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Tokio Hotel : L’album ’Zimmer 483’

lundi 19 février 2018,    Jean

Quelques petits mois après la sortie de leur premier album Schrei, les jeunes allemands de Tokio Hotel sont déjà de retour avec un nouvel opus, Zimmer 483.
Volonté de surfer sur la vague du succès ? De battre le fer tant qu’il est chaud ? C’est ce qu’on peut supposer quand on entend ces nouvelles chansons, si similaires à celles qui les ont révélés l’année dernière. Sans être mauvaises, elles souffrent d’un manque cruel d’originalité et n’ont plus la fraîcheur des débuts. Leur rock chanté en allemand ne choque plus nos oreilles, le look androgyne de Bill, le leader du groupe, ne surprend plus nos yeux. La traduction française des textes, gracieusement fournie à l’intérieur du disque, ne permet pas non plus d’observer d’évolution dans les thèmes abordés, toujours propres à leur jeune âge (l’amour naissant, la découverte de la sexualité, le mal-être adolescent, le sentiment d’être seul au monde).

Malgré tout, quelques pistes sauvent du naufrage. Sur le single Übers Ende Der Welt et l’énervé Wo Sind Eure Hände, la bande des quatre réussit à traduire toute l’urgence et l’esprit de révolte de sa génération. Spring nicht contient ce rythme un peu lourd, ce lyrisme empreint de pathos, qui ne sont pas sans rappeler les vieilles rengaines de Scorpions pendant que l’intro de Reden pourra faire penser au Nirvana de l’époque Never Mind. C’est finalement le gentil An Deiner Seite (Ich Bin Da) qui sort le plus du lot par sa douce cadence et ses paroles réconfortantes. A noter aussi les deux derniers titres, versions anglophones de Übers Ende Der Welt et du tube Durch Den Monsun issu de leur premier album…
Un album à conseiller en priorité aux fans.

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

lundi 19 février 2018,    Jean