une des femmes-photographes les plus célèbres. Pionnière pour le livre de photographies, elle est incontournable sur le nu féminin au XXe siècle, et à l’origine du reportage moderne.

 Du 2 juin au 27 septembre 2015. Valérie Jouve, au musée du Jeu de Paume. Photographe et cinéaste, elle appartient à la génération qui s’est éloignée de la tradition humaniste des reportages photographiques, sans en rejeter les fondements. Anthropologue de formation et de métier, Valérie Jouve prend son inspiration dans le rapport qu’entretient l’individu à son environnement dans différentes cultures.

 À partir du 3 juin 2015. Accrochage 3, 3e étape de l’inauguration, avec nouvelle présentation d’œuvres de la collection autour des lignes popiste et musique/son, à la Fondation Louis-Vuitton .

Avec, dans l’équipe des popistes, des œuvres de : Jennifer Allora & Guillermo Calzadilla, Jean-Michel Basquiat, Mohamed Bourouissa, Gilbert & George, Andreas Gursky, Bertrand Lavier, Adam McEwen, Michel Majerus, Christian Marclay, Philippe Parreno, Richard Prince, Sturtevant, Andy Warhol ; et dans l’équipe de la musique et des sons : Marina Abramović, Pilar Albarracín, Ziad Antar, Ulla von Brandenburg, John Cage, Rineke Dijkstra, Cyprien Gaillard, Douglas Gordon, Mark Leckey, Philippe Parreno, Jaan Toomik, et Hannah Weinberger.

 Du 9 juin 2015 au 3 janvier 2016. XYZT, les paysages abstraits, au Palais de la découverte.

À la croisée des mathématiques et de la création artistique contemporaine, Adrien M et Claire B présentent 10 installations où se mêlent réel et virtuel. Le spectateur devient acteur de « paysages abstraits  » où les lignes côtoient les lettres, le langage corporel celui des chiffres. Une promenade numérique et interactive à l’esthétique aussi surprenante que captivante.

 Du 9 au 11 juin 2015. Salon Graphitec, au Parc des expositions de Paris. Hall 3. 15e édition du Salon biennal de la Chaîne Graphique « de l’imprimé au multi-canal  ».

 Du 20 juin au 20 septembre 2015. My Buenos Aires, à La Maison rouge. Après les expositions « My Winnipeg  » en 2011, et « My Joburg  » en 2013, voilà celle consacrée aux artistes contemporains de Buenos Aires, scène dynamique encore peu connue du marché de l’art.

- Du 23 juin au 27 septembre 2015. L’Inca et le conquistador, au musée du Quai Branly. La conquè‚te du Pè rou à travers l’è popè e de deux hommes, l’Inca Atahualpa et le conquistador Francisco Pizarro, confrontation de deux mondes radicalement diffè rents, et tragique destin du plus grand empire jamais connu aux Amè riques, le Tawantinsuyu inca (v. 1350-1533). Des annè es 1520 à l’assassinat de Pizarro par les siens en 1541...

Portrait de Pizarro par Amable Paul Coutan © Châ‚teau de Versailles

Objets incas et hispaniques, peintures coloniales et rè publicaines, gravures et cartes anciennes, l’exposition revient sur les è pisodes de cette Conquè‚te et met l’accent sur la rencontre avec l’Autre avec comme fil conducteur une sè rie d’images d’è poque conçue comme une bande dessinè e.

 Du 24 juin au 14 septembre 2015. Valérie Belin. Les images intranquilles, au Centre Pompidou, Galerie du musée. Une quarantaine de photographies de sa toute dernière série, sur le thème du mannequin, toujours si net, qu’il en devient troublant.


 Du 24 juin au 13 septembre 2015. Céleste Boursier-Mougenot, au Palais de Tokyo.

Cet artiste singulier de la scène française et internationale (reprè sentant la France à la 56e Biennale d’art contemporain de Venise) concevra une vaste installation inè dite qui enchantera avec une grande simplicitè formelle, invitant à la contemplation et à la dè ambulation, au partage d’une expè rience mè ditative.

Avez-vous déjà traversé une rivière dans un musée ? Tranquillisez-vous. Même si une sourde inquiétude enrichissante peut vous saisir, il ne s’agira aucunement du Styx, et aucun gondolier des Enfers ne vous touchera le front pour vous offrir l’oubli et la béatitude tout à la fois...

 Du 24 juin au 13 août 2015. Lartigue. La vie en couleurs, à la Maison européenne de la photographie.

 Du 24 juin au 13 septembre 2015. Patrick Neu, au Palais de Tokyo.

Patrick Neu, Gantelet d’armure en ailes d’abeilles, 2011. Ailes d’abeilles, plâ‚tre. Environ 25 x 15 cm. Vue de l’exposition “Iota Pictura†à La Verrière / Fondation d’entreprise Hermès, Bruxelles, 2012. Photo : Fabien de Cugnac

Première grande exposition de cet artiste mè connu. Patrick Neu est un crè ateur essentiel, au talent immense et dont l’œuvre, conçue dans la discrè tion, encore très peu montrè e, est suivie passionnè ment par quelques è crivains, professionnels de l’art et collectionneurs silencieux.


 Du 24 juin au 13 septembre 2015. Tianzhuo Chen, au Palais de Tokyo. Au milieu des lumières brillantes des néons, le religieux et les systèmes symboliques qui lui sont associés forment l’essence des œuvres de Tianzhuo Chen.

 Du 24 juin au 13 septembre 2015. Korakrit Arunanondchai, au Palais de Tokyo. Création par l’artiste d’un espace cinématique, environnement hybride à la croisée de la projection cinématographique et de l’installation d’œuvres inédites pour la plupart.

 Du 24 juin au 14 septembre 2015. Gottfried Honegger, au Centre Pompidou, Galerie du musée. Une exposition qui met l’accent sur la genèse des Tableaux-reliefs, et leur développement. Une production sérielle qui échappe à toute monotonie.

 Du 24 juin au 13 septembre 2015. Jesper Just, au Palais de Tokyo. Du 24 juin au 13 septembre 2015.


 Du 24 juin au 28 septembre 2015. Mona Hatoum, au Centre Pompidou, Galerie 1. Des œuvres (performances, photographies, vidéos, installations et dessins) mettant en scène notre monde bien instable.

 Été 2015. Dessins des écoles étrangères de la collection Mariette, au musée du Louvre.

 De mi-juin à fin octobre 2015. Anish Kapoor, au Château de Versailles. Après le Coréen Lee Ufan, l’artiste londonien Anish Kapoor, inventeur de formes si sensuelles, douces et confortables, et qui fut l’un des rares artistes invités à se produire à l’exposition Monumenta et à habiter seul de ses œuvres le Grand Palais, fera l’événement au Château...


Juillet

 Du 1er juillet au 28 septembre 2015. Anna et Bernhard Blume : la photographie transcendantale, au Centre Pompidou, Forum, Niveau -1. Ils étaient fascinés par le paranormal : déplacements d’objets à distance, lévitations, télékinésie...

 Du 2 au 5 juillet 2015. Japan Expo, au Parc des expositions Paris-Nord Villepinte. 16e édition de ce grand festival de la culture et des loisirs japonais : mangas, animations, art culinaire, arts martiaux, et jeux vidéos.

 Du 10 juillet au 4 octobre 2015. De Rubens à Van Dyck, les chefs-d’œuvre flamands de la collection Gerstenmaier, à la Pinacothèque.

59 œuvres flamandes, panneaux de bois peints, toiles, ou gravures, choisies une à une et acquises en salles de ventes par Hans Rudolf Gerstenmaier.


 Du 11 juillet 2015 au 10 janvier 2016 (prolongation). Beauté Congo (1926-2015). Congo Kitoko, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain. La production artistique congolaise, dans sa diversité et sa vivacité, de la naissance de la peinture moderne au Congo dans les années 1920 à aujourd’hui, mais avec ses musique, sculpture, photographie et bande dessinée.


Août


Septembre

 Du 2 septembre au 31 octobre 2015. Jean-Pierre Laffont. Tumultueuse Amérique, à la Maison européenne de la photographie.

Gang des Savage Skulls. Bronx, New York City, NY. 20 Juillet 1972 © Jean-Pierre Laffont, 2015. Exposition à la Maison Européenne de la Photographie.

Photojournaliste et conteur d’histoires de son époque, Jean-Pierre Laffont est un électron libre, fidèle avant tout à son insatiable curiosité. Lorsqu’il photographie sur une trentaine d’années les États-Unis, il en capte les mutations politiques, sociales ou culturelles, épinglant le destin des puissants et documentant de façon implacable et à dimension humaine les tragiques divisions de cette civilisation.

 Du 4 au 8 septembre 2015. Salon Maison et Objet, au Parc des Expositions, Paris-Nord Villepinte.

 Du 8 septembre 2015 au 31 janvier 2016. Osiris, mystères engloutis d’Égypte, à l’Institut du Monde arabe.

250 objets obtenus au fil de 7 années de fouilles sous-marines de l’équipe de Franck Goddio révélant les vestiges de la cérémonie des mystères d’Osiris célébrés à Thônis, Héracléion ainsi qu’à Canope, et une quarantaine d’œuvres des musées du Caire et d’Alexandrie, certaines sortant d’Égypte pour la première fois.

 Du 9 septembre au 20 décembre 2015. Jeff Wall - Smaller Pictures, à la Fondation Henri Cartier Bresson.

 Du 10 au 13 septembre 2015. Révélations. Le salon des métiers d’art et de la création, au Grand Palais.

 Du 10 septembre 2015 au 7 février 2016. Villa Flora. Les Temps enchantés, au musée Marmottan.

Henri-Charles Manguin, La Sieste, ou le Rocking Chair, Jeanne, 1905 (Collection privée, Villa Flora, Winterthour © 2011 Pro Litteris Zurich

Découvrir pour la première fois en France des chefs-d’œuvre d’une des plus prestigieuses collections particulières, ceux que choisirent les époux Hahnloser-Bühler pour orner leur Villa Flora (Winterthour, Suisse). Près de 80 merveilles de Bonnard, Cézanne, Manet, Manguin, Matisse, Marquet, Renoir, Vallotton, Vuillard et Van Gogh...

 Du 11 septembre 2015 au 3 janvier 2016. Daum. Variations d’artistes, (titre provisoire), à l’ Espace Dali . Les œuvres réalisées par Salvador Dali avec la cristallerie Daum, associè es à des pièces d’autres artistes et designers ayant aussi travaillè avec elle.


 Du 11 septembre 2015 au 25 janvier 2016. Florence. Portraits à la Cour des Médicis, au musée Jacquemart-André.

Photograph © National Gallery of Prague 2014

40 œuvres des plus grands portraitistes du XVIe siècle : chefs-d’œuvre de Rosso Fiorentino, de Pontormo, l’élève d’Andrea del Sarto et le maître du maniérisme, comme ceux raffinés et gracieux des portraits de Bronzino, de Ghirlandajo, d’Andrea del Sarto, ou encore de Salviati, d’une extrême sophistication.

 Du 11 septembre 2015 au 3 janvier 2016. Les fables de Kalila et Dima, à l’Institut du Monde arabe.

Traduites en arabe au VIIIe siècle en Irak, dans une version due à Ibn al-Muqaffa’, puis dans de nombreuses autres langues, ces fables ont connu une carrière éblouissante tant en Orient qu’en Occident. Ouvrage de sagesse initialement destiné à l’éducation des princes, le livre de Kalila wa Dimna trouve son origine dans un recueil de fables composé en Inde vers le IVe siècle apr. J.-C. Donner la parole aux animaux permet d’enseigner en toute liberté (ou impertinence) les principes de la bonne gouvernance.

 Du 16 septembre 2015 au 24 janvier 2016. Fragonard amoureux, galant et libertin, au musée du Luxembourg.

Artiste libertin, peintre des boudoirs et des scènes d’alcoÌ‚ves ? L’inspiration échauffante de Fragonard (1732-1806) sait lui faire varier son expression de la polissonne Feinte rè sistance au sensuel mais dè licat Baiser d’une collection particulière. Le XVIIIe siècle fut, selon les Goncourt, celui de la sè duction et de l’intrigue amoureuse, dont ce peintre particulièrement doué pour cela aurait è tè le grand illustrateur, si ce n’est le principal agent.

Le Verrou, Jean-Honoré Fragonard, 1778. Huile sur toile 73 x 93 cm. Musée du Louvre, Paris

 Du 18 septembre au 13 décembre 2015. Le bivouac de Napoléon : luxe impérial en campagne, à la Galerie des Gobelins , Mobilier national, Paris.

 Du 18 septembre 2015 au 13 mars 2016. Hey ! Modern Art and Pop Culture / Act III, à La Halle Saint-Pierre. 63 artistes internationaux pour poursuivre l’exploration des différents expressions artistiques de la contre-culture : lowbrow art, art outsider, bande dessinée et plus largement les médias porteurs d’une culture de rue.


 Du 19 septembre 2015 au 3 janvier 2016. Korea Now ! Design, craft, mode et graphisme en Corée, au musée des Arts décoratifs.

Plus de 700 pièces de 150 artistes, artisans, designers, créateurs de mode et graphistes pour découvrir l’éclectisme des styles, des goûts et des créations de ce formidable patrimoine artistique encore peu connu en Europe. Une effervescence
créative, suivie de près par la scène internationale...

 Du 22 septembre 2015 au 17 janvier 2016. Splendeurs et misères. La prostitution en France de 1850 à 1910, au musée d’Orsay.

De Toulouse-Lautrec à Degas, et de Manet à Valloton, les évocations et les images de toutes sortes de la prostitution ont fasciné l’imaginaire des grands artistes de cette époque.

 Du 22 septembre 2015 au 20 mars 2016. Climat, l’expo à 360°. Actualités, enjeux, visions d’artistes, à la Cité des sciences.

Pour accompagner la Conférence mondiale sur le climat COP 21 qui se tient à Paris, cette exposition-parcours mêle approche scientifique et création artistique. Elle aborde le dérèglement climatique notamment à travers les œuvres du photographe Kadir van Lohuizen. Phénomènes récents, de la fonte des glaces à l’augmentation du niveau des mers...

 Du 22 septembre au 22 novembre 2015. Graphisme contemporain et engagement(s), à la BnF, site Mitterrand, allée Julien Cain.


 Du 22 septembre au 22 novembre 2015. Photoquai (PHQ5), au musée du Quai Branly et sur les quais.

Frank Kalero ouvre le champ géographique et élargir la sélection aux diasporas. 40 photographes retenus par une équipe curatoriale (Claudi Carreras (Amérique latine), Liza Faktor (Fédération de Russie), Michket Krifa (Moyen-Orient), Azu Nwagbogu (Afrique), Kevin Wy Lee (Asie) et Louise Clements (Le Monde et les nouvelles interactions).


 Du 23 septembre 2015 au 11 janvier 2016. Élisabeth Vigée-Lebrun (1755-1842), au Grand Palais.

Louise Élisabeth Vigée Le Brun, Autoportrait (1790)

Ce premier hommage rendu en France à Élisabeth Louise Vigè e Le Brun rè unit 130 de ses œuvres, toutes techniques et supports confondus. Certaines sont exposè es pour la première fois au public.

Cette femme, du fait des limites imposées en ce siècle particulièrement tumultueux aux femmes artistes, su, par force, se limiter aux portraits, réalisant tout de même quelques belles incursions dans la peinture d’histoire et les scènes de genre.

Elle parvint malgré sa vie aventureuse et nomade à dè velopper une technique et des critères esthè tiques très personnels, manifestant une grande maiÌ‚trise délicate des couleurs et inventant une large gamme de poses et de costumes.

Ses autoportraits avec sa fille Julie font immanquablement penser à Berthe Morisot.

 Du 23 septembre au 12 décembre 2015. Lola à lvarez Bravo, Photographies / Mexique, à la Maison de l’Amérique latine .

 Du 23 septembre 2015 au 1er février 2016. Julien Prévieux, Prix Marcel Duchamp 2014, au Centre Pompidou.


 Du 23 septembre 2015 au 1er février 2016. Dominique Gonzalez-Foerster, au Centre Pompidou.

Sans Titre (mm), photographie préparatoire (Détail), 2015 © Giasco Bertoli et DGF

Une des plus grandes artistes françaises de la scène contemporaine internationale.

 Du 24 septembre au 4 janvier 2016. Brève histoire de l’Avenir, au musée du Louvre, Hall Napoléon.

Tête de Gudéa, prince de Lagash, vers 2120 av. J.C., Diorite, 25,20 x 25 x 27, Paris, musée du Louvre

Ce sera l’un des è vè nements majeurs du Louvre en 2015. Retracer, au prè sent, un rè cit du passè qui serait susceptible d’è clairer notre regard sur l’avenir. En associant les ingè nieurs et les 8 artistes, les sciences, l’architecture ou le cinè ma, les contemporains et les anciens, Brève histoire de l’avenir cherche à discerner ce qui, dans l’histoire des sociè tè s disparues, nous renseigne sur les chances et les pè rils du futur. Les è tapes qui ont construit l’individu au cours des siècles, libre ou soumis, tour à tour, aux lois de la ville, de l’empire, du marchè .

Quatre grandes scansions : l’ordonnancement du monde, les grands empires (entre fracas des armes et transmission des savoirs), l’è largissement du monde et le monde contemporain, polycentrique, qui s’articuleront autour d’une œuvre majeure, mise en perspective ou en dialogue, avec des œuvres d’è poques et de civilisations diffè rentes. Son commissariat a è tè confiè à Jean de Loisy, prè sident du Palais de Tokyo, et à Dominique de Font-Rè aulx, directrice du musè e Eugène-Delacroix.


 Du 29 septembre 2015 au 16 août 2016. Autour des Dinosaures. Un voyage du Jurassique au Crétacé, au Palais de la Découverte.

Gigantesques reptiles aux dents acérées, les dinosaures font aujourd’hui encore l’objet
de nombreux fantasmes. Des immenses Camarasaurus aux féroces Tarbosaurus ou aux méconnus Gallimimus, l’exposition immerge le visiteur dans deux environnements reconstitués du Jurassique et du Crétacé. 7 animatronics, 60 fossiles, une séquence
vidéo stupéfiante, de véritables os de dinosaures, des moulages de plantes... mettent en lumière les dernières découvertes en la matière.

 Du 29 septembre au 15 novembre 2015. Les années Ovahimba / Rina Sherman, à la BnF, site Mitterrand, Galerie des donateurs.


 Du 30 septembre 2015 au 15 février 2016. Wifredo Lam, au Centre Pompidou, Galerie 2, Niveau 6.

Une rétrospective inédite pour replacer l’œuvre de cet artiste cubain dans une histoire internationale de l’art moderne.

Toutes les périodes, de ses premières années cubaines, et du séjour espagnol, aux gravures des années 1960-1970, pour mieux retracer le parcours original de Wilfredo Lam.

Prêt exceptionnel de La Jungle, œuvre phare, conservée au MoMa de New York.


 Du 30 septembre 2015 au 17 juillet 2016. Chefs-d’œuvre d’Afrique. Dans les collections du musée Dapper, au musée Dapper .

Fang – Gabon. Figure de reliquaire. Musée Dapper, Paris © Archives musée Dapper – Photo Hugues Dubois.

Par leur ancienneté, leurs prestigieuses provenances (collections de Charles Ratton, Tristan Tzara, Paul Guillaume), la diversité des origines géographiques, les quelque 130 pièces majeures qui seront montrées n’ont souvent aucun équivalent dans le monde, telles certaines sculptures du Gabon (Fang, Kota, Punu), du Cameroun (Bangwa), du Bénin (Fon), ou du Mali (Dogon, Soninke).

 Septembre 2015. Réouverture du musée Rodin. Après 3 ans de travaux : mise aux normes, reconstitution d’une salle, nouveau parcours muséographique.


Automne

 Automne-hiver 2015. Medardo Rosso, la sculpture impressionniste (sous réserve), au musée Rodin.

Première rè trospective en France de ce sculpteur italien contemporain de Rodin. Medardo Rosso (1858-1928), venu travailler à Paris en 1884, devient le hè raut de l’impressionnisme en sculpture, multipliant les aspè ritè s des volumes et fragmentant les surfaces par des variations du modelè , des effets de touche picturale ou des cassures rythmiques qui accrochent et dynamisent la lumière. On le présentera comme prè curseur d’une veine esthè tique menant à Giacometti.

 Automne-hiver 2015. Delacroix et le théâtre, au musée Delacroix.

 Automne-hiver 2015. Chefs-d’œuvre de la collection Bonnat, au musée du Louvre.

 Automne-hiver 2015. Picasso ! La saison anniversaire, au musée Picasso . Une nouvelle présentation des collections.

 Automne-hiver 2015. Rodin, Klimt, Schiele, Kokoschka, au musée Rodin.


Octobre

 Du 1er octobre 2015 au 17 janvier 2016. Fantastique ! L’estampe visionnaire de Goya à Redon, au musée du Petit Palais. Le fantastique est omniprésent dans la gravure et la lithographie du XIXe siècle, notamment dans l’œuvre des maîtres de l’estampe qu’étaient Delacroix, Grandville, Doré, Bresdin, Meryon, Odilon Redon ou Félicien Rops. Macabre, bestiaire fantastique, paysage habité, la représentation du rêve ou du cauchemar sont parmi les thèmes récurrents du fantastique en noir et blanc.

 Du 1er octobre 2015 au 17 janvier 2016. Kuniyoshi. Le démon de l’estampe, au Petit Palais.

 Du 2 octobre 2015 au 7 février 2016, Andy Warhol, Unlimited, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.

Une série abstraite réalisée en 1978, sérigraphiée en 17 couleurs, associée à quelque 70 autres œuvres dont "Fleurs", "Mao", et les "Chaises électriques".

 Du 4 octobre 2015 au 28 février 2016. Climats artificiels, à la Fondation EdF.

© Tetsuo Kondo, Cloudscape, 2012

Près de 30 installations, photographies et vidéos d’artistes contemporains. Leurs éclairs sont en néons, leurs cyclones faits d’eau, et leurs nuages en écorce de cacahuète ou en céramique. Quand certains nous plongent phoniquement dans une vague, d’autres inventent des biosphères de poche pour pallier la pollution urbaine ou nous font caresser le doux rêve de marcher au travers d’un... nuage.

Climats artificiels : avec des œuvres monumentales, étonnantes, utopistes, inquiétantes, drôles ou émouvantes, notamment de Marina Abramović, Hicham Berrada, Spencer Finch, Laurent Grasso, Hans Haacke, Tetsuo Kondo, Ange Leccia, Yoko Ono et Pavel Peppertsein.

 Du 7 octobre 2015 au 29 février 2016. Picasso-mania, au Grand Palais, Galeries nationales.

Chronologique et thè matique, cette exposition trace à la fois la rè ception critique et artistique de l’œuvre de Picasso, comme les è tapes de la formation du mythe croissant qui s’associa à son nom.

ErroÌ , Picasso Antibes (dè tail), 1982, 195,5 x 132 cm, peinture glycè rophtalique sur toile, Musè e Picasso Antibes © Adagp, Paris / CNAP / photo Yves Chenot

À ces grandes étapes stylistiques, illustrées par ses œuvres les plus fameuses, répondent des créations d’artistes contemporains dont Hockney, Johns, Baselitz, Erro, Kusturica, Basquiat et Lichtenstein et bien d’autres, utilisant vidè o, peinture, sculpture, art graphique, film, photographie, installation.

 Du 7 octobre 2015 au 24 janvier 2016. Chevaliers et bombardes. D’Azincourt à Marignan, 1415-1515, au musée de l’Armée - Hôtel des Invalides. À l’occasion de l’année François Ier.

100 ans d’histoire, explorés de la défaite d’Azincourt jusqu’au début de la Renaissance pour retracer les évolutions de l’art de la guerre, à travers le développement de l’artillerie qui progressivement embrasera les champs de bataille.

 Du 9 octobre 2015 au 31 janvier 2016. Co-Workers, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.

GCC, Inaugural Summit, Morschach 2013 1 Digital C-print photograph, 118.9 x 84.1cm Courtesy of GCC & Kraupa-Tuskany Zeidler, Berlin

Autour d’une vingtaine d’artistes français et étrangers dont le langage, inspirè des nouvelles technologies, est radicalement nouveau, de nouveaux comportements sociaux ayant modifiè le rapport aux arts visuels. Des environnements immersifs (images, textes, vidè os et montages sonores). S’appropriant des images issues d’autres univers (marketing, publicitè , clips, software de jeux vidè o ou de l’animation 3D), ces artistes, adeptes des rè seaux sociaux, soulignent l’ambivalence entre le rè el et le virtuel.

 Du 10 octobre 2015 au 8 février 2016. Des(t/s)ins de guerre, au musée Zadkine.

 Du 13 octobre 2015 au 31 janvier 2016. Chagall (Marc). Le triomphe de la musique, à la Philharmonie de Paris.

250 œuvres de celui qui, de ses projets monumentaux aux peintures sur toile, œuvres sur papier, sculptures et céramiques, collages, costumes de scènes ou projets de décors, s’attachait à donner forme aux sons…

Izis, Marc Chagall travaillant aux panneaux du Metropolitan Opera de New York : Le Triomphe de la Musique (détail), atelier des Gobelins, Paris, 1966

 Du 14 octobre 2015 au 14 février 2016. Martin Scorsese, à la Cinémathèque française.

Grande première mondiale : Martin Scorsese, l’un des plus grands réalisateurs américains vivants, celui de Taxi Driver, Raging Bull, Les Affranchis, Aviator, Les Infiltrés, et le Loup de Wall Street, accepte pour la première fois de s’exposer et créera l’événement la rentrée prochaine.

 Du 14 octobre 2015 au 21 février 2016. Moïse. Figures d’un prophète, au Mahj.

 Du 14 octobre 2015 au 25 janvier 2016. Qui a peur des femmes photographes ? 1839/1945 ? , au musée de l’Orangerie .

Considérable réévaluation de leurs contributions à l’histoire de la photographie, dans les pays d’Europe comme aux États-Unis.

 Du 15 octobre 2015 au 14 février 2016. Jacques Doucet - Yves Saint Laurent. Vivre pour l’art, à la Fondation Pierre Bergé -Yves Saint Laurent.

Grand Salon du 55 rue de Babylone, chez Yves Saint Laurent. Photographie Nicolas Mathéus.

À partir de chefs-d’œuvre collectionnés par Jacques Doucet (1853-1929) et Yves Saint Laurent (1936-2008), dont quelques pièces qui habitèrent chez l’un puis chez l’autre, l’exposition construit un espace hybride voué au culte du beau, en hommage à ces deux grands collectionneurs du XXe siècle.

 Du 15 octobre 2015 au 4 juillet 2016. Les Mythes fondateurs, au musée du Louvre, La Petite Galerie du Louvre, Richelieu.

Véritable "école du regard", la Petite Galerie, inaugurée à cette occasion, proposera chaque année aux jeunes et à leurs accompagnateurs un thème à explorer grâce à des œuvres majeures, de la préhistoire à la création contemporaine. Déployée
également en ligne et hors les murs, elle donnera les clés d’observation et d’explication des œuvres, pour faire d’une visite un moment de plaisir et de délectation. Première saison, les mythes fondateurs (cartels ludiques, parcours, médiateurs dans les salles).


 Du 16 octobre 2015 au 15 février 2016. Suzanne Valadon, Maurice Utrillo, André Utter, à l’atelier 12, rue Cortot, 1912-1926, au musée de Montmartre.

Suzanne Valadon, Portrait de famille, 1912, Centre Pompidou – Musée national d’art moderne © Centre Pompidou Mnam-Cci, dist. Rmn-GP/Philippe Migeat

Rivalités et complicités créatrices du "trio infernal", à travers une sélection de près de 150 de leurs œuvres, durant cette période où Suzanne retourne vivre et peindre avec son fils et son compagnon.

 Du 16 octobre 2015 au 7 février 2016. Séoul-Paris-Séoul, les artistes coréens en France, au musée Cernuschi.

 Du 16 octobre 2015 au 20 mars 2016. Karl Lagerfeld. A visual Journey. Photographs, à la Pinacothèque.

Architecture, paysages, Paris la nuit, portraits et autoportraits, photographie de mode et abstraction (un gouÌ‚t pour les arts graphiques caractè rise un grand nombre de ses photos, quels qu’en soient les sujets). Deux grandes installations – Daphnis et Chloè et Le Voyage d’Ulysse – couronnent cette prè sentation complète de l’œuvre photographique de Lagerfeld.


 À partir du 17 octobre 2015. Réouverture du musée de l’Homme, Musée de l’Homme.

Après 6 années de rénovation... de vénérables fossiles, des chefs-d’œuvre de la préhistoire (Vénus de Lespugue, plaque de la Madeleine au mammouth gravé... et les surprises de l’anthropologie culturelle.

Vénus de Lespugue, ivoire de mammouth, paléolithique supérieur © MNHN - JC Domenech

 Du 17 octobre 2015 au 17 janvier 2016. La collection Artur Walther, à la Maison rouge.

 Du 18 au 25 octobre. Salon Réalités Nouvelles, au Parc Floral de Paris.

 Du 20 au 25 octobre 2015. ¡ Picasso ! au musée Picasso . Quelques jours pour fêter le 30e anniversaire du musée.

 Du 20 octobre 2015 au 24 janvier 2016. Philippe Halsman, au musée du Jeu de Paume.

Dalí Atomicus, 1948. Philippe Halsman © 2014 Philippe Halsman Archive / Magnum Photos. Droits exclusifs pour les images de Salvador Dalí : Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres, 2014. Publié dans Life en 1948

Philippe Halsman s’installe à Paris où il ouvre un studio photographique en 1932, et durant une quarantaine d’années, élargira sans cesse son champ d’activité aux portraits, à la mode, aux reportages, publicités, projets personnels, commandes privées et institutionnelles. En 1940, l’invasion allemande met un terme à sa carrière prospère et il trouvera refuge à New York.

 Du 20 octobre 2015 au 24 janvier 2016. Omer Fast, au musée du Jeu de Paume. Dans ses installations vidéo, composées de projections uniques ou multiples, Omer Fast explore de nouvelles formes de narration, liant mots et images. Ses œuvres proposent une multiplicité de points de vue qui lui permettent de présenter des versions d’une même réalité et de rompre avec la linéarité cinématographique. Par le montage, Fast manipule images, son, sous-titres et voix créant de multiples lectures et des strates temporelles qui, sur des écrans simultanés, disloquent l’histoire et placent le spectateur dans une expérimentation aux limites de la réalité.

Anselm Kiefer, Shevirat Ha-Kelim (Le bris des vases), 2011 © Anselm Kiefer, Photo Avraham Hay

 Du 20 octobre 2015 au 7 février 2016. Anselm Kiefer, à la BnF, site Mitterrand.

Première grande exposition consacrée à la place du livre dans l’œuvre d’Anselm Kiefer (plus d’une centaine réalisés entre 1968 et 2015). Son atelier, et sa bibliothèque, dans la propre scénographie de l’artiste.

 Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Ugo Rondinone. I love John Giorno, au Palais de Tokyo. À l’occasion des 80 ans de John.

 Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Ragnar Kjartansson, seul celui qui connaiÌ‚t le dè sir, au Palais de Tokyo. Entre performance et films de cet artiste de 32 ans.

World Light-The Life and Death of an Artist, 2015 Une commande/ Commissioned by Thyssen-Bornemisza Art Contemporary, Vienne/ Vienna Courtesy de l’artiste et/ of the artist and Luhring Augustine (New York) ; I8 Gallery (Reykjavik).

Exposition personnelle, la première en France, de l’artiste islandais Ragnar Kjartansson. Nè en 1976, il vit et travaille à Reykjavik. De manière à la fois poè tique et surprenante, l’événement s’attache à dè peindre les dè sirs quotidiens, en què‚te de transcendance, brouillant les frontières entre le banal et le sublime.

 Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Mélanie Matranga, au Palais de Tokyo. Sur 1 500m2. Commissaires Castillo / Corrales.

 Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Héctor Zamora, au Palais de Tokyo.

 Du 21 octobre 2015 au 11 janvier 2016. Karel Appel, au Centre Pompidou.


 Du 21 octobre 2015 au 25 janvier 2016. Claude Lévêque, au musée du Louvre, fossés et donjon médiévaux.

Claude Lévêque. Sous le plus grand chapiteau du monde (partie 2) © ADAGP Claude Lévêque. Courtesy the artist and Kamel Mennour, Paris.

Claude Lévêque, artiste majeur de la scène contemporaine internationale, pose une création spécifique dans les espaces du Louvre médiéval, pensés comme univers et base de récit. Son œuvre y active évocations et sensations. Du dessous de la pyramide à la partie médiévale du Louvre, une création d’émotions sensorielles "entre coercition et ravissement" par l’utilisation de la lumière, du son, d’objets et de matériaux.

 Du 22 au 25 octobre 2015. Fiac, au Grand Palais. 42e édition avec des galeries du monde entier.

 Du 27 octobre 2015 au 7 février 2016. Sepik, Arts de Papouasie - Nouvelle-Guinée, au musée du Quai Branly.

Première exposition en France consacrée aux arts des populations du plus grand fleuve du Nord de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, Sepik, l’Art au long du fleuve rassemble une collection inédite de 230 œuvres.

 Du 28 octobre 2015 au 29 février 2016. Les Années AUA, à la Cité de l’Architecture, Galerie d’architecture moderne et contemporaine. L’Atelier d’urbanisme et d’architecture fut le pivot de la culture et de la profession en France durant un quart de siècle. Examen d’ensemble de la production de Jacques Allè gret, Paul Chemetov, Henri Ciriani, Michel Corajoud, Jean Deroche, Jacques Kalisz, Georges Loiseau, Jean Perrottet et Jean Tribel.


Novembre

 Du 3 novembre 2015 au 31 janvier 2016. Estampe française au temps de Louis XIV (1661-1715). Images du Grand Siècle, à la BnF, site Mitterrand.

Étienne Picard, d’après Gaspard et Balthazar Marsy, Les chevaux d’Apollon, eau-forte et burin,1675, publié dans André Félibien, Description de la grotte de Versailles, Paris, Imprimerie royale, 1676, pl. XVII.BnF, Estampes et photographie

L’art de l’estampe est en France à son apogée sous Louis XIV, supplantant Rome, Anvers et Amsterdam, par ses vogues successives du portrait, des livres de fête, des recueils d’ornements et d’architecture, des estampes de grand format en plusieurs planches, et surtout par la perfection technique d’artistes graveurs comme Robert Nanteuil, les Lepautre, Edelinck ou Girard Audran.

 Du 3 novembre 2015 au 24 janvier 2016. Esthétiques de l’Amour, au musée du Quai Branly, Mezzanine Ouest.

 Du 3 novembre 2015 au 28 février 2016. Visages de l’Effroi. Violence et fantastique de David à Delacroix, au musée de la Vie romantique.

 Du 4 novembre 2015 au 28 février 2016. Le Marais en héritage. 50 ans de la loi Malraux, au musée Carnavalet.

 Du 7 novembre 2015 au 20 mars 2016. La mode retrouvée, les robes-trésors de la comtesse Greffulhe, au musée Galliera.

 Du 10 novembre 2015 au 29 mai 2016. Frontières, au musée de l’Histoire de l’immigration .

Leur rôle, leurs enjeux contemporains dans le monde, et les histoires singulières de ceux qui tentent de les traverser aujourd’hui.

 Du 10 novembre 2015 au 17 janvier 2016. Première Biennale des photographes du monde arabe, à l’Institut du Monde arabe associé à la Maison européenne de la photographie.

Résolument ancrée dans le réel et tournée vers le XXIe siècle, un parcours pédestre entre l’IMA et la MEP jalonné de lieux d’exposition dont la galerie Photo 12, la Basia Embiricos, la Binôme, la Cité des Arts, le square Barye, la mairie du IVe... 30 artistes sur 700 m2.

 Du 11 novembre 2015 au 29 février 2016. Renzo Piano, Building Workshop, piece by piece, à la Cité de l’Architecture, Galerie Haute. Une trentaine de grandes tables monographiques, de maquettes, dessins, photographies et vidè os expliquent le travail de l’architecte dans son atelier, l’ampleur des rè alisations et le processus de conception pour diffè rents projets (aè roports, musè es, bibliothèques ou villas).

 Du 11 novembre 2015 au 1er février 2016. Varda / Cuba, au Centre Pompidou. Deux mois après la crise des missiles, la rencontre "du socialisme et du cha-cha-cha". Photos faites pour le film "Salut les Cubains".

© Rè mi Papillault
 Du 11 novembre 2015 au 14 mars 2016. Chandigarh : 50 ans après Le Corbusier, à la Cité de l’Architecture, Galerie Basse. Qu’est devenu ce projet initialement conçu pour 150 000, puis 500 000, et dont la population est aujourd’hui plus proche d’1,5 million d’habitants. Comment y vit-elle ?

 12 novembre 2015. Le nouveau musè e Rodin, rè ouverture de l’hoÌ‚tel Biron, Musè e Rodin , Paris.

 Du 12 au 15 novembre 2015. Paris-Photo, au Grand Palais.

 Du 13 novembre 2015 au 15 février 2016. Lucien Clergue, les premiers albums, au Grand Palais.

Lucien Clergue (1934-2014), photographe et ami de Picasso, crée les Rencontres internationales de la photographie d’Arles en 1968, auxquelles viennent exposer et se rencontrer chaque année les plus grands photographes du monde.

 Du 19 novembre 2015 au 21 février 2016. Éros Hugo, à la maison de Victor Hugo.


Hiver

 Hiver 2015. L’animal en Égypte ancienne, au musée du Louvre.


Décembre

 Du 9 décembre 2015 au 7 mars 2016. Delacroix et l’antique, au musée national Eugène-Delacroix.

En lien avec le département des Antiquités du Louvre, l’exposition explore la relation étroite que Delacroix entretint avec l’art antique, révélée comme une spécificité originale de son point de vue.

Dessins et peintures de l’artiste, au regard des moulages qu’il a lui-même retenus pour le décor de façade de son atelier, et les ouvrages et textes qui sont à l’origine de ce choix. Autographes et manuscrits permettent de montrer les parts théorique et sensible prises par l’art antique dans la conception de cet artiste romantique.

 Du 15 décembre 2015 au 1er août 2016. Darwin, l’original, à la Cité des sciences.

Qui était-il ? Un scientifique rigoureux et un humaniste, antiesclavagiste, pionnier dans son domaine... La pensée et les méthodes de ce grand naturaliste.


 Du 16 décembre 2015 au 18 avril 2016. Anselm Kiefer, au Centre Pompidou, Rétrospective, des premières œuvres aux installations monumentales, et des toiles et aquarelles de ses débuts jusqu’aux sculptures.

Anselm Kiefer, Shevirat Ha-Kelim (Le bris des vases), 2011 © Anselm Kiefer, Photo Avraham Hay

 Du 17 décembre 2015 au 15 février 2016. Parmigianino, au musée du Louvre, Mollien.

Parmigianino, Deux canéphores se donnant la main, de part et d’autre de caissons © Musée du Louvre

Maître italien du maniérisme, Francesco Mazzola (1503-1540), dit il Parmigianino, a été, de 1520 à 1540, le tenant du style de la grâce et de la vénusté, toujours en quête de la perfection, fiévreusement et jusqu’à l’inquiétude, un génie de la transcendance.

Avec un fonds de plus de 180 dessins, le musée du Louvre détient la plus grande collection d’études de sa main, dont une sélection de 65 chefs-d’œuvre sera présentée, suivant l’artiste de Parme à Rome (1524-1527), de Rome à Bologne (1527-1530) et de Bologne à Parme de nouveau.

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2016

 Du 5 mai au 22 juin 2016 (dates à confirmer). Huang Yongping, choisi pour Monumenta 2016. L’exposition du Grand Palais serait apparemment devenue biennale les années paires (pour « laisser toute sa place à la Biennale de Lyon  » les années impaires, selon la ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti).

L’artiste français d’origine chinoise Huang Yongping, figure majeure de l’art d’avant-garde chinois des années 1980 a été retenu. Découvert lors de l’exposition « Les Magiciens de la Terre  » qui fit date et qui se tenait simultanément au Centre Pompidou et à la Cité de la Villette, en 1989, année de la répression de la place Tianamen. Cette exposition ouvrait la scène de l’art contemporain international aux artistes non occidentaux.


2017

Ré-ouverture place de la Concorde de l’Hôtel de la Marine, confié au Centre des monuments nationaux, en mars 2017.

 Été 2017. Le Siècle d’Or génois, au musée du Louvre.


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Vous retrouvez comme chaque année dans PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z les différentes expositions annoncées par leurs établissements et musées.

Frederic Leighton (1830–1896) Crenaia, the nymph of the dargle, ca. 1880 Huile sur toile 76.2x26.7 cm Colección Pérez Simón, Mexico © Arturo Piera, Musée Jacquemart-André 09/13-01/14

Dans Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris ces mêmes expositions sont classées par dates.

Dans la série Toutes les expositions 2017-2018 dans les plus grands musées de Paris... lire également :
Au musée du Louvre, au Centre Pompidou, au Grand Palais, au musées d’Orsay et de l’Orangerie, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, au Jeu de Paume, au Palais de Tokyo, à la Bibliothèque nationale de France, au musée du Quai Branly, au musée des Arts décoratifs, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, au musée Guimet, au musée Galliera, au Petit Palais, et au Château de Versailles.

Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.

Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et... nos préférences, car on ne se refait pas : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.

Vous pouvez consulter plus d’une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.

Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2017 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2016, 2015, 2014, 2013, 2012.

Nous vous proposons aussi une sélection de musées et d’expositions 2017 dans les villes françaises suivantes, que nous nous efforçons de tenir assez régulièrement à jour :
 Aix-en-Provence - Albi - Les Alpilles - Angers, - Angoulême - Antibes - Arles - Aubagne - Avignon : Saintes-Maries-de-la-Mer, L’Isle-sur-la-Sorgue - Bègles - Biarritz - Biot, - Blois - Bordeaux - Bourg-en-Bresse - Cagnes-sur-Mer, - Cannes, - Carcassonne - Dijon - Grasse- Grenoble - Hyères - Ile-de-France : Auvers/Oise, Boulogne-Billancourt, Bussy-Saint-Martin, Chamarande, Chantilly, Châtenay-Malabry, Compiègne, Écouen, Fontainebleau, Giverny, L’Isle-Adam, Jouy-en-Josas, Malmaison, Marne-la-Vallée, Meudon, Milly-la-Forêt, Noisiel, Pantin, Pierrefitte/Seine, Poissy, Pontoise, Royaumont, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, Saint-Denis, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Ouen-l’Aumône, Sceaux, Sèvres, Versailles, Vitry/Seine, Yerres - Le Cannet - Le Havre - Lens - Le Rayol - Le Canadel/Mer - Les Sables-d’Olonne - Libourne - Lille : Villeneuve d’Ascq, Roubaix, Tourcoing, Croix, Graveline, Cassel, Valenciennes - Lodève - Lyon - Marseille - Martigues - Metz - Monaco, - Montauban - Montpellier - Mougins, - Nantes - Narbonne - Nice - Nîmes - Ornans - Rennes : Landernau, Quimper - Rodez - Rouen - Saint-Étienne - Saint-Nazaire- Saint-Paul-de-Vence, - Saint-Tropez - Sérignan - Sète - Strasbourg - Toulon - Toulouse - Tours - Valence - Vallauris - Vence - Vendôme - Villeurbanne

Et juste des musées et expositions temporaires pour quelques villes étrangères : Amsterdam : Harlem, Rotterdam, La-Haye, Bois-le-Duc Berlin Bâle Bruxelles Genève Londres Madrid Milan, et Venise.

André Balbo

sources : visites, musées, presse...

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