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Square d’Estienne d’Orves

vendredi 6 août 2010,    Adele

Le jardin créé en 1865, se situe aux pieds de l’église de la Trinité. Au sommet de l’escalier qui y mène, trois statues, « la Foi », « la Charité » et « l’Espérance », par Duret et Lequesne protègent trois enfants au pied duquel trois vases en bronze laissent rejaillir l’eau qui retombe sur les trois fontaines à triple vasque, enlacées par les bras de l’escalier.
Deux pelouses se déploient face au porche à trois arcades de l’église.

Accessible aux handicapés

Aire de jeux pour les enfants et bac à sable

Situé en plein cœur de l’ancien hameau des Porcherons, le jardin occupe l’emplacement d’une série de guinguettes qui s’y succédèrent. Ramponneau y tenait le célèbre cabaret des Porcherons où l’on buvait un vin blanc particulièrement apprécié à l’époque, qui faisait tourner la tête (« ginguer », donnant le nom de guinguette). Elles étaient surtout fréquentées par les militaires des gardes-françaises qui séjournaient dans la caserne Saint-Lazare toute proche. Mais le hameau avec ses guinguettes, sa caserne et quelques hôtels particuliers disparurent sous Napoléon III, au moment de l’aménagement de la place. L’église de la Trinité (1867) surgit alors des décombres, un édifice d’inspiration Renaissance d’après les dessins de l’architecte Théodore Ballu, qui a aussi participé à la reconstruction de l’Hôtel de Ville de Paris en 1873, et le square de la Trinité. Haussmann choisit l’ingénieur Alphand, son architecte favori, pour l’aménagement du site. Il est resté fidèle à l’esprit de la Trinité, voulu par Ballu, en organisant le jardin autour du chiffre trois. Pour les mélomanes, faites un détour par l’église, dont le grand compositeur français Olivier Messiaen a été l’organiste pendant 40 ans.

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

1 place d’Estienne d’Orves 75009 Paris

vendredi 6 août 2010,    Adele