.evous
✕ Fermer

Paris & Ile de France

Paris

Arrondissements de Paris

Ile-de-France

Métropoles

Marseille

Lyon

Toulouse

Nice

Montpellier

Strasbourg

Bordeaux

Lille

Villes & Communes

Agenda des Communes

Auvergne-Rhône-Alpes

Bourgogne-Franche-Comté

Bretagne

Centre-Val-de-Loire

Grand Est

Hauts-de-France

Normandie

Nouvelle-Aquitaine

Occitanie

Pays de la Loire

Provence-Alpes-Côte d’Azur

Musique

Les agendas musique

Concerts & tournées

News

Vos artistes favoris

Albums

Festivals de musique

Sur vos écrans

Les agendas de vos écrans

Cinéma

Jeux Vidéo

Emissions TV

Séries

Sports

Les agendas sportifs

Arts & Vivre

Nature & jardin

Terres & Saveurs

Recettes

Astuces, idées et inspirations

Voyager

.evous > Sur vos écrans > Cinéma > Actualités Cinéma

Natalie Portman remise à sa place par sa doublure dans Black Swan

vendredi 15 février 2019,    Morgan

D’après le calendrier Hollywoodien, 2011 est l’année Portman. Avec une profusion de films en préparation et surtout la consécration obtenue lors de la dernière remise des Oscars et le succès public et critique de Black Swan, Natalie Portman s’est définitivement installée dans les souliers d’une étoile du cinéma.

Mais il y a d’autres étoiles que cela fait grincer. La doublure de Natalie Portman, Sarah Lane de l’American Ballet Theatre, a en effet "révélé" à Entertainment Weekly que la production du film de Darren Aronofsky avait exagéré le rôle de l’actrice dans le tournage des nombreuses scènes de danse qu’il contient. "Sur l’ensemble des plans en pied, Natalie y a participé à hauteur de 5%. Tout le reste, c’est moi", a-t-elle déclaré en réponse à une interview du chorégraphe Benjamin Millepied au Times de Los Angeles. Le Français avait affirmé pour sa part que Natalie Portman, par ailleurs sa fiancée à la ville, avait elle-même tourné 85% des scènes de danse.

Plus qu’une affaire de chiffres, il semblerait que cette histoire révèle certains problèmes d’égo...

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

vendredi 15 février 2019,    Morgan