.evous
✕ Fermer

Paris & Ile de France

Paris

Arrondissements de Paris

Ile-de-France

Métropoles

Marseille

Lyon

Toulouse

Nice

Montpellier

Strasbourg

Bordeaux

Lille

Villes & Communes

Agenda des Communes

Auvergne-Rhône-Alpes

Bourgogne-Franche-Comté

Bretagne

Centre-Val-de-Loire

Grand Est

Hauts-de-France

Normandie

Nouvelle-Aquitaine

Occitanie

Pays de la Loire

Provence-Alpes-Côte d’Azur

Musique

Les agendas musique

Concerts & tournées

News

Vos artistes favoris

Albums

Festivals de musique

Sur vos écrans

Les agendas de vos écrans

Cinéma

Jeux Vidéo

Emissions TV

Séries

Sports

Les agendas sportifs

Arts & Vivre

Nature & jardin

Terres & Saveurs

Recettes

Astuces, idées et inspirations

Voyager

.evous > Terres et saveurs > Des douceurs, des desserts > Les 13 desserts

Les calenos, les desserts provençaux de Noël

mardi 18 décembre 2012,    Marion Augustin

Les calenos sont les desserts provençaux de Noël. Devenus 13 au fil du temps, ils sont abondants et pleins de douceurs.


Trois nappes, treize pains, représentants les apôtres et le Christ et des douceurs, voici la composition d’origine des calenos.

Au XVIIIème siècle, un voyageurs en Provence fait l’inventaire des desserts provençaux. Il cite les figues, les raisins frais et secs, les pruneaux de Brignoles, les oranges, les pommes, les poires, les cédrats confits, les biscuits, les nougats.

Un autre auteur du XIXème siècle précise que les « desserts (sont) plus ou moins splendides selon l’aisance des familles, qui consistent en gâteaux, fruits secs, confitures, biscuits et sucreries, pompes et châtaignes qui ne manquent jamais ».

Plus que la symbolique du nombre 13, qui leur a forgé leur identité provençale, les desserts du gros souper se rattachent à une tradition d’opulence commune à d’autres sociétés méditerranéennes, dans le Maghreb ou en Egypte.

Si les calenos sont provençaux, les douceurs, elles, sont bien méditerranéennes.

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

Pour aller plus loin
mardi 18 décembre 2012,    Marion Augustin