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CALENDRIER 2016 des grandes expositions à Paris
jeudi 29 août 2024, par
Nous n’en sommes plus aux prémices. Les programmes commencent d’être bien établis, même si quelques sujets paraissent encore un peu imprécis quant à leur titres notamment, et même si pour certains les dates vont évidemment devoir se préciser. Merci de votre indulgence... et de vos enrichissements, que nous espérons nombreux, quand vous avez cette sensations enivrante, j’en conviens, d’avoir une information ou une précision que nous n’aurions pas encore...
Accès rapide : Expositions commencées en 2015 - Expositions commençant en 2016 : Janvier - Février - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Août - Septembre - Octobre - Novembre - Décembre
Très en avance, nous tenons à vous communiquer, prolongeant les grandes expositions qui ont ou auront lieu en 2016 à Paris, dès les premières rumeurs... celles de 2017 !
Nouvellement en ligne :
Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris
PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z
Bien évidemment, la totalité des événements n’est pas encore annoncée, et sur nos informations, des confirmations, précisions et détails viendront certainement en leur temps, et nécessiteront les inévitables mises à jour... qui ont fait notre réputation. Si vous disposez d’informations complémentaires de votre côté, n’hésitez pas à nous les transmettre.
Vous avez, dans cet article, les expositions 2016 annoncées, classées date à date, en calendrier, comme nous l’avions fait en 2015, 2014, 2013, ou 2012... et nous vous les présentons aussi par ordre alphabétique (Paris 2016-2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z), comme nous l’avions fait aussi en 2015, 2014, 2013, et en 2012, pour vous permettre à la fois d’y retrouver plus facilement vos domaines de prédilection et vos préférences, mais aussi pour vous tenter sur d’autres sujets, vous faire découvrir d’autres talents, de nouvelles émotions.
Van Gogh, La Vigne rouge (1888), musée Pouchkine
Nous vous indiquerons également, au fur et à mesure, chaque semaine, les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et.... nos préférences, car on ne se refait pas : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.
Lire aussi le 1er DIMANCHE DU MOIS, pour ne rien rater de cette exceptionnelle journée mensuelle de gratuité, et d’accès libre aux collections permanentes.
N’oubliez pas que début 2017, la programmation de l’année 2016 sera encore pour partie en cours, alors que déjà les premiers feux de celle de la nouvelle année nous parviendront en rangs serrés...
Sur le plan des événements culturels, Paris est vraiment une ville formidable !
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Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer.
Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, pour 2016 la sélection des meilleurs catalogues d’expositions de Paris, comme nous l’avons fait en (2015, 2014, 2013, 2012). Voir aussi : www.laffairedescatalogues.org.
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**Expositions commencées en 2015 et se prolongeant en 2016**
Commencées en 2015, ces expositions se prolongent en 2016
– Du 11 juillet 2015 au 10 janvier 2016 (prolongation). Beauté Congo (1926-2015). Congo Kitoko, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain.
La production artistique congolaise, dans sa diversité et sa vivacité, de la naissance de la peinture moderne au Congo dans les années 1920 à aujourd’hui, mais avec ses musique, sculpture, photographie et bande dessinée.
– Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Ugo Rondinone. I love John Giorno, au Palais de Tokyo. À l’occasion des 80 ans de John.
– Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Ragnar Kjartansson, au Palais de Tokyo. Entre performance et films de cet artiste de 32 ans.
– Du 29 mai 2015 au 10 janvier 2016. Apartés 2015, Isabelle Cornaro, Alain Della Negra, Kaori Kinoshita et Gyan Panchal, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
– Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Mélanie Matranga, au Palais de Tokyo. Sur 1 500m2. Commissaires Castillo / Corrales.
– Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Héctor Zamora, au Palais de Tokyo.
– Du 21 septembre 2015 au 11 janvier 2016. Élisabeth Vigée-Lebrun, au Grand Palais.
– Du 21 octobre 2015 au 11 janvier 2016. Karel Appel, au Centre Pompidou.
– Du 10 novembre 2015 au 17 janvier 2016. Première Biennale des photographes du monde arabe, à l’Institut du Monde arabe associé à la Maison européenne de la photographie.
Résolument ancrée dans le réel et tournée vers le XXIe siècle, un parcours pédestre entre l’IMA et la MEP jalonné de lieux d’exposition dont la galerie Photo 12, la Basia Embiricos, la Binôme, la Cité des Arts, le square Barye, la mairie du IVe...
– Du 1er octobre 2015 au 17 janvier 2016. Fantastique ! L’estampe visionnaire de Goya à Redon, au musée du Petit Palais. Le fantastique est omniprésent dans la gravure et la lithographie du XIXe siècle, notamment dans l’œuvre des maîtres de l’estampe qu’étaient Delacroix, Grandville, Doré, Bresdin, Meryon, Odilon Redon ou Félicien Rops. Macabre, bestiaire fantastique, paysage habité, la représentation du rêve ou du cauchemar sont parmi les thèmes récurrents du fantastique en noir et blanc.
– Du 17 octobre 2015 au 17 janvier 2016. La collection Artur Walther, à la Maison rouge. Une sélection de quelque 500 photographies.
– Du 1er octobre 2015 au 17 janvier 2016. Kuniyoshi. Le démon de l’estampe, au Petit Palais.
– Du 22 septembre 2015 au 17 janvier 2016. Splendeurs et misères. La prostitution en France de 1850 à 1910, au musée d’Orsay.
Edgar Degas (1834-1917). Dans un café, dit aussi L’absinthe1873 Huile sur toile H. 92 ; L. 68,5 m Paris, musée d’Orsay Legs du comte Isaac de Camondo, 1911 © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
De Toulouse-Lautrec à Degas, et de Manet à Valloton, les évocations et les images de toutes sortes de la prostitution ont fasciné l’imaginaire des grands artistes de cette époque.
– Du 7 octobre 2015 au 24 janvier 2016. Chevaliers et bombardes. D’Azincourt à Marignan, 1415-1515, au musée de l’Armée - Hôtel des Invalides. À l’occasion de l’année François Ier, 100 ans d’histoire, explorés de la défaite d’Azincourt jusqu’au début de la Renaissance pour retracer les évolutions de l’art de la guerre, à travers le développement de l’artillerie qui progressivement embrasera les champs de bataille.
Marilyn Monroe, 1959. Philippe Halsman © 2014 Philippe Halsman Archive / Magnum Photos
– Du 20 octobre 2015 au 24 janvier 2016. Philippe Halsman, au musée du Jeu de Paume.
Philippe Halsman s’installe à Paris où il ouvre un studio photographique en 1932.
Durant une quarantaine d’années, il y élargira sans cesse son champ d’activité aux portraits, à la mode, aux reportages, publicités, projets personnels, commandes privées et institutionnelles. En 1940, l’invasion allemande met un terme à sa carrière prospère et il trouvera refuge à New York.
– Du 16 septembre 2015 au 24 janvier 2016. Fragonard amoureux, au musée du Luxembourg.
Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), Le verrou (détail), huile sur toile, 73 x 93 cm, Paris, musée du Louvre, © Rmn-Grand Palais (musée du Louvre) / Daniel Arnaudet
– Du 20 octobre 2015 au 24 janvier 2016. Omer Fast, au musée du Jeu de Paume.
Dans ses installations vidéo, composées de projections uniques ou multiples, Omer Fast explore de nouvelles formes de narration, liant mots et images. Ses œuvres proposent une multiplicité de points de vue qui lui permettent de présenter des versions d’une même réalité et de rompre avec la linéarité cinématographique. Par le montage, Fast manipule images, son, sous-titres et voix créant de multiples lectures et des strates temporelles qui, sur des écrans simultanés, disloquent l’histoire et placent le spectateur dans une expérimentation aux limites de la réalité.
– Du 3 novembre 2015 au 24 janvier 2016. Esthétiques de l’Amour, au musée du Quai Branly, Mezzanine Ouest.
– Du 21 octobre 2015 au 25 janvier 2016. Claude Lévêque, au musée du Louvre, fossés et donjon médiévaux.
Claude Lévêque. Sous le plus grand chapiteau du monde (partie 2) © ADAGP Claude Lévêque. Courtesy the artist and Kamel Mennour, Paris.
Claude Lévêque, artiste majeur de la scène contemporaine internationale, pose une création spécifique dans les espaces du Louvre médiéval, pensés comme univers et base de récit. Son œuvre y active évocations et sensations. Du dessous de la pyramide à la partie médiévale du Louvre, une création d’émotions sensorielles "entre coercition et ravissement" par l’utilisation de la lumière, du son, d’objets et de matériaux.
– Du 14 octobre 2015 au 25 janvier 2016. Qui a peur des femmes photographes ? 1839/1945 ? , au musée de l’Orangerie .
Considérable réévaluation de leurs contributions à l’histoire de la photographie, dans les pays d’Europe comme aux États-Unis.
– Du 11 septembre 2015 au 25 janvier 2016. Florence. Portraits à la Cour des Médicis, au musée Jacquemart-André.
Photograph © National Gallery of Prague 2014
40 œuvres des plus grands portraitistes du XVIe siècle : chefs-d’œuvre de Rosso Fiorentino, de Pontormo, l’élève d’Andrea del Sarto et le maître du maniérisme, comme ceux raffinés et gracieux des portraits de Bronzino, de Ghirlandajo, d’Andrea del Sarto, ou encore de Salviati, d’une extrême sophistication.
– Du 9 octobre 2015 au 31 janvier 2016. Co-Workers, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Autour d’une vingtaine d’artistes français et étrangers dont le langage, inspirè des nouvelles technologies, est radicalement nouveau, de nouveaux comportements sociaux ayant modifiè le rapport aux arts visuels. Des environnements immersifs (images, textes, vidè os et montages sonores).
S’appropriant des images issues d’autres univers (marketing, publicitè , clips, software de jeux vidè o ou de l’animation 3D), ces artistes, adeptes des rè seaux sociaux, soulignent l’ambivalence entre le rè el et le virtuel.
– Du 13 octobre 2015 au 31 janvier 2016. Marc Chagall. Le triomphe de la musique, à la Philharmonie de Paris.
250 œuvres de celui qui, de ses projets monumentaux aux peintures sur toile, œuvres sur papier, sculptures et céramiques, collages, costumes de scènes ou projets de décors, s’attachait à donner forme aux sons…
Izis, Marc Chagall travaillant aux panneaux du Metropolitan Opera de New York : Le Triomphe de la Musique (détail), atelier des Gobelins, Paris, 1966
– Du 3 novembre 2015 au 31 janvier 2016. Estampe française au temps de Louis XIV (1661-1715). Images du Grand Siècle, à la BnF, site Mitterrand.
L’art de l’estampe est en France à son apogée sous Louis XIV, supplantant Rome, Anvers et Amsterdam, par ses vogues successives du portrait, des livres de fête, des recueils d’ornements et d’architecture, des estampes de grand format en plusieurs planches, et surtout par la perfection technique d’artistes graveurs comme Robert Nanteuil, les Lepautre, Edelinck ou Girard Audran.
– Du 11 novembre 2015 au 1er février 2016. Varda / Cuba, au Centre Pompidou. Deux mois après la crise des missiles, la rencontre "du socialisme et du cha-cha-cha". Photos faites pour le film "Salut les Cubains".
– Du 23 septembre 2015 au 1er février 2016. Dominique Gonzalez-Foerster, au Centre Pompidou.
Sans Titre (mm), photographie préparatoire (Détail), 2015 © Giasco Bertoli et DGF
Une des plus grandes artistes françaises de la scène contemporaine internationale.
– Du 23 septembre 2015 au 1er février 2016. Julien Prévieux, Prix Marcel Duchamp 2014, au Centre Pompidou.
– Du 10 septembre 2015 au 7 février 2016. Villa Flora. Les Temps enchantés, au musée Marmottan.
Henri-Charles Manguin, La Sieste, ou le Rocking Chair, Jeanne, 1905 (Collection privée, Villa Flora, Winterthour © 2011 Pro Litteris Zurich
Découvrir pour la première fois en France des chefs-d’œuvre d’une des plus prestigieuses collections particulières, ceux que choisirent les époux Hahnloser-Bühler pour orner leur Villa Flora (Winterthour, Suisse). Près de 80 merveilles de Bonnard, Cézanne, Manet, Manguin, Matisse, Marquet, Renoir, Vallotton, Vuillard et Van Gogh...
– Du 2 octobre 2015 au 7 février 2016, Andy Warhol, Unlimited, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Une série abstraite réalisée en 1978, sérigraphiée en 17 couleurs, associée à quelque 70 autres œuvres dont "Fleurs", "Mao", et les "Chaises électriques".
– Du 16 octobre 2015 au 7 février 2016. Séoul-Paris-Séoul, les artistes coréens en France, au musée Cernuschi.
– Du 20 octobre 2015 au 7 février 2016. Anselm Kiefer, à la BnF, site Mitterrand. Première grande exposition consacrée à la place du livre dans l’œuvre d’Anselm Kiefer (plus d’une centaine réalisés entre 1968 et 2015). Son atelier, et sa bibliothèque, dans la propre scénographie de l’artiste.
Anselm Kiefer, Shevirat Ha-Kelim (Le bris des vases), 2011 © Anselm Kiefer, Photo Avraham Hay
– Du 27 octobre 2015 au 7 février 2016. Sepik, Arts de Papouasie - Nouvelle-Guinée, au musée du Quai Branly.
Première exposition en France consacrée aux arts des populations du plus grand fleuve du Nord de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, Sepik, l’Art au long du fleuve rassemble une collection inédite de 230 œuvres.
– Du 10 octobre 2015 au 8 février 2016. Des(t/s)ins de guerre, au musée Zadkine.
– Du 16 octobre 2015 au 10 février 2016. Karl Lagerfeld. A visual Journey. Photographs, à la Pinacothèque. Placée en redressement judiciaire, la Pinacothèque a du fermer cette exposition de façon prématurée.
Architecture, paysages, Paris la nuit, portraits et autoportraits, photographie de mode et abstraction (un gouÌ‚t pour les arts graphiques caractè rise un grand nombre de ses photos, quels qu’en soient les sujets). Deux grandes installations – Daphnis et Chloè et Le Voyage d’Ulysse – couronnent cette prè sentation complète de l’œuvre photographique de Lagerfeld.
– Du 19 septembre 2015 au 14 février 2016. La mode coréenne, au musée des Arts Décoratifs.
– Du 14 octobre 2015 au 14 février 2016. Martin Scorsese, à la Cinémathèque française.
Grande première mondiale : Martin Scorsese, l’un des plus grands réalisateurs américains vivants, celui de Taxi Driver, Raging Bull, Les Affranchis, Aviator, Les Infiltrés, et le Loup de Wall Street accepte pour la première fois de s’exposer et créera l’événement la rentrée prochaine.
– Du 15 octobre 2015 au 14 février 2016. Jacques Doucet - Yves Saint Laurent. Vivre pour l’art, à la Fondation Pierre Bergé -Yves Saint Laurent.
Grand Salon du 55 rue de Babylone, chez Yves Saint Laurent. Photographie Nicolas Mathéus.
À partir de chefs-d’œuvre collectionnés par Jacques Doucet (1853-1929) et Yves Saint Laurent (1936-2008), dont quelques pièces qui habitèrent chez l’un puis chez l’autre, l’exposition construit un espace hybride voué au culte du beau, en hommage à ces deux grands collectionneurs du XXe siècle.
– Du 30 septembre 2015 au 15 février 2016. Wifredo Lam, au Centre Pompidou, Galerie 2, Niveau 6.
Une rétrospective inédite pour replacer l’œuvre de cet artiste cubain dans une histoire internationale de l’art moderne. Toutes les périodes, de ses premières années cubaines, et du séjour espagnol, aux gravures des années 1960-1970, pour mieux retracer le parcours original de Wifredo Lam. Prêt exceptionnel de La Jungle, œuvre phare, conservée au MoMa de New York.
– Du 13 novembre 2015 au 15 février 2016. Lucien Clergue, les premiers albums, au Grand Palais.
Lucien Clergue (1934-2014), photographe et ami de Picasso, crée les Rencontres internationales de la photographie d’Arles en 1968, auxquelles viennent exposer et se rencontrer chaque année les plus grands photographes du monde.
– Du 17 décembre 2015 au 15 février 2016. Parmigianino, au musée du Louvre, Mollien.
Parmigianino, Deux canéphores se donnant la main, de part et d’autre de caissons © Musée du Louvre
Maître italien du maniérisme, Francesco Mazzola (1503-1540), dit il Parmigianino, a été, de 1520 à 1540, le tenant du style de la grâce et de la vénusté, toujours en quête de la perfection, fiévreusement et jusqu’à l’inquiétude, un génie de la transcendance. Avec un fonds de plus de 180 dessins, le musée du Louvre détient la plus grande collection d’études de sa main, dont une sélection de 65 chefs-d’œuvre sera présentée, suivant l’artiste de Parme à Rome (1524-1527), de Rome à Bologne (1527-1530) et de Bologne à Parme de nouveau.
– Du 4 décembre 2015 au 21 février 2016. Louis Vuitton, au Grand Palais.
– Du 27 octobre 2015 au 21 février 2016. Le Roi est mort, au Château de Versailles.
Buste de Louis XIV, provenant de l’escalier des Ambassadeurs. Jean Varin, 1665-1666, marbre, château de Versailles.
Les détails de la mort de Louis XIV, de l’autopsie à ses funérailles... et la survie contemporaine de ce rituel. La mort du roi, roi-homme et roi-institution tient de la représentation, du spectacle baroque et joue un rôle fondamental pour la société de cour.
L’exposition en retrace les détails, et les replace dans le contexte cérémoniel des funérailles des souverains européens de la Renaissance au siècle des Lumières.
– Du 14 octobre 2015 au 21 février 2016. Moïse. Figures d’un prophète, au Mahj.
– Du 3 novembre 2015 au 28 février 2016. Visages de l’Effroi. Violence et fantastique de David à Delacroix, au musée de la Vie romantique.
– Du 4 octobre 2015 au 28 février 2016. Climats artificiels, à la Fondation EdF.
© Tetsuo Kondo, Cloudscape, 2012
Près de 30 installations, photographies et vidéos d’artistes contemporains. Leurs éclairs sont en néons, leurs cyclones faits d’eau, et leurs nuages en écorce de cacahuète ou en céramique. Quand certains nous plongent phoniquement dans une vague, d’autres inventent des biosphères de poche pour pallier la pollution urbaine ou nous font caresser le doux rêve de marcher au travers d’un... nuage.
Climats artificiels : avec des œuvres monumentales, étonnantes, utopistes, inquiétantes, drôles ou émouvantes, notamment de Marina Abramović, Hicham Berrada, Spencer Finch, Laurent Grasso, Hans Haacke, Tetsuo Kondo, Ange Leccia, Yoko Ono et Pavel Peppertsein.
– Du 4 novembre 2015 au 28 février 2016. Le Marais en héritage. 50 ans de la loi Malraux, au musée Carnavalet.
– Du 19 novembre 2015 au 28 février 2016. Éros Hugo, à la maison de Victor Hugo.
– Du 11 novembre 2015 au 29 février 2016. Renzo Piano, Building Workshop, piece by piece, à la Cité de l’Architecture, Galerie Haute. Une trentaine de grandes tables monographiques, de maquettes, dessins, photographies et vidè os expliquent le travail de l’architecte dans son atelier, l’ampleur des rè alisations et le processus de conception pour diffè rents projets (aè roports, musè es, bibliothèques ou villas).
– Du 7 octobre 2015 au 29 février 2016. Picasso mania, au Grand Palais.
Pour les 100 œuvres de Picasso exposées à l’anglaise, les 300 créations contemporaines d’autres artistes, et le mur de films de 18 créateurs argumentant leurs admirations pour le maître...
– Du 28 octobre 2015 au 29 février 2016. Les Années AUA, à la Cité de l’Architecture, Galerie d’architecture moderne et contemporaine. L’Atelier d’urbanisme et d’architecture fut le pivot de la culture et de la profession en France durant un quart de siècle. Examen d’ensemble de la production de Jacques Allè gret, Paul Chemetov, Henri Ciriani, Michel Corajoud, Jean Deroche, Jacques Kalisz, Georges Loiseau, Jean Perrottet et Jean Tribel.
– Du 14 octobre 2015 au 29 février 2016. La Dame à la Licorne. Revisitée par 16 étudiants de l’École Estienne, au musée de Cluny.
– Du 28 octobre 2015 au 29 février 2016. Le Patrimoine s’en va en guerre, à la Cité de l’Architecture, salle Viollet-Le-Duc. Paris fut le thè â‚tre de spectaculaires expositions à visè e de propagande anti-germanique fondè es sur l’exaltation du patrimoine architectural et artistique meurtri.
– Du 11 novembre 2015 au 14 mars 2016. Chandigarh : 50 ans après Le Corbusier, à la Cité de l’Architecture, Galerie Basse. Qu’est devenu ce projet initialement conçu pour 150 000, puis 500 000, et dont la population est aujourd’hui plus proche d’1,5 million d’habitants.
– Du 8 septembre 2015 au 6 mars 2016. Osiris, mystères engloutis d’Égypte, à l’Institut du Monde arabe.
250 objets obtenus au fil de 7 années de fouilles sous-marines de l’équipe de Franck Goddio révélant les vestiges de la cérémonie des mystères d’Osiris célébrés à Thônis, Héracléion ainsi qu’à Canope, et une quarantaine d’œuvres des musées du Caire et d’Alexandrie, certaines sortant d’Égypte pour la première fois.
– Du 2 juin 2015 au 6 mars 2016. Invention / Design. Regards croisés, au musée des Arts et Métiers.
Exploration des liens entre Design contemporain et histoire des inventions à travers une sélection de 100 objets. De la marmite de Papin à l’autocuiseur connecté, de la simple hélice au ventilateur sans pales, des premières machines à écrire aux ordinateurs portables les plus sophistiqués... jusqu’à 4 siècles séparent ces objets.
– Du 9 décembre 2015 au 7 mars 2016. Dans l’atelier : l’Antiquitè secrète d’Eugène Delacroix, au musée national Eugène-Delacroix.
En lien avec le département des Antiquités du Louvre, l’exposition explore la relation étroite que Delacroix entretint avec l’art antique, révélée comme une spécificité originale de son point de vue.
Dessins et peintures de l’artiste, au regard des moulages qu’il a lui-même retenus pour le décor de façade de son atelier, et les ouvrages et textes qui sont à l’origine de ce choix. Autographes et manuscrits permettent de montrer les parts théorique et sensible prises par l’art antique dans la conception de cet artiste romantique.
– Du 18 septembre 2015 au 13 mars 2016. Hey ! Modern Art and Pop Culture / Act III, à La Halle Saint-Pierre. 63 artistes internationaux pour poursuivre l’exploration des différents expressions artistiques de la contre-culture : lowbrow art, art outsider, bande dessinée et plus largement les médias porteurs d’une culture de rue.
– Du 16 octobre 2015 au 13 mars 2016. Suzanne Valadon, Maurice Utrillo, André Utter, à l’atelier 12, rue Cortot, 1912-1926, au musée de Montmartre.
Suzanne Valadon, Portrait de famille, 1912, Centre Pompidou – Musée national d’art moderne © Centre Pompidou Mnam-Cci, dist. Rmn-GP/Philippe Migeat
Rivalités et complicités créatrices du "trio infernal", à travers une sélection de près de 150 de leurs œuvres, durant cette période où Suzanne retourne vivre et peindre avec son fils et son compagnon.
– Du 7 novembre 2015 au 20 mars 2016. La mode retrouvée, les robes-trésors de la comtesse Greffulhe, au musée Galliera.
– Du 22 septembre 2015 au 20 mars 2016. Climat, l’expo à 360°. Actualités, enjeux, visions d’artistes, à la Cité des sciences.
Pour accompagner la Conférence mondiale sur le climat COP 21 qui se tient à Paris, cette exposition-parcours mêle approche scientifique et création artistique. Elle aborde le dérèglement climatique notamment à travers les œuvres du photographe Kadir van Lohuizen. Phénomènes récents, de la fonte des glaces à l’augmentation du niveau des mers...
– Du 11 février 2015 au 21 mars 2016. Sur la piste des grands singes, à la Grande Galerie de l’évolution (Jardin des plantes).
Pour mieux connaître nos parents les plus proches...
– Du 16 décembre 2015 au 18 avril 2016. Anselm Kiefer, au Centre Pompidou, Rétrospective, des premières œuvres aux installations monumentales, et des toiles et aquarelles de ses débuts jusqu’aux sculptures.
– Du 27 mai 2015 au 27 mai 2016. Nouvelle présentation des collections Modernes, 1905-1965, au Centre Pompidou.
– Du 16 septembre 2015 au 23 juin 2016. Dossier Scriptes. Une exposition, à la Cinémathèque française.
Archives exceptionnelles, photographies, affiches et objets d’une douzaine de films emblématiques, éclairés par des témoignages inédits de scriptes et de réalisateurs. L’évolution d’un métier essentiel et pourtant toujours méconnu.
– Du 10 novembre 2015 au 3 juillet 2016. Frontières, au musée de l’Histoire de l’immigration .
Leur rôle, leurs enjeux contemporains dans le monde, et les histoires singulières de ceux qui tentent de les traverser aujourd’hui.
– Du 15 octobre 2015 au 4 juillet 2016. Les Mythes fondateurs, au musée du Louvre, La Petite Galerie du Louvre, Richelieu.
Véritable "école du regard", la Petite Galerie, inaugurée à cette occasion, proposera chaque année aux jeunes et à leurs accompagnateurs un thème à explorer grâce à des œuvres majeures, de la préhistoire à la création contemporaine. Déployée également en ligne et hors les murs, elle donnera les clés d’observation et d’explication des œuvres, pour faire d’une visite un moment de plaisir et de délectation. Première saison, les mythes fondateurs (cartels ludiques, parcours, médiateurs dans les salles).
– Du 15 décembre 2015 au 1er août 2016. Darwin, l’original, à la Cité des sciences.
Qui était-il ? Un scientifique rigoureux et un humaniste, antiesclavagiste, pionnier dans son domaine... La pensée et les méthodes de ce grand naturaliste.
– Du 3 novembre 2015 à août 2016. Goes Crazy, à la Cité des sciences.
Sujet difficile à exposer dans un musée de sciences ! Quelles pathologies regroupe-t-on sous l’appellation "maladies psychiques" ? Comment sont-elles diagnostiquées et soignées ? Quel regard portons-nous sur les personnes atteintes ? Prévention et préjugés.
– Du 20 septembre 2015 au 2 novembre 2016. Autour des Dinosaures. Un voyage du Jurassique au Crétacé, au Palais de la Découverte.
Gigantesques reptiles aux dents acérées, les dinosaures font aujourd’hui encore l’objet de nombreux fantasmes. Des immenses Camarasaurus aux féroces Tarbosaurus ou aux méconnus Gallimimus, l’exposition immerge le visiteur dans deux environnements reconstitués du Jurassique et du Crétacé. 7 animatronics, 60 fossiles, une séquence vidéo stupéfiante, de véritables os de dinosaures, des moulages de plantes...
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**Expositions commençant en 2016**
Janvier
– Du 21 janvier au 12 juin 2016. Faire le mur ! 4 siècles de papiers peints, au musée des Arts décoratifs.
Une sélection à partir de la collection exceptionnelle du dè partement de papiers peints (400 000 documents). En allant du trompe-l’œil à la dè coration pure, ce support recouvre pour illustrer, embellir ou styliser. En rè vè lant les possibilitè s formelles et techniques de cette pratique, ces œuvres retracent une histoire du dè cor d’intè rieur du XVIIe siècle à nos jours.
– Du 21 janvier au 12 juin 2016. Tissus inspirés, Pierre Frey, au musée des Arts décoratifs.
Hommage rendu à la Maison Pierre Frey, l’une des rè fè rences majeures dans le domaine de la dè coration d’intè rieur. Fondè e en 1935, elle crè e, è dite, fabrique è toffes et papiers peints dans la plus pure tradition française. Historiquement maison de tissu d’ameublement, elle est è galement connue pour sa dè coration et son mobilier d’intè rieur.
– Du 26 janvier au 13 novembre 2016. Persona, étrangement humain, au musée du Quai Branly, Mezzanine Ouest.
Kwanon-Z © Wang Zi Won
Le statut de nombreux objets est plus proche de celui d’une personne ou d’une créature.
Une confusion peut alors naître entre l’humain ou le non-humain dans les cultures les plus variées. La robotique, via l’œuvre pionnière de Masahiro Mori, permettra de saisir le rôle de l’anthropomorphisme dans les artefacts les plus divers...
– Du 27 janvier à fin avril 2016. Bentu, des artistes chinois dans la turbulence des mutations / Exposition, à la Fondation Louis Vuitton, Galeries 1, 2 et 3, rez-de-bassin.
Liu Xiaodong, nè en 1963 à Liaoning. Vit et travaille à Pè kin. Jincheng Airport, 2010. Huile sur toile. 300x400cm. Courtesy de l’artiste
Bentu : la terre natale. Dans le champ de l’art contemporain chinois, ce terme ne renvoie pas à un nationalisme mais recouvre un concept dialectique qui concilie le bentu "local" au bentu "global" dans un processus d’universalisme et de redè couverte critique de l’identitè propre. Cette expression est au centre des rè flexions des artistes, des critiques et des chercheurs en Chine aujourd’hui.
Å’uvres de 12 artistes de Chine continentale de différentes générations offrant un large éventail de techniques et outils, issus aussi bien d’une tradition et culture locales que des nouvelles technologies les plus pointues.
Les œuvres répercutent les nouvelles donnes de l’économie, de l’écologie dont la transformation des rapports ville/campagne et les questions d’identité. Ces artistes révèlent les complexités d’une société en mutation permanente.
– Du 27 janvier au 5 septembre 2016. Art contemporain chinois / Un choix d’œuvres / Collection, à la Fondation Louis Vuitton. Galeries 4 à 10, niveaux 0, 1 et 2.
Huang Yong Ping, nè en 1954 à Xiamen. Vit et travaille à Paris. L’Arc de Saint-Gilles, 2015. Bois, fer, fibre de verre, poils de chien, feuille d’or 156 x 448 x 70 cm © ADAGP, Paris 2015. Courtesy de l’artiste et de la galerie kamel Mennour, Paris Photo : Fabrice Seixas
Complément à l’exposition temporaire "Bentu", un ensemble d’œuvres de 11 artistes chinois reconnus de la collection, au croisement de traditions interprétées dans la multiplicité des références utilisées aujourd’hui par les artistes, et d’une contemporanéité très futuriste.
Avec des œuvres de Ai Weiwei, Huang Yong Ping, Zhang Huan, Yan Pei-Ming, Xu Zhen, Yang Fudong, Cao Fei, Zhang Xiaogang, Tao Hui, Zhou Tao, Isaac Julien.
– Du 27 janvier au 25 avril 2015. Gustave Moreau, Georges Rouault, souvenirs d’atelier, au musée Gustave Moreau.
Georges Rouault, Le modèle, souvenir d’atelier (dè tail), huile, encre, gouache sur toile, Collection particulière © Jean-Louis Losi © ADAGP Paris 2015
48 œuvres pour mettre en lumière ce qui unit les deux peintres et confronter leur vision du paysage, de la femme, du sacré, comme leur fascination pour la matière et la couleur.
Cette exposition remporta de grands succès à Tokyo et à Matsumoto au Japon. Georges Rouault avait été aux Beaux-Arts l’un des élèves préférés de Moreau et il fut le premier conservateur de ce musée.
– Du 27 janvier au 20 novembre 2016. Après la Shoah. Rescapés, réfugiés, survivants. 1944-1947, au Mémorial de la Shoah. Exposition, cycle de films et de rencontres.
Mise en avant de trois pays : Pologne, Allemagne occupée et France. Réfugiés, survivants des camps, enfants cachés, résistants, tous aspirent à retrouver leurs proches, retourner chez eux ou trouver un refuge, imaginer à nouveau un avenir. Qui pour les aider ? Quelle justice demander ? Comment conserver les traces d’un monde disparu et amasser les preuves du crime ?
Des survivants polonais descendent d’un train. Nachod, Tchécoslovaquie, 1945. Yad Vashem, photo : Arthur Zegart.
Décimées, les communautés juives parviennent à reconstituer une vie religieuse, culturelle, politique, grâce au soutien des organisations et associations, en particulier américaines.
– Du 28 janvier au 27 mars 2016. Bettina Rheims, à la Maison européenne de la Photographie.
© Bettina Rheims
Des premières photographies aux travaux personnels les plus récents, l’exposition mêle les séries légendaires, les images emblématiques de Bettina Rheims, comme certains travaux plus confidentiels ou d’autres encore jamais montrés en France. Ce parcours met en lumière les obsessions de Bettina Rheims autour de son sujet de prédilection : la femme, dans tous ses états, la féminité, questionnée, exposée, magnifiée.
Février
– Du 6 février au 5 juin 2016. Fernell Franco. Cali Clair-Obscur, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain.
Première rétrospective mondiale de ce photographe colombien (1942-2006) aux clichés mélancoliques et crépusculaires nourries au néoréalisme italien et au film noir, qui dressa le portrait de la ville de Cali noctambule et populaire.
– Du 6 février au 5 juin 2016. Daido Moriyama. Daido Tokyo, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain.
Sur un aspect peu connu de son travail, cette exposition, composée exclusivement de photographies couleurs, a pour sujet les quartiers underground de la capitale nippone si familiers au photographe. On y retrouvera son goût des cadrages chancelants et des textures.
– Du 6 février au 5 juin 2016. Jean-Baptiste Huet. Le plaisir de la nature, au musée Cognacq-Jay.
Première rétrospective de ce peintre animalier du XVIIIe siècle.
– Du 9 février au 28 août 2016. Explorez Mars, au Palais de la Découverte.
Après les dernières expéditions sur Mars, les scientifiques connaissent bien mieux cette voisine. Rouler sur cet astre, comparer le vent martien au vent terrestre...
Découvrir le brouillard, le sable, l’air de Mars... Immersion garantie !
– Du 9 février au 22 mai 2016. Helena Almeida, Corpus, au musée du Jeu de Paume.
Peinture habitée, 1975 Collection Fundação de Serralves. Museu de Arte Contemporânea, Porto. Photo Filipe Braga © Fundação de Serralves Museu de Arte Contemporânea, Porto
Cette photographe, l’une des plus grandes artistes contemporaines portugaises, explore et remet en question les formes d’expression traditionnelles, la peinture en particulier, suivant un désir constant d’enfreindre l’espace délimité par le plan pictural. Une des figures majeures de la performance et de l’art conceptuel depuis les années 1970.
– Du 9 février au 26 mars 2016. Charles Matton, cinéaste et écrivain, à la BnF, site Mitterrand. Galerie des donateurs.
Peintre, dessinateur, sculpteur, photographe, Charles Matton fut aussi un écrivain et un cinéaste. Ses archives cinématographiques données à la BnF par Sylvie, son épouse et proche collaboratrice, dévoilent, dans l’intimité du cinéaste, le processus de sa création. Une pensée inédite sur l’esthétique et l’éthique, l’art, les artistes, l’argent, le sexe...
– Du 9 février au 22 mai 2016. François Kollar (1904-1979), au musée du Jeu de Paume.
François Kollar (Senec, Slovaquie, 1904 - Créteil, 1979), employé des chemins de fer, puis tourneur sur métaux dans les usines Renault de Boulogne-Billancourt, devient photographe professionnel à 24 ans après avoir été chef de studio chez Draeger (Paris). Ses connaissances intimes du monde du travail, de la publicité à la mode en passant par l’industrie, l’artisanat et l’agriculture, lui permet d’aborder les outils, les matériaux et les gestes avec une approche sensible et singulière.
– Du 12 février au 30 avril 2016. Faces cachées. Photographie chilienne (1980-2015), à la Maison d’Amérique latine.
© Leonora Vicuña, Koyom – Chile, 2010. Courtesy Galerie NegPos
Faces cachè es, rè unit trois gè nè rations de photographes chiliens, reprè sentè s par Zaïda Gonzâ lez, Alejandro Hoppe, Alvaro Hoppe, Luis Navarro, Claudio Pè rez et Leonora Vicuña. Ancrè s dans une terre à la gè ographie tourmentè e, et où le trauma de l’histoire rè cente reste palpable, leurs travaux possèdent une valeur artistique expressive et originale.
– Du 16 février au 15 mai 2016. Chamanes et divinités de l’Équateur précolombien, au musée du Quai Branly, Mezzanine Est.
© Christoph Hirtz - Équateur
Le chamane, figure majeure des cultures ancestrales d’Équateur. Passeur de traditions, il présidait rites, cérémonies ou fêtes, assurant ainsi l’ordre spirituel et social d’une communauté.
– Du 17 février au 16 mai 2016. Gérard Fromanger, au Centre Pompidou.
Gè rard Fromanger. En Chine, à Hu-Xian, de la sè rie « Le dè sir est partout  », aouÌ‚t 1974 Centre Pompidou, mnam-cci/ Dist. RMN-GP, P. Migeat © Gè rard Fromanger Achat à l’artiste en 1975. Attribution au musè e national d’art moderne/centre de crè ation industrielle, le 2 juin1977 L’inscription en chinois sur tableau veut dire : « servir le peuple  »
– Du 19 fè vrier au 16 mai 2016. Jean-Michel Alberola, au Palais de Tokyo.
– Du 19 fè vrier au 16 mai 2016.Louidgi Beltrame, au Palais de Tokyo. SAM Art Projects.
– Du 19 fè vrier au 16 mai 2016. Simon Evans, au Palais de Tokyo. Laurè at du Prix Canson 2014.
– Du 19 fè vrier au 16 mai 2016. Sara Favriau, au Palais de Tokyo. Laurè ate 2014 du Prix Dè couverte des Amis du Palais de Tokyo.
– Du 19 fè vrier au 16 mai 2016. Florian & Michael Quistrebert, au Palais de Tokyo.
– Du 24 février au 23 mai 2016. Les Années 1980. L’insoutenable légèreté. Photographies, films, au Centre Pompidou, Galerie de photographies, Forum -1.
Quand la photographie devenait critique... sociale, et artistique.
Martin Parr, New Brighton, Angleterre (de la sè rie : The Last Resort), 1984 -1986
Mars
– Du 2 mars au 4 juillet 2016. Carambolages, au Grand Palais.
Plus de 150 œuvres (de Boucher, Giacometti, Rembrandt, Man Ray ou Annette Messager).
Elles sont regroupées sans autres propos que leurs affinités formelles ou mentales, invitant ainsi à une poésie visuelle, une pédagogie du sensible et aux surprises que génère l’art.
– Du 8 mars au 28 août 2016. Picasso. Sculptures, au musée Picasso.
Avec cette exposition, le musée veut faire connaître la dimension multiple de la sculpture de Picasso à travers la question des séries et variations, fontes, tirages et agrandissements, réalisés à partir des originaux sculptés.
– Du 8 mars au 23 octobre 2016. Femmes en résistance, au Mémorial de la Shoah. Exposition, cycle de films et de rencontres.
– Du 9 mars au 10 juillet 2016. Chefs-d’œuvre des musées de Budapest, au musée du Luxembourg.
80 peintures, dessins et sculptures de Cranach, Dürer, Raphaël, Greco, Goya, Manet, Gauguin, Kokoschka, et 10 œuvres hongroises emblématiques...
– Du 9 mars au 12 juin 2016. Ceramix de Rodin à Schütte, à la Maison rouge.
– Du 10 mars au 3 juillet 2016. L’Art et l’enfant, au musée Marmottan.
Chefs-d’œuvre de la peinture française : Cè zanne, Chardin, Corot, Manet, Matisse, Renoir, Picasso...
– Du 10 mars au 30 mai 2016. Hubert Robert (1733-1808), le peintre visionnaire au musée du Louvre, Hall Napoléon Bas, Richelieu.
Son remarquable itinéraire artistique le conduisit de Rome à la cour de France, pour laquelle il conçut des décors spectaculaires, comme peintre et paysagiste, qui lui assurèrent une célébrité européenne et des commandes jusqu’en Russie. Mémorialiste de Paris et de la Révolution, il fut le conservateur engagé du tout récent musée du Louvre.
– Du 10 mars au 18 septembre 2016. Barbie, au musée des Arts décoratifs.
– Du 15 mars au 17 juillet 2016. George Desvallières, la peinture corps et âme, au musée du Petit Palais.
Cet artiste (1861-1950) au style puissant et raffiné fit une œuvre qui mêlait corps et esprit, charnel et spirituel.
– Du 18 mars au 25 juillet 2016. Monet, Renoir, Pissaro, Boudin, Gauguin... en Normandie. L’atelier en plein air, au musée Jacquemart-André.
Henri Rousseau, La charmeuse de serpents © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
– Du 22 mars au 17 juillet 2016. Le Douanier Rousseau. L’innocence archaïque, au musée d’Orsay.
Intronisé par des artistes d’avant-garde "père de la modernité", Le Douanier Rousseau a confronté sa peinture à l’académisme comme à la nouvelle peinture. L’innocence archaïque se veut une mise en lumière critique de son art autour d’une réflexion sur la notion d’archaïsme. Des œuvres de Seurat, Delaunay, Kandinsky, Picasso, mais aussi d’artistes méconnus permettront d’évoquer la richesse des liens qui se tissent autour de ce peintre.
– Du 22 mars au 31 juillet 2016. Miquel Barceló. Sol y sombra, au musée Picasso.
Peintures, sculptures, céramiques, et proximités avec Pablo Picasso.
– Du 22 mars au 28 août 2016. Miquel Barceló. Sol y sombra, à la BnF, site Mitterrand.
Cet artiste espagnol majorquin, associé au mouvement néo-expressioniste, s’est initialement consacré à la peinture et au dessin, puis dans les années 1990 à la sculpture et à la céramique, supports alternatifs de ses créations artistiques. On lui doit les décorations de la chapelle Sant Pere de la cathédrale de Palma de Majorque en 2007 et la coupole du Palais des Nations de l’ONU à Genève en 2008.
Pour cette exposition à la BnF, il créera tout spécialement des œuvres originales.
– Du 23 mars au 15 juillet 2016. CHER(E)S AMI(E)S. Nouvelle présentation des collections contemporaines, dons et donations, au Centre Pompidou.
– Du 24 mars au 20 juin 2016. Dessiner dans les jardins d’Arcueil, au musée du Louvre, Mollien.
– Du 24 mars au 16 mai 2016. Scène de crime, au Palais de Tokyo. Exposition conçue grâ‚ce au partenariat avec la Fondation Bettencourt Schueller.
– Du 25 mars au 17 juillet 2016. La boîte de Pandore. Une histoire de la Photographie, par Jan Dibbets, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
– Du 25 mars au 21 août 2016. Albert Marquet, rétrospective, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
La Marne à la Varenne Saint Hilaire, 1915, Huile sur toile, 65x81cm S.B.DR. : Marquet Legs du Dr Maurice Girardin en 1953 © ADAGP, Paris Photo : Jean-Yves Trocaz / Parisienne de Photographie.
– Du 30 mars au 21 août 2016. The Velvet Underground, à la Philharmonie de Paris .
– Du 30 mars au 24 juillet 2016. Un prince à la chasse. Albert Ier de Monaco / Louis Tinayre, au musée de la Chasse.
– Du 31 mars au 24 juillet 2016. Seydou Kéïta, photographe, au Grand Palais.
Le Malien Seydou Keïta (1921-2001) est l’un des grands photographes de la fin du XXe siècle, par sa maîtrise de la lumière, ses cadrages, et ses mises en scène inventives.
– Du 31 mars au 3 avril 2016. Art Paris Art Fair, au Grand Palais.
Un aperçu de l’art de l’après-guerre à nos jours : expositions personnelles d’artistes avec Solo Show, création émergente avec le secteur Promesses pour les jeunes galeries, art numérique avec projections en extérieur.
Avril
– Du 5 avril au 17 juillet 2016. Dans l’atelier, l’artiste photographié d’Ingres à Jeff Koons, au musée du Petit Palais.
Depuis sa création, la photographie n’a de cesse de pénétrer et d’explorer l’espace où s’élabore l’œuvre d’art.
– Du 5 avril au 18 juillet 2016. Apollinaire, le regard du poète, au musée de l’Orangerie. .
Entre 1902 et 1918, lorsque Guillaume Apollinaire était un critique d’art actif et écouté.
– Du 6 avril au 1er août 2016. Paul Klee, l’ironie à l’œuvre, au Centre Pompidou.
Paul Klee, Insula dulcamara, 1938 Huile et couleur à la colle sur papier sur toile de jute 88 x 176 cm Berne, Zentrum Paul Klee © domaine public
– Du 6 avril au 5 juin 2016. Christine Spengler. L’Opéra du monde, à la Maison européenne de la photographie.
– Du 6 avril au 24 juillet 2016. Napoléon à Sainte-Hélène. La conquête de la mémoire, au musée de l’Armée - Hôtel des Invalides.
– Du 7 avril au 4 juillet 2016. Monuments français (Le musée des), au musée du Louvre, Hall Napoléon Haut.
– Du 7 avril au 14 août 2016. Fashion Forward. Trois siècles de mode (1715-2015), aux Arts décoratifs.
Jacques Doucet, Jaquette ayant appartenue à Clè o de Mè rode, 1898-1900, velours de soie © Jean Tholance, Les arts Dè coratifs, Paris, collection uFaC
Pour célébrer les 30 ans de la collection de mode et textiles du musée.
– Du 8 avril au 21 août 2016. Paula Modersohn-Becker, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Première monographie en France de Paula Modersohn-Becker (1876-1907), qui est l’une des figures majeures des avant-gardes en Allemagne. La peintre dè veloppe un style original, qui se dè marque à la fois par une force d’expression dans la couleur et une sensibilitè extrè‚me dans le traitement des sujets.
Si ses autoportraits, mère et enfants, paysages, natures mortes sont caractè ristiques de son è poque, sa manière de les traiter est novatrice : elle portraiture sans complaisance, sans recherche esthè tisante. Par une centaine de peintures et dessins, l’exposition fait dè couvrir cette œuvre cè lè brè e en Allemagne et dans le Nord de l’Europe mais peu connue du public français.
– Du 12 avril au 28 août 2016. Éva Jospin. Panorama, au musée du Louvre, Cour carrée.
Le pavillon qui héberge le panorama est conçu comme une architecture artistique. Le côté minéral de la ville, du Palais et le décor du Louvre se reflètent sur les parois en miroir du pavillon. À l’intérieur, le côté végétal du panorama, reflète l’univers des forêts et des grottes.
– Du 12 avril au 17 juillet 2016. Entre sculpture et photographie, au musée Rodin.
– Du 12 avril au 24 juillet 2016. La Franc-maçonnerie, à la BnF, site Mitterrand. Galerie 2. Vaste sujet discret sur lequel on est souvent intarissable...
– Du 12 avril au 24 juillet 2016. Mata Hoata. Art et société aux îles Marquises, au musée du Quai Branly, Galerie Jardin.
Et l’or de leur corps, Paul Gauguin (1848-1903) © RMN Grand Palais, musée d’Orsay, photo Hervé Lewandowski.
300 pièces et œuvres pour rendre hommage aux artistes que les Marquises fascinèrent, et à la force de la culture de ces îles qui traversa les siècles et dompta l’histoire.
– Du 13 avril au 5 septembre 2016. Araki, au musée Guimet .
Par le regard du grand photographe japonais Nobuyoshi Araki : les fleurs, la photographie comme rè cit autobiographique, sa relation avec son è pouse Yoko, l’è ro- tisme, le dè sir, mais aussi l’è vocation de la mort.
– Du 13 avril au 19 septembre 2016. Carte blanche à Shouchiku Tanabe, au musée Guimet.
– Du 13 avril au 27 juin 2016. Orient / Asie - Aller / retour, au musée Guimet.
– Du 13 avril au 29 août 2016. Habiter le Campement. Architectures de nomades, de voyageurs, d’exilés, d’infortunés, de conquérants et de contestataires, à la Cité de l’Architecture, Galerie Haute.
Avant de penser architecture, c’est la question de demeurer qui se pose.
Comment habiter dans des zones insalubres, inhospitalières, comment habiter en toute libertè , avec les moyens du bord ? Peut-on habiter autrement ? En ce temps de crise, il est plus que nè cessaire de se poser la question.
– Du 13 avril au 29 août 2016. Les Universalistes. Architecture portugaise contemporaine : 1965-2015, à la Cité de l’Architecture, Galerie Basse.
– Du 13 avril au 26 septembre 2016. Les émaux de Limoges à décor profane. Autour des collections du cardinal Guala Bicchieri, au musée de Cluny.
Autour du prè‚t exceptionnel par le Palazzo Madama de Turin du magnifique coffre ornè de mè daillons è maillè s du cardinal Guala Bicchieri (vers 1160 - 1227), l’exposition explore les è maux de Limoges à dè cor profane (animaux rè els et fantastiques, scènes courtoises et chevaleresques) reflè tant la culture aristocratique des XIIe et XIIIe siècles.
– Du 13 avril au 18 septembre 2016. Les Frères Chapuisat, au Parc de la Villette. .
Les Frères Chapuisat, entre sculpture monumentale et micro-architecture, cherchent dans le Parc à solliciter tous les sens, transformant le visiteur en explorateur. Ils provoquent des réactions entre curiosité et surprise, à la limite de l’inconfort, mais à la recherche de l’émerveillement lié à l’enfance.
– Du 13 avril au 31 juillet 2016. Gus Van Sant, à la Cinémathèque française.
Nicole Kidman, dans Prête à tout (1995)
Première exposition sur ce réalisateur américain qui alterne projets indépendants et films plus populaires (Will Hunting, Harvey Milk). Sa trilogie de la jeunesse et de la mort, initiée au début des années 2000 (Gerry, Elephant, Last Days) est l’œuvre d’un expérimentateur de formes, travaillant l’épure, le croisement des images et les réappropriations dans des mises en scène poétiques voire métaphysiques.
– Du 16 avril au 4 septembre 2016. James Bond 007, l’exposition. 50 ans de style Bond, à la Grande Halle de la Villette.
– Du 19 avril 2016 au 20 août 2017. Bébés animaux, à la Cité des sciences. Éléphanteau, poussin, ou delphineau, cette exposition pour les tout-petits fait découvrir le monde de 73 espèces, de leur naissance à leur autonomie. À faire debout ou à quatre pattes !
– Du 20 avril au 18 juillet 2016. Amadeo de Souza-Cardoso, au Grand Palais.
Première rétrospective depuis 1958 du peintre portugais Amadeo de Souza-Cardoso (1887-1918). Ce précurseur de l’art moderne a su placer son œuvre au point de rencontre des grands courants artistiques du XXe siècle. 150 créations d’Amadeo et de ses amis, Modigliani, Brancusi, Juan Gris et Delaunay.
– Du 25 avril au 5 juin 2016. Georges Lemoine : carnets d’un illustrateur, à la BnF, site Mitterrand. Galerie des donateurs.
Figure essentielle de la littérature pour la jeunesse, auteur sensible et dessinateur virtuose, il a illustré plus de 100 livres parmi lesquels L’Enfant et la rivière, d’Henri Bosco, Lullaby, de J.M.G. Le Clezio, Comment Wang Fô fut sauvé, de Marguerite Yourcenar...
– Du 27 avril au 20 juin 2016. Chefs-d’œuvre de la céramique coréenne. La terre, le feu, l’esprit, au Grand Palais, Salon d’honneur.
Des temps anciens de la pè riode des Trois royaumes (dont de remarquables vases anthropomorphes, souvent enterrè s avec les dè funts pour guider leur â‚me dans l’au-delà) à l’ère contemporaine, en passant par les dynasties Goryeo et Joseon.
– D’avril à octobre 2016. Les jardins arabo-musulmans, à l’Institut du Monde arabe
L’histoire des jardins et de la ville depuis l’Antiquité jusqu’aux innovations les plus contemporaines, de la Péninsule ibérique au sous-continent indien, et cela dans ces aspects culturels, scientifiques, esthétiques, techniques, sociétaux et environnementaux. Un jardin éphémère de 2 000m2 sera spécialement créé sur le parvis de l’IMA pour l’occasion
– D’avril à septembre 2016. Les Hugo. Une famille d’artistes, à la maison de Victor Hugo.
Mai
– Du 4 mai au 18 septembre 2016. Jean Lurçat. Au seul bruit du soleil, à la Galerie des Gobelins.
Jean Lurçat (1892-1966), peintre, poète, résistant, fut le grand rénovateur de la tapisserie. Le Mobilier national lui consacre la première exposition d’envergure depuis 1958.
– Du 8 mai au 18 juin 2016. 7e édition de Monumenta, avec le Chinois Huang Yong Ping. Empires sous la nef du Grand Palais.
Cette exposition exceptionnelle du Grand Palais est devenue biennale les années paires pour « laisser toute sa place à la Biennale de Lyon  » les années impaires, selon l’ex-ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti.
L’artiste français d’origine chinoise Huang Yong Ping, figure majeure de l’art d’avant-garde chinois des années 1980, a été retenu pour cette édition. Découvert lors de l’exposition "Les Magiciens de la Terre" qui fit date et se tenait simultanément au Centre Pompidou et à la Cité de la Villette, en 1989, année de la répression de la place Tianamen. Cette exposition ouvrait la scène de l’art contemporain international aux artistes non occidentaux.
– Du 10 mai au 11 septembre 2016. Charles Gleyre, 1806-1874). Le romantique repenti, au musée d’Orsay.
Charles Gleyre (1806 - 1874) La Danse des bacchantes, 1849 Huile sur toile, 147 x 243 cm © Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne
Charles Gleyre occupe à Paris une place majeure dans la peinture académique au milieu du XIXe siècle, et de grands noms sortir de son atelier, dont Jean-Léon Gérôme, Claude Monet et Frédéric Bazille.
– Du 10 mai au 4 septembre 2016. Laboratoires de l’art, au musée des Arts et Métiers
Sur le mode du dialogue et de la réciprocité, l’exposition fait entrer en résonance des pièces issues des collections du Musée des arts et métiers et un choix de créations artistiques contemporaines, faisant surgir la notion d’expérience commune aux recherches scientifiques et artistiques.
– Du 11 mai au 22 août 2016. Pierre Paulin, au Centre Pompidou, Galerie Sud, Niveau 1.
Pierre Paulin : Siège 577, 1967 © Centre Pompidou, mnam-cci / Dist. RMN-GP, Photo : B. Prè vost © SAIF
Une rétrospective et une ample monographie du designer et décorateur français. Au travers des pièces de mobilier, des dessins, de la présentation de projets pour les grandes institutions, l’exposition offrira une lecture inédite de l’œuvre de Paulin.
– Du 11 mai au 31 juillet 2016. Francesca Woodman, à la Fondation Henri Cartier-Bresson.
Francesca Woodman, Self-deceit #1, Rome, Italie, 1978 © George and Betty Woodman
Francesca Woodman (1958-1981) a quasi exclusivement utilisé son corps dans ses images. Malgré sa disparition à 22 ans, elle laisse une impressionnante production visuelle.
– Du 14 mai au 23 octobre 2016. Anatomie d’une collection, au musée Galliera.
– Du 25 mai au 27 juin 2016. JR au Louvre, au musée du Louvre, Pyramide.
JR propose de faire disparaître la pyramide, en appliquant le principe de
l’anamorphose. Selon le point de vue où on se situe, la pyramide se fond
alors dans la continuité de la façade du palais du musée du Louvre, à cela près que l’artiste reste fidèle au noir et blanc, qui dévoile le leurre.
– Du 27 mai au 17 juillet 2016. Hains / Lavier (Merci Raymond, par Bertrand Lavier), à la Monnaie de Paris.
12 clins d’œil de Bertrand Lavier pour présenter différemment les œuvres de Raymond Hains (... et les siennes).
Juin
– Du 7 juin au 25 septembre 2016. Josef Sudek (1896 - 1976), Le monde à ma fenêtre, au musée du Jeu de Paume.
Enchevêtrement sur ma table, 1967. Don anonyme, 2010 © Succession Josef Sudek Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa
L’événement « le monde à ma fenêtre  » est la toute première de cette ampleur à resituer le travail et la vie de Josef Sudek (Kolin, 1896 – Prague, 1976) dans le contexte praguois de la première moitié du XXe siècle, imprégné de l’intense vie artistique de la capitale tchèque. La fascination durable qu’exercent sur Sudek la lumière et son absence est à l’origine de quelques-unes des photographies les plus envoûtantes du XXe siècle.
– Du 7 juin au 25 septembre 2016. Joana Hadjithomas & Khalil Joreige, au musée du Jeu de Paume.
Circle of Confusion, 1997 © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Nés en 1969 au Liban, ces artistes travaillent ensemble entre Beyrouth et Paris. À travers des œuvres où dialoguent fictions, documentaires, photographies, textes et installations, ces cinéastes et plasticiens proposent des lectures alternatives de l’histoire, de la guerre, de ses traces et de la violence politique, en tissant des liens profonds entre réalité et fiction.
– Du 8 juin au 29 août 2016. Art pauvre, au Centre Pompidou.
Les diffè rentes pratiques artistiques à travers lesquelles s’est cristallisè e la question du « pauvre  » à partir des annè es 1960 : arts plastiques, avec l’Arte Povera, mais è galement musique, architecture, thè â‚tre ou cinè ma expè rimental.
– Du 10 juin 2016 au 6 février 2017. La collection Thea Westreich Wagner et Ethan Wagner), au Centre Pompidou. Musée, Niveau 4.
Thea et Ethan ont promis à la Centre Pompidou Fondation 350 œuvres, représentatives de leur vision du mécénat et de leur manière de collectionner, en lien constant avec les artistes. 150 de ces œuvres d’une cinquantaine d’artistes sont présentées. Parmi eux, de grandes figures reconnues de la scène contemporaine (Eija-Liisa Ahtila, Martin Barré, Jeff Koons, Philippe Parreno, Christopher Wool, Heimo Zobernig) ainsi que d’autres dont la pratique s’est plus récemment affirmée (Claire Fontaine, Sam Lewitt, Paulina Olowska, Laura Owens, Josephine Pryde, Danh Vo…).
Des œuvres viennent compléter des ensembles existants d’artistes, tels que Ryan Gander et Keith Tyson, d’autres font leur entrée dans les collections du Centre, à l’image de Michael Krebber, Lucy McKenzie et Simon Starling.
– Du 14 juin 2016 au 5 mars 2017. Mutations urbaines, à la Cité des sciences. Aujourd’hui, bien plus que la moitié de la population mondiale vit dans les villes, et cette proportion ne cesse d’augmenter. Comment gérer le vieillissement des populations, la généralisation de l’utilisation des données numériques, les changements climatiques ? Les villes aujourd’hui doivent se transformer pour répondre à ces problématiques...
– Du 15 juin au 12 septembre 2016. Louis Stettner, au Centre Pompidou.
– Du 21 juin au 9 octobre 2016. Jacques Chirac et le dialogue des cultures, au musée du Quai Branly, Galerie Est.
Statuette féminine. Chupicuaro. Amérique © musée du Quai Branly, photo Hugues Dubois
200 œuvres tracent les positions culturelles de Jacques Chirac, à l’origine de ce musée. Le commissaire de l’exposition est... Jean-Jacques Aillagon.
– Du 22 juin au 3 octobre 2016. Beat Generation, au Centre Pompidou.
Un vent de liberté et de désordre nous venait d’Amérique...
– Du 23 juin au 12 septembre 2016. Rester vivant, par Michel Houellebecq, au Palais de Tokyo.
Le visiteur se bâtira son propre roman en suivant un parcours : photographies, films, installations et invités de prestige tous azimuts (Iggy Pop, Robert Combas, etc...).
– Du 23 juin au 12 septembre 2016. Dineo Seshee Bopape, au Palais de Tokyo. . SAM Art Projects.
– Du 23 juin au 12 septembre 2016. Marguerite Humeau, au Palais de Tokyo. .
– Du 23 juin au 12 septembre 2016. Mika Rottenberg, au Palais de Tokyo. .
– Du 23 juin au 12 septembre 2016. David Ryan & Jérôme Joy, au Palais de Tokyo. .
– Du 24 juin au 23 octobre 2016. Zao Wou-Ki. Une donation exceptionnelle, musée Cernuschi.
Quelques pièces précieuses d’une donation toute récente de la veuve du célèbre peintre chinois et français Zao Wou-Ki... dessins, céramiques, encres de Chine, et des bronzes et des céladons de la collection du maître.
– De juin à octobre 2016. Balzac et les artistes : Gautier, Hugo, Lamartine, à la Maison de Balzac.
Juillet
– Du 2 juillet 2016 au 8 janvier 2017. Le Grand Orchestre des Animaux, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain.
Bernie Krause, bio-acousticien, scientifique et musicien amè ricain, a collecté en 50 ans plus de 5 000 heures d’enregistrement sonore d’habitats naturels sauvages, terrestres et marins (15 000 espèces animales !). Une plongè e exceptionnelle au cœur du monde secret des animaux.
– Du 6 juillet au 10 octobre 2016. Miroir du désir. Images de la femme dans l’estampe japonaise, au musée Guimet.
Kitagawa Utamaro (1753-1806). Les Pêcheuses d’abalones. Époque d’Edo, 1797-1798. Triptyque, impression polychrome, 38,2 x 25,5cm ; 37,1 x 24,1cm ; 37,2 x 24,3cm. Paris, musée national des arts asiatiques – Guimet, ancienne collection Louis Gonse, 1953 © RMN-Grand Palais (musée Guimet, Paris) / Thierry Ollivier
– Du 6 juillet au 5 septembre 2016. Haegue Yang. Lingering Nous, au Centre Pompidou. Forum.
Présentation d’une production monumentale d’une des artistes coréennes les plus influentes de sa génération. Traversant plusieurs médiums, du collage à la performance, elle interroge les qualités plastiques et sensorielles des objets du quotidien, qu’elle dissocie de leurs contextes d’origine pour les réarranger en des compositions abstraites.
– Du 8 juillet au 18 septembre 2016. Nicolas Darrot. Règne analogue, à la Maison rouge.
Carte blanche à l’artiste français Nicolas Darrot, occasion de découvrir une vingtaine d’œuvres inédites dont les références sont mixées aux croisements de science, histoire, mythes et littérature : sculptures, installations, objets hybrides et automatisés.
– Du 8 juillet au 18 septembre 2016. Eugen Gabritschevsky (1893-1979), à la Maison rouge.
Première grande exposition à Paris du travail de l’artiste russe Eugen Gabritschevsky (1893-1979), découvert par Jean Dubuffet, avec 230 œuvres parmi les milliers de dessins produits et un ensemble d’archives.
– Du 11 juillet au 5 octobre 2016. Joseph Wolman, au Centre Pompidou.
Wolman fut un précurseur de l’art conceptuel et minimal, et l’acteur majeur d’une mouvance qui cherchait à réactiver le rôle d’une "avant-garde". Son œuvre singulière, radicale dès 1950 quand il rejoint Isidore Isou et le mouvement lettriste, aux coÌ‚tè s de Jean-Louis Brau, Gabriel Pomerand, François Dufrè‚ne, Maurice LemaiÌ‚tre et Guy Debord, mêle poésie, écrits, collages, tableaux, cinéma et vidéos.
– Du 13 juillet au 11 septembre 2016. Clément Cogitore, au Palais de Tokyo. . SAM Art Projects.
Septembre
© Herb Ritts Foundation
– Du 7 septembre au 30 octobre 2016. Herb Ritts, En pleine lumière, à la Maison européenne de la Photographie.
– Du 7 septembre au 30 octobre 2016. Martin d’Orgeval. Revoir, à la Maison européenne de la Photographie.
– Du 8 septembre 2016 au 8 janvier 2017. Roger Tallon, le design en mouvement, au musée des Arts décoratifs.
– Du 8 septembre à fin novembre 2016. Neil Levine. Un Américain à Paris, au musée d’Orsay.
Historien de l’architecture, professeur à Harvard, grand spécialiste d’Henri Labrouste et de Frank Lloyd Wright, Neil Levine a fait don d’une collection exceptionnelle de plus de 300 dessins d’architecture au musée d’Orsay, qui les expose.
– Du 9 septembre 2016 au 31 mars 2017. Joann Sfar - Salvador DalÃ, une seconde avant l’éveil, à l’Espace DalÃ.
En 1939, Dalà publie une « Déclaration d’indépendance de l’imagination
des droits de l’homme à sa propre folie  », en réponse aux censeurs. Il emploie dès lors cette liberté d’expression en favorisant les associations d’idées et d’images spontanées qui donnent à ses œuvres une incomparable puissance imaginative.
Joann Sfar, talentueux conteur, auteur de la bande dessinée Le Chat du Rabbin et du film Gainsbourg. Vie Héroïque, imagine le scénario d’une rencontre artistique avec celui que Brassaï appelait "l’explorateur aussi
hardi que lucide de l’irrationnel".
– Du 9 septembre au 18 décembre 2016. Louis Faurer, à la Fondation HCB.
– Du 10 au 18 septembre 2016. 28e édition de la Biennale des Antiquaires, sous la nef du Grand Palais.
125 exposants dont 120 antiquaires, 4 maisons internationales de Haute Joaillerie, les Maîtres d’Art, et 3 expositions exceptionnelles du musée de l’Ermitage, du Mobilier national et de la Fondation de la Haute Horlogerie.
– Du 14 septembre 2016 au 12 février 2017. Henri Fantin-Latour. Le cercle intime, au musée du Luxembourg.
– Du 14 septembre 2016 au 27 mars 2017. Kollektsia ! Art contemporain en URSS et en Russie (1950-2000), au Centre Pompidou, musée, Niveau 4.
Plus de 250 œuvres soviétiques et russes contemporaines de 1950 à 2000 réunies par le Centre grâce au soutien exceptionnel et à la générosité de la Vladimir Potanin Foundation.
– Du 14 septembre 2016 au 15 janvier 2017. Ben, au musée Maillol.
Si Dieu est partout…, 1962 © Ben Vautier
Pour la réouverture du musée, resté fermé 18 mois, une exposition, venue en bonne partie du musée Tinguely de Bâle, du Suisse Ben Vautier, des bananes aux écritures, Fluxus, le rapport de l’artiste à l’art, à l’Histoire de l’art, à ses interrogations.
Une partie, plus contemporaine, égrainera des moments inspirés de thèmes comme "petites idées", "nouvelles écritures", "photographie", "le temps", et même "la mort".
– Du 14 septembre 2016 à juin 2017. L’Écran japonais, à la Cinémathèque française.
Tadanori Yokoo, Journal du voleur de Shinjuku. Sérigraphie – 1970. Journal du voleur de Shinjuku. Nagisa Oshima. Coll. La Cinémathèque française – Don Yuriko Govaers © Kiyoshi Awazu
L’histoire des relations privilégiées de la Cinémathèque française avec les cinéastes, producteurs, distributeurs et techniciens japonais, des années 1950 à nos jours.
– Du 15 septembre 2016 au 22 janvier 2017. Hodler / Monet / Munch : peindre l’impossible, au musée Marmottan Monet.
Ces peintres essentiels de la modernité européenne, entre impressionnisme, post-impressionnisme et symbolisme, ont affronté des questions de peinture en apparence insurmontables, avec la même constance, et au risque d’être incompris.
Comment peindre de face l’éclat éblouissant du soleil, avec de simples couleurs sur une toile tendue ? Comment peindre la neige ? Comment suggérer les mouvements et les variations de la lumière sur l’eau ou sur le
tronc d’un arbre, malgré l’immobilité de la peinture ? Monet disait : "de l’eau avec de l’herbe qui ondule dans le fond… c’est admirable à voir, mais c’est à rendre fou de vouloir faire ça."
– Du 15 septembre au 5 décembre 2016. Edme Bouchardon. De sanguine et de marbre, au musée du Louvre, Hall Napoléon, Bas.
– Du 16 septembre 2016 au 23 janvier 2017. Rembrandt intime, au musée Jacquemart-André.
– Du 16 septembre 2016 au 26 février 2017. Gilbert Peyre, l’électromécanomaniaque, à la Halle Saint-Pierre .
Machines extravagantes, inventives, poétiques, opérant simultanément sur les terrains de l’installation, du spectacle vivant et de l’art contemporain.
– Du 20 septembre 2016 au 29 janvier 2017. L’œil de Baudelaire, au musée de la Vie romantique.
– Du 21 septembre 2016 au 23 janvier 2017. Magritte. La trahison des images, au Centre Pompidou. Galerie 2, Niveau 6.
Renè Magritte : Le double secret, 1927 © Centre Pompidou, mnam-cci / Dist. RMN-GP, Photo : G. Meguerditchian © Adagp, Paris 2015
Autour d’une centaine de tableaux, emblématiques ou peu connus, de dessins, et de documents d’archives, la proposition d’une lecture renouvelée de son œuvre. Dans la ligne des monographies consacrées par le Centre aux figures majeures de l’art du XXe siècle, après Munch, Matisse et Duchamp.
– Du 23 septembre 2016 au 22 janvier 2017. Biskra, reine du désert, à l’Institut du Monde arabe.
– Du 27 septembre 2016 au 16 janvier 2017. Spectaculaire Second Empire, au musée d’Orsay, Espace Exposition, Niveau 0.
– Du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017. Oscar Wilde, l’impertinent absolu, au musée du Petit Palais.
Une mise en scène d’Oscar Wilde (1854-1900) dans sa vie et dans son œuvre, grand écrivain d’expression anglaise, parfait francophone, qui écrivit dans notre langue sa pièce de théâtre Salomé dont il destinait le rôle titre à Sarah Bernhardt.
– Du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017. Hergé, au Grand Palais.
Le pape de la bande dessinée belge... et peut-être européenne, entre en fanfare au Grand Palais avec toute la tribu de ses personnages : Tintin, le Capitaine Haddock, les Dupondt, le professeur Tournesol, la Castafiore, Milou, et tous les autres...
– Du 28 septembre 2016 au 29 janvier 2017. Arnold Schönberg. Peindre l’âme, au musée d’Art et d’histoire du judaïsme.
– Du 30 septembre 2016 au 26 février 2017. Eva & Adele, you are my biggest inspiration, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Ce couple autoproclamé "Les Jumelles hermaphrodites dans l’art" ont fait donation en 2013 au MAMVP de deux installations vidéo, deux sculptures et une édition. Elles fondent leur production artistique sur des idées d’échanges permanents avec le public dans une véritable symbiose entre art et culture de masse, entre vie publique et sphère privée, cherchant à démontrer que le sexe n’est pas une question simple.
– Du 30 septembre au 31 décembre 2016. Benjamin Katz, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Keith Haring, Galerie Paul Maenz, Cologne, 03.05.1984
70 photographies de Benjamin Katz. En photographiant les ateliers de Georg Baslitz, Jörg Immendorf, Markus Lüpertz, A. R. Penck ou Gerhard Richter, il nous donne accès aux coulisses de la création de toute la scène artistique rhénane, et de quelques autres (André Kertész, Josef Beuys, Andy Warhol...) en procédant avec discrétion, sans flash ni mise en scène particulière.
Octobre
– Du 2 octobre 2016 au 5 février 2017. Des(t/s)ins de guerre, au musée Zadkine.
– Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017. Picasso-Giacometti, au musée Picasso.
L’exposition soulignera les relations formelles, amicales et iconographiques qui se tissèrent entre ces deux artistes majeurs du XXe siècle. Une forme de dialogue est envisagé à partir des collections du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti. Elle confrontera les approches respectives de Picasso et de Giacometti dans plusieurs des domaines de leur création : peinture, sculpture, art graphique, appuyées de plus des fonds d’archives privées des deux artistes.
– Du 4 octobre 2016 au 15 janvier 2017. The Color Line. Les artistes africains-américains et la ségrégation aux États-Unis, au musée du Quai Branly, Galerie Jardin.
The Color Line désigne la ségrégation des Noirs après la fin de la guerre de Sécession en 1865. L’exposition aborde cette histoire avec l’angle de la création artistique sous toutes ses formes, par les artistes afro-américains, victimes de cette « ligne de couleur  » discriminatoire, et presque toujours marginaux en leur temps. Un parcours chrono-thématique par 200 œuvres (peinture, sculpture, photographie, film, musique, graphisme et bande-dessinée).
– Du 5 octobre 2016 au 23 janvier 2017. Mexique 1900-1950 : Diego Rivera, Frida Kahlo, José Clemente Orozco et les avants-gardes, aux Galeries nationales du Grand Palais .
Un vaste panorama de la modernité mexicaine, depuis les prémices de la Révolution jusqu’au milieu du XXe siècle, complété par des interventions d’artistes contemporains.
– Du 5 octobre 2016 au 29 janvier 2017. De Méliès à la 3D : la Machine Cinéma, à la Cinémathèque française.
Une exposition inédite sur l’histoire de la technique et sur les métamorphoses successives de l’image animée, de la fin du XIXe siècle jusqu’à l’ère numérique.
Roman Polanski, parrain de l’exposition De Méliès à la 3D : la Machine Cinéma sur le tournage de Tess (1979)
Projecteurs, caméras, matériels de studio et de laboratoire, archives, films rares... seront dévoilés dans un parcours à la fois esthétique, technologique et historique, ponctué de projections, de sons et de machines en fonctionnement ou en simulation.
– Du 6 octobre 2016 au 3 juillet 2017. Corps en mouvement. De l’opéra au musée, au musée du Louvre, la Petite Galerie, Richelieu.
En partenariat avec l’Opè ra national de Paris, la nouvelle exposition d’è ducation artistique et culturelle de la Petite Galerie du Louvre invite les jeunes visiteurs et leurs accompagnateurs (parents, enseignants, animateurs...) à explorer la reprè sentation du mouvement et de la danse de la Grèce antique à l’avant-garde russe, faisant è cho à l’exposition Bouchardon.
– Du 6 octobre 2016 au 29 janvier 2017. Walasse Ting (1929-2010). Le voleur de fleurs, au musée Cernuschi.
– Du 6 octobre 2016 au 7 janvier 2017. Coluche, à l’Hôtel de Ville.
– Du 7 octobre 2016 au 26 février 2017. Walasse Ting, le voleur de fleurs (1929-2011), au musée Cernuschi.
– Du 10 octobre 2015 au 8 février 2016. Des(t/s)ins de guerre, au musée Zadkine.
– Du 12 octobre 2016 au 30 janvier 2017. La Peinture américaine des années 1930, au musée de l’Orangerie.
Grant Wood, American Gothic, 1930 Photography © The Art Institut of Chicago
– Du 12 octobre au 18 décembre 2016. Tino Sehgal, au Palais de Tokyo.
– Du 12 octobre 2016 au 29 janvier 2017. Guerres secrètes, au musée de l’Armée.
Une exposition sur les guerres secrètes à travers leurs enjeux, leurs mécanismes, leurs moyens ainsi que les hommes et les femmes qui en sont les acteurs. En confrontant réalité et fiction, elle découvre les grandes heures de l’espionnage et du contre-espionnage, les actions clandestines et subversives, les opérations d’intoxication et de propagande, en temps de guerre comme de paix.
– Du 13 octobre 2016 au 15 janvier 2017. Les Services Buffon au musée Nissim de Camondo, au musée des Arts décoratifs.
L’exceptionnelle collection de services de Sèvres à décor ornithologique, connus sous le nom de « services Buffon », encyclopédie en images peintes sur porcelaine. Elle est exposée pour la première fois en regard de planches des archives Buffon et de volumes d’édition de luxe de l’Histoire naturelle des oiseaux (Paris, Bibliothèque centrale du Museum national d’Histoire naturelle) ainsi que de gravures de François-Nicolas Martinet.
Mortier à décor de "Toucan de Cayenne, dit toco", Manufacture de Sèvres. Provient du service livré le 15 mars 1787 au comte de Montmorin, ministre des Affaires étrangères, pour être offert à Eleanor Eden, épouse de William Eden, ministre plénipotentiaire de Grande-Bretagne. Inv. CAM 292.0544 © Les Arts Décoratifs / photo : Jean Tholance
Quelque 350 pièces, acquises par le comte Moïse de Camondo, allant du service de table, aux compotiers, en passant par les seaux à glace, mortier, jatte à punch ou tasses à glace... l’occasion de dresser la table de la salle à manger du musée pour 10 couverts avec le service Lefebvre orné d’oiseaux polychromes et camées en grisaille.
– Du 14 octobre 2016 au 28 février 2017. Bernard Buffet. Rétrospective, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Les oiseaux, le rapace, 1959 Huile sur toile, 240 x 335 cm S.D.B.DR. : Bernard Buffet 59 Donation de Maurice Garnier et Ida en 2012 © ADAGP, Paris © Eric Emo / Parisienne de Photographie.
Avec une centaine de peintures de Bernard Buffet (1928-1999), ce célèbre peintre français si controversé, cette exposition mettra en perspective ses grands thèmes : clowns, cycles religieux, mythologiques, littéraires ou allégoriques.
L’accent sera mis sur ses grandes séries peu connues (Horreur de la Guerre, Les Oiseaux, Les Folles) et sur l’histoire de la peinture (Le Sommeil d’après Courbet, La Leçon d’anatomie d’après Rembrandt), jusqu’à la très spectaculaire série se référant aux Memento mori médiévaux.
– Du 14 octobre 2016 au 22 janvier 2017. Ludwig van / Le mythe Beethoven, à la Philharmonie de Paris .
Une grande exposition consacrée à la postérité de Beethoven, à la présence de sa figure et de sa musique dans les arts, l’histoire et la société de sa mort à aujourd’hui.
Monstre démiurge pour les uns, figure du héros pour les autres, chantre de la liberté républicaine, modèle de la puissance inspirée, incarnation de la Création enfiévrée ou parangon de la Douleur sublimée, Beethoven a façonné un imaginaire littéraire, visuel et musical d’une richesse prodigieuse.
De Klimt à Beuys, de Gide à Haneke, de Burne-Jones à Pierre Henry en passant par Hartung, Basquiat et Kubrick, l’aura beethovénienne hante les artistes et ne manque jamais son objet : celui d’électriser le regard, l’oreille et l’esprit.
Le nom de Beethoven désigne aujourd’hui bien plus qu’un objet d’étude historique ou musicologique ; il renvoie avant tout à un imaginaire collectif, à la fois populaire et savant, politique et artistique, dans lequel se mire constamment notre humanité.
– Du 17 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Collection Tessin, un Suédois à Paris au XVIIIe siècle, au musée du Louvre, Rotonde Sully.
The Route. 2006. Chieh-Jen Chen. 35mm film transféré sur DVD, couleur & noir et blanc, muet, 16’ 45’’ © Chieh-Jen Chen, courtesy galerie Lily Robert
– Du 18 octobre 2016 au 15 janvier 2017. Georges Didi-Huberman. Soulèvements, au musée du Jeu de Paume.
Ce sont des gestes qui disent non face à un état de l’histoire considéré comme trop « pesant  » et qu’il faut donc « soulever  », si ce n’est envoyer balader... Ce sont aussi des gestes qui disent oui à quelque chose d’autre : à un monde désiré meilleur, un monde imaginé ou esquissé, un monde autrement vivable ou pensable.
– Du 18 octobre 2016 au 22 janvier 2017. L’Enfer selon Rodin, au musée Rodin.
Plus de 150 œuvres, dont 50 dessins rarement présentés au public, et de nombreuses sculptures restaurées pour l’exposition... pour revivre la création de La Porte de l’Enfer, un chef-d’œuvre dont l’influence allait être considérable dans l’évolution de la sculpture et des arts.
– Du 18 octobre 2016 au 12 février 2017. Carl Andre. Sculpture as place, 1958-2010 au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
– Du 18 octobre 2016 au 8 janvier 2017. Vivre ! La collection agnès b., au Musée national de l’histoire de l’immigration.
Quand des œuvres de Claude Lévêque, Henri Cartier-Bresson ou John Giorno en côtoient de Mona Hatoum, Kader Attia et Chéri Samba, offrant un regard sensible sur les histoires de celles et ceux venus d’ailleurs.
– Du 18 octobre 2016 au 26 février 2017. Vieux monde, New Look, la France d’Avedon, à la BnF, site Mitterrand.
Richard Avedon (1923, New York - 2004, San Antonio, Texas) est un photographe de mode et un portraitiste américain dont les clichés ont conquis une célébrité et une reconnaissance internationales.
Du reportage photo (Vietnam) à la mode ou aux portraits noir et blanc de stars comme Marilyn Monroe, Brigitte Bardot ou Sophia Loren, il est reconnu comme un véritable artiste dont le succès est toujours d’actualité.
– Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017. Carte blanche à Jiang Dahai, au musée Guimet.
– Du 19 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Jades, des empereurs à l’art déco, au musée Guimet.
– Du 19 octobre 2016 au 13 février 2017. Ascètes, sultans et maharadjahs, pages indiennes du musée Guimet, au musée Guimet.
– Du 19 octobre 2016 au 13 février 2017. Tous à la plage ! Naissance et è volution des stations balnè aires, à la Cité de l’Architecture.
– Du 19 octobre 2016 au 15 janvier 2017. L’Art de la Paix. Secrets et trésors de la diplomatie, au musée du Petit Palais.
1 000 ans d’histoire de la paix : traités emblématiques, et un choix d’œuvres d’art exceptionnel, destinées à préparer les esprits et apaiser les rancœurs.
– Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017. Jean-Luc Moulène, au Centre Pompidou, Galerie Sud, Niveau 1.
Jean-Luc Moulène : Trichrome 2, Marseille, 2015 Courtesy de l’artiste et Galerie Chantal Crousel, Paris © Jean-Luc Moulène / © ADAGP, Paris 2015 Photo : Florian Kleinefenn
– Du 19 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Art et liberté : rupture, guerre et surréalisme en Égypte (1938-1948), au Centre Pompidou. Galerie du musée, Niveau 4.
Première exposition consacrée au groupe Art et Liberté (jama’at al-fann wa al-hurriyyah), qui a rassemblé autour de Georges Henein une constellation d’artistes, d’intellectuels et d’activistes résidant au Caire dans les années 1930 et 1940. Cette plate-forme hétérogène allait se révéler propice à de nombreuses réformes culturelles et politiques, et jouer un rôle actif au sein d’un réseau international dynamique d’intellectuels et d’artistes liés à la mouvance surréaliste.
À l’aube de la Seconde Guerre mondiale et dans une Égypte sous domination coloniale britannique, le groupe Art et Liberté s’inscrivait dans un projet culturel et politique international défiant fascisme, nationalisme et colonialisme.
– Du 19 octobre 2016 au 26 janvier 2017. L’esprit du Bauhaus. L’objet en question, au musée des Arts décoratifs.
Le Bauhaus, de 1919 à 1933, à Weimar, Dessau puis Berlin, fut une è cole où peintres, architectes, artisans, ingè nieurs, acteurs, musiciens, photographes, designers travaillaient ensemble à une nouvelle conception de la vie quotidienne : rendre vie à l’habitat par la synthèse des arts plastiques, de l’artisanat et de l’industrie. Des professeurs aussi opposè s que Johannes Itten et Laszlo Moholy Nagy y formèrent des è lèves dont la photographe Florence Henry et l’architecte Marcel Breuer, pape du mobilier tubulaire.
L’exposition tente de capter cet esprit d’invention, de libertè , de crè ation, de transmission que les grands artistes, architectes et designers qui l’ont frè quentè ont ensuite propagè tout au long du XXe siècle.
Elle revient sur les pè riodes et les formes d’art qui ont forgè l’esprit du Bauhaus parmi lesquelles le Moyen â‚ge et les grands chantiers des cathè drales, les Arts asiatiques et les Arts de l’Islam, les Arts and Craft britanniques, qui abolissent toutes frontières entre art et artisanat...
La vie quotidienne de cette école, la transmission du savoir dans ses ateliers et l’organisation de la communautè artistique... alors que la dernière exposition d’envergure sur le Bauhaus date de 1969 !
– Du 20 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Geste baroque. Collections de Salzbourg, au musée du Louvre, Mollien.
– Du 20 au 23 octobre 2016. Fiac, sous la nef du Grand Palais.
– Du 21 octobre 2016 au 20 février 2017. Icônes de l’art moderne. La collection Chtchoukine, à la Fondation Louis-Vuitton .
Gauguin, Eh quoi, tu es jaloux ? (No te aha ’oe fe’i’i ?), 1892. Musée Pouchkine.
Une exposition d’envergure internationale avec les chefs-d’œuvre de ce grand collectionneur russe (1854, Moscou-1936, Paris) des impressionnistes et postimpressionnistes (Monet, Cézanne, van Gogh, Gauguin, Picasso Matisse, qui décora son hôtel particulier). Grâce aux prêts exceptionnels des musées de l’Ermitage et Pouchkine.
– Du 21 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Paris 1740. Le comte Carl Gustaf Tessin, connaisseur et savant, musée du Louvre, Hall Napoléon, Haut.
– Du 22 octobre 2016 au 22 janvier 2017. Hervé di Rosa et les arts modestes, à la Maison rouge.
Présentation des collections d’Hervé Di Rosa, associées à son travail d’artiste dès le début des années 1980, un parcours subjectif à travers ses œuvres personnelles qui cohabitent avec ses faramineuses collections de jouets, figurines, personnages de BD, objets d’art populaire et modeste en provenance des régions du monde où il a séjourné (Mexique, Espagne, Floride, Cameroun, Vietnam, Portugal).
– Du 22 octobre 2016 au 8 janvier 2017. Maurizio Cattelan. Not afraid of Love, à la Monnaie de Paris.
Un choix d’œuvres, de celles qui demeurent accrochées à la rétine... quand Cattelan réinvente le portrait. Irrévérencieux, génial, facétieux, drôle, grave, provocateur, cynique, potache, Maurizio Cattelan n’est jamais là où on l’attend.
– Du 25 octobre 2016 au 29 janvier 2017. Albert Besnard, 1849-1934. Modernités Belle Époque, au musée du Petit Palais.
Premier peintre qui eut l’honneur de funérailles nationales, Albert Besnard, symboliste tardif, chantre des courbes de la femme 1900, portraitiste et grand décorateur mural, un parcours qui ne demande qu’à être reconsidéré.
– Du 26 octobre 2016 au 13 février 2017. Les Temps mérovingiens. Trois siècles d’art et de culture en Gaule franque, au musée de Cluny.
Un large panorama de l’activitè intellectuelle et artistique d’une sè quence complexe de trois siècles, qui court de la bataille des Champs catalauniques (451) aux derniers "rois fainè ants" (751).
– Du 27 octobre 2016 au 12 février 2017. Jean Nouvel, mes meubles d’architecte, au musée des Arts décoratifs.
Hommage rendu au travail de designer d’objets et de mobilier de l’architecte Jean Nouvel. Peu d’architectes contemporains ont eu en parallèle une telle œuvre de designer.
Pour Jean Nouvel, « un meuble, une table, une chaise, un bureau, c’est une architecture en soi ».
Plus de 100 créations éditées de 1987 à aujourd’hui rassemblées pour la première fois et présentées dans les galeries permanentes du Moyen-Âge, des XVIIe et XVIIIe siècles du musée, mais également dans l’espace conçu par Jean Nouvel en 1998 et dédié à la Publicité.
– Du 27 octobre 2016 au 29 janvier 2017. Bourdelle, sculpteur et photographe. De bruit et de fureur, au musée Bourdelle.
– D’octobre 2016 à février 2017. Georges-Henri Pingusson, à la Cité de l’Architecture.
– D’octobre 2016 à février 2017. Autour du testament spirituel de Delacroix, création et restauration des peintures de Saint Sulpice, au musée Delacroix.
– D’octobre 2016 à juin 2017. L’artiste et le Pouvoir, au musée du Louvre, Richelieu.
Novembre
– Du 8 novembre 2016 au 29 janvier 2017. Figures de Pascal, à la BnF, site Mitterrand.
La BnF sort de ses réserves les trésors et livres rares qu’elle détient sur cet auteur toujours si présent dans notre culture.
– Du 8 novembre 2016 au 8 janvier 2017. Philippe Gronon. Révéler, au musée Picasso, Niveau -1.
– Du 9 novembre 2016 au 30 janvier 2017. Brassaï Graffiti, au Centre Pompidou. Galerie de photographies, Forum -1.
Brassaï (1899–1984) est l’un des premiers, dans l’histoire de la photographie moderne, a concentré son regard sur des dessins, signes et gribouillages des murs de la ville. Il établit un protocole, et, au fil des années, constitue un imagier des traces laissées sur les murs. Une centaine de tirages d’époque et de documents.
– Du 14 novembre 2016 au 5 mars 2017. Aventuriers des mers. De Sindbad à Marco Polo, à l’Institut du Monde arabe.
De Sindbad le marin à Marco Polo, puis d’Ibn Battûta et Vasco de Gama jusqu’aux Compagnies des Indes orientales, d’extraordinaires récits de voyages ont conté la richesse des échanges maritimes entre les mers de l’Ancien Monde. Cette exposition et son catalogue conduiront le visiteur et le lecteur au croisement de l’or d’Afrique et de l’argent d’Occident, des diamants de Golconde et des verreries de Venise, des porcelaines, des soieries et des épices venues de Chine et des Moluques.
– Du 15 novembre 2016 au 5 mars 2017. Frédéric Bazille, 1841-1870. La jeunesse de l’impressionnisme, au musée d’Orsay, espace Exposition Niveau 5.
Frédéric Bazille, La Robe rose, 1864. Huile sur toile, Paris, musée d’Orsay © Rmn-Grand Palais / msée d’Orsay / Hervé Lewandowski
– Du 22 novembre 2016 au 2 avril 2017. Éclectique. Une collection du XXIe siècle, au musée du Quai Branly, Mezzanine est.
Une réflexion sur l’histoire du collectionnisme, mais aussi sur la place des arts dits « primitifs  » dans l’histoire des arts, à travers 61 chefs-d’œuvre (art africain et océanien, grandes œuvres classiques, modernes, contemporaines, historiques ou rares... de la collection de Marc Ladreit de Lacharrière.
– Du 22 novembre 2016 au 2 avril 2017. Du Jourdain au Congo. Art et christianisme en Afrique centrale, au musée du Quai Branly, Mezzanine Est.
Présentation d’un ensemble exceptionnel de 100œuvres kongo d’inspiration chrétienne (crucifix, sculptures, pendentifs gravures et dessins du XVe au XXe siècle, et issues des collections du Musée royale de l’Afrique centrale de Tervuren et de collections privées.
– À partir du 22 novembre 2016. Hommage à Zeïneb et Jean-Pierre Marcie-Rivière, au musée d’Orsay.
Une donation exceptionnelle d’œuvres des peintres nabis. La collection, commencée dans les années 1980 par son épouse et poursuivie pendant plus de 30 ans par le couple, comprend 50 peintures et pastels de Bonnard et de Vuillard, 89 dessins de Bonnard et 2 dessins de Vuillard.
– Du 22 novembre 2016 au 29 janvier 2017. Plumes, vision de l’Amérique, au musée du Quai Branly. Galerie Jardin.
De la symbolique de la plume dans l’Amérique précolombienne, et de la réutilisation aux premiers temps de l’évangélisation du Mexique par les religieux de l’art des plumassiers pour promouvoir la nouvelle religion. D’autres œuvres seront montrées d’art baroque andin ou même de création contemporaine.
– Du 25 novembre 2016 au 12 mars 2017. Le Premier Génocide du XXe siècle. Herero et Nama dans le Sud Ouest africain allemand, 1904-1908, au Mémorial de la Shoah.
– Du 29 novembre 2016 au 26 mars 2017. Fêtes et divertissements à la Cour, au Château de Versailles.
3 règnes d’ingéniosité, de surprise et de magnificence : Louis XIV, Louis XV, Louis XVI.
– Du 30 novembre 2016 au 24 avril 2017. Cy Twombly, au Centre Pompidou, Galerie 1, Niveau 6.
Cy Twombly : Blooming, 2001 - 2008 Courtesy Archives Fondazione Nicola Del Roscio Photo : Studio Silvano, Gaeta © Cy Twombly Foundation
– De novembre 2016 à avril 2017. Un Poème s’expose, la pente de la rêverie, à la Maison de Victor Hugo.
Décembre
– Du 1er décembre 2016 au 23 avril 2017. Tenue correcte exigée, quand le vêtement fait scandale, au musée des Arts décoratifs.
Certains vêtements ont marquè une rupture, provoqué à leur apparition de virulentes critiques, voire des interdictions : trop courts ou trop longs, trop ajustè s ou trop amples, trop impudiques ou trop couvrants, trop fè minins pour un homme, trop masculins pour une femme...
– Du 7 décembre 2016 au 10 avril 2017. Gaston : au-delà de Lagaffe, à la Bibliothèque publique d’information / Centre Pompidou, Espace presse, Niveau 2.
Gaston Lagaffe fêtera ses 60 ans le 8 février 2017, date de sa première parution dans le journal de Spirou. "Héros sans emploi" créé par Franquin pour animer le journal, il devient très vite l’un des personnages majeurs de l’épopée Spirou et, sur plus de 900 planches, un grand classique de la BD.
– Du 8 décembre 2016 au 12 mars 2017. Ernest et Célestine, aux Arts décoratifs.
– Du 11 décembre 2016 au 2 janvier 2017. Le Grand Palais des Glaces, sous la nef du Grand Palais.
– Du 14 décembre 2016 au 9 janvier 2017. Sites éternels. De Bâmiyân à Palmyre, Voyage au cœur des sites du patrimoine universel, au Grand Palais, Galerie Sud-Est.
Arche de Palmyre, reconstruction 3D, image 3D, © Iconem/DGAM
Présentation par la Rmn-Grand Palais et le Louvre, sous le haut patronage de l’Unesco, d’une exposition gratuite pour (re)découvrir les splendeurs de grands sites archéologiques aujourd’hui inaccessibles : Bâmyiân, Khorsabad, Palmyre, la Mosquée des Omeyyades de Damas et le Krak des Chevaliers, sites du patrimoine universel sous la menace de conflits.
– Décembre. Ouverture d’un "grand musée du parfum" au 73, rue du Fg Saint-Honoré, qui présentera l’histoire des parfums et un parcours olfactif d’une soixantaine d’arômes.
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Vous retrouvez comme chaque année dans PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z les différentes expositions annoncées par leurs établissements et musées.
Frederic Leighton (1830–1896) Crenaia, the nymph of the dargle, ca. 1880 Huile sur toile 76.2x26.7 cm Colección Pérez Simón, Mexico © Arturo Piera, Musée Jacquemart-André 09/13-01/14
Dans Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris ces mêmes expositions sont classées par dates.
Dans la série Toutes les expositions 2017-2018 dans les plus grands musées de Paris... lire également :
Au musée du Louvre, au Centre Pompidou, au Grand Palais, au musées d’Orsay et de l’Orangerie, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, au Jeu de Paume, au Palais de Tokyo, à la Bibliothèque nationale de France, au musée du Quai Branly, au musée des Arts décoratifs, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, au musée Guimet, au musée Galliera, au Petit Palais, et au Château de Versailles.
Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.
Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et... nos préférences, car on ne se refait pas : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.
Vous pouvez consulter plus d’une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.
Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2017 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2016, 2015, 2014, 2013, 2012.
Nous vous proposons aussi une sélection de musées et d’expositions 2017 dans les villes françaises suivantes, que nous nous efforçons de tenir assez régulièrement à jour :
– Aix-en-Provence - Albi - Les Alpilles - Angers, - Angoulême - Antibes - Arles - Aubagne - Avignon : Saintes-Maries-de-la-Mer, L’Isle-sur-la-Sorgue - Bègles - Biarritz - Biot, - Blois - Bordeaux - Bourg-en-Bresse - Cagnes-sur-Mer, - Cannes, - Carcassonne - Dijon - Grasse- Grenoble - Hyères - Ile-de-France : Auvers/Oise, Boulogne-Billancourt, Bussy-Saint-Martin, Chamarande, Chantilly, Châtenay-Malabry, Compiègne, Écouen, Fontainebleau, Giverny, L’Isle-Adam, Jouy-en-Josas, Malmaison, Marne-la-Vallée, Meudon, Milly-la-Forêt, Noisiel, Pantin, Pierrefitte/Seine, Poissy, Pontoise, Royaumont, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, Saint-Denis, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Ouen-l’Aumône, Sceaux, Sèvres, Versailles, Vitry/Seine, Yerres - Le Cannet - Le Havre - Lens - Le Rayol - Le Canadel/Mer - Les Sables-d’Olonne - Libourne - Lille : Villeneuve d’Ascq, Roubaix, Tourcoing, Croix, Graveline, Cassel, Valenciennes - Lodève - Lyon - Marseille - Martigues - Metz - Monaco, - Montauban - Montpellier - Mougins, - Nantes - Narbonne - Nice - Nîmes - Ornans - Rennes : Landernau, Quimper - Rodez - Rouen - Saint-Étienne - Saint-Nazaire- Saint-Paul-de-Vence, - Saint-Tropez - Sérignan - Sète - Strasbourg - Toulon - Toulouse - Tours - Valence - Vallauris - Vence - Vendôme - Villeurbanne
Et juste des musées et expositions temporaires pour quelques villes étrangères : Amsterdam : Harlem, Rotterdam, La-Haye, Bois-le-Duc Berlin Bâle Bruxelles Genève Londres Madrid Milan, et Venise.
André Balbo
sources : visites, musées, presse...