C’est l’histoire de deux hommes, Levent et Azad : l’un est turc et l’autre est arménien. Levent n’a pas ses papiers. Il va devoir prendre l’identité d’Azad. Comment, aujourd’hui, un jeune turc et un jeune arménien vont-ils se rencontrer et pourquoi la rencontre est-elle toujours aussi complexe et difficile ?
La pièce de Caroline Safarian est une belle réflexion sur une mémoire qui ne doit pas s’éteindre et elle nous amène à nous interroger sur les conséquences du déni d’un génocide sur les générations actuelles, pratiquement cent ans après les faits.
Pourra-t-il y avoir une réconciliation ?
Rétablir la communication, la transmission d’un génocide doublé par l’effet du déni était une chose fondamentale pour moi lorsque j’ai écrit “Papiers d’Arménie†. - Caroline Safarian
Durée 1h15, à partir de 12 ans
Avec le Chœur d’Hélène : Nouritza Emmanuellian, Loreleï Daize, Stéphanette Martelet et Véronique Boukali (musicienne), Pascal Neyron Azad, Maximilien Neujahr le contrôleur de train et Vincent Delouzilliere Levent
Une comédie mémorielle sélectionnée en vue du prix théâtre 13 - Jeunes Metteurs en scène 2014

Papiers d’Arménie ou sans retour possible, rendez-vous au théâtre 13, Côté Seine, Mardi 10 et mercredi 11 juin