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Fin de la grève au Crazy Horse

vendredi 18 mai 2012,    Morgan

Elles ont fini par obtenir satisfaction, comme quoi "quand femme veut..." Après une mini grève de deux jours, les danseuses du Crazy Horse ont réussi à négocier la revalorisation salariale exigée par leurs représentantes syndicales.

Ce jeudi 17 au soir, les spectateurs pouvaient à nouveau admirer le spectacle "Feu" du Crazy Horse, femmes dénudées comprises. Après deux soirées annulées les propriétaires du cabaret, qui ne savaient plus à quels saints se vouer, ont fini par accorder les 15% d’augmentation salariale demandés, ainsi qu’une "flexibilité sur les opérations de promotion".

Avoir Loboutin pour chausseur, Philippe Decouflé comme metteur en scène et Philippe Katerine comme metteur en musique, cela ne suffisait plus aux danseuses en Crazy Horse : elles en voulaient plus ! Plus d’argent bien sûr, mais aussi plus de considération. Tant qu’elles n’en auront pas plus, elles en montreront moins : depuis mardi 15 mai, les fameuses danseuses aux seins nus de l’avenue Georges V (VIIIe) étaient en grève.

« Cela fait des années qu’on leur demande d’avoir un peu plus de considération pour notre métier, explique la déléguée syndicale des danseuses, Suzanne Durand, alias Liv mee not. Notre salaire ne tient pas du tout compte de la charge de travail qui est la nôtre et de notre nudité ».

De son côté, la direction du cabaret avait dit vouloir négocier avec les représentantes syndicales des danseuses. En attendant, les danseuses étaient restées habillées le mardi et le mercredi soir, pour ce qui est la première grève de l’histoire de cette institution parisienne créée en 1951 par Alain Bernardin et rachetée en 2005 par l’homme d’affaires belge Philippe Lhomme.

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

12 Avenue George V 75008 Paris

01 47 23 32 32
vendredi 18 mai 2012,    Morgan