.evous
✕ Fermer

Paris & Ile de France

Paris

Arrondissements de Paris

Ile-de-France

Métropoles

Marseille

Lyon

Toulouse

Nice

Montpellier

Strasbourg

Bordeaux

Lille

Villes & Communes

Agenda des Communes

Auvergne-Rhône-Alpes

Bourgogne-Franche-Comté

Bretagne

Centre-Val-de-Loire

Grand Est

Hauts-de-France

Normandie

Nouvelle-Aquitaine

Occitanie

Pays de la Loire

Provence-Alpes-Côte d’Azur

Musique

Les agendas musique

Concerts & tournées

News

Vos artistes favoris

Albums

Festivals de musique

Sur vos écrans

Les agendas de vos écrans

Cinéma

Jeux Vidéo

Emissions TV

Séries

Sports

Les agendas sportifs

Arts & Vivre

Nature & jardin

Terres & Saveurs

Recettes

Astuces, idées et inspirations

Voyager

.evous > Terres et saveurs > Des douceurs, des desserts > Paris-Brest et Saint-Honoré

La pâtisserie : depuis quand ?

jeudi 10 octobre 2013,    Marion Augustin

Le Saint Honoré a été inventé en 1850, le Paris-Brest au début du XXème siècle, mais les origines de la pâtisserie remontent bien avant.


Les premiers gâteaux

En pâtisserie les racines remontent sans doute au néolithique où l’homme inventa les
premiers « gâteaux » c’étaient de simples mélanges de farine, lait, et miel. Ils étaient
desséchés sur des pierres chauffés au soleil, il ya de ça 7000 ans.

Obélias chez les Grecs

On trouve le premier nom donné a un gâteau chez les Grecs « Obélias » qui signifie
« offrande ».Mais ce ne sont la, bien sûr que balbutiements car, longtemps, les hommes n’eurent à leur portée de main que de la farine et du miel.
Pour parler d’une véritable pâtisserie, il faut attendre trois produits, l’œuf, le beurre, et le sucre.

Pasticiers ou oublayeurs ?

Les "pasticiers" du Moyen-Age confectionnaient des pâtisseries grasses à base d’oeufs et de farine, de moelle, plutôt salées (pâtés de viandes, de fromages, de poissons).

Les "oublayeurs", eux, fabriquaient des pâtisseries plus légères, dont les "oublies", sortes de crêpes minces roulées en cornet, des fouaces (galettes cuites sous la cendre) ou, devant les églises, des gaufres cuites dans des moules représentant des images de saints.

L’essor des pâtissiers

C’est à la Renaissance que les notables prennent goût au sucre et à la pâtisserie. Le sucre, denrée chère, devient un moyen pour les puissants d’exposer leur pouvoir. L’essor de la pâtisserie va aller croissant XVIIème et XVIIIème siècle.

La XIXème siècle est la consécration des pâtissiers qui inventent sans cesse de nouveaux gâteaux. Les clients bourgeois et urbains en raffolent.

Détail du tableau La pâtisserie Gloppe de Jean Béraud, 1889, Musée Carnavalet.

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

Pour aller plus loin
jeudi 10 octobre 2013,    Marion Augustin