Merceries et quincalleries, Paris 1er

C’est le tout premier magasin de la Bovida, ouvert en 1936, non loin de son homologue plus ancien (1820), la maison Dehillerin. Plus jeune mais aussi plus moderne que cette dernière, la Bovida s’adresse elle aussi aux professionnels et aux passionnés de cuisine, vendant tout le nécessaire pour préparer les recettes (casseroles, cocottes, couteaux, moules, etc) mais aussi pour les décorer (fleurs en hostie, mariés à poser sur les pièces montées, décalcomanies) et pour décorer les lieux de (…)

C’est un magasin rare, comme vous n’avez pas du en rencontrer beaucoup ! Depuis bientôt deux siècles (1820), ce magasin est le lieu d’approvisionnement des professionnels « des métiers de bouche  ».
C’est ici que viennent cuistots, restaurateurs, bistrotiers et traiteurs pour trouver ou commander les grandes marmites et les casseroles en cuivre qui forment de si belles batteries, accrochées aux murs ou posées sur les pianos. On y trouve aussi des trancheuses de jambon, que même les (…)

C’est l’un des temples des Parisiens créatifs amateurs de tissus, de rubans, de boutons et de galons. Voilà une boutique qui aurait pu se fondre dans la masse de ses semblables et concurrentes, mais qui a su réinventer la mercerie, la mettre au goût du jour, celui des loisirs créatifs.
Située à quelques mètres des colonnes de la porte de Saint-Eustache, la vitrine n’est pas très large mais colorée. Le magasin est beau, tout en profondeur et bien rempli, de bocaux aux trésors, de rouleaux, (…)