La crèche de Noël 2024 à l’église de la Madeleine

La crèche 2021
En 2021, l’oeuvre était réalisée par Nicolas Henry, photographe plasticien français déjà à l’initiative du projet Photoclimat de la ville de Paris qui avait eu lieu en septembre 2021. Sa crèche - un trésor dans un vase d’argile - a été inaugurée le 4 décembre 2021, puis présentée jusqu’au 28 janvier 2022.

La crèche 2020
Fin 2020, c’est Cédric Bregnard qui a accepté de mettre son talent de photographe au service de la paroisse. Les visiteurs pouvaient alors voir le résultat de sa démarche participative à partir du 24 décembre.

La crèche 2018
Pour sa 9e è dition, la paroisse a proposè aux femmes accueillies à l’atelier Arc-en-Ciel de l’association Ozanam des rè alisations personnelles sur le thè€me de Noèˆl. Cette crè€che Arc-en-Ciel atypique exprime la mè ditation de ces femmes sur la Nativitè . "Pour l’Enfant-Dieu, elles ont rè alisè un è crin faits de fleurs et d’è toiles, de visages et de paysages, un patchwork de l’humanitè toujours en attente de la joie de Noèˆl, sorte d’arc en ciel entre le ciel et la terre, signe de la venue du Prince de la Paix", déclarait Pè€re Bruno Horaist, curè de la Madeleine.

La crèche 2017
Cette oeuvre baptisée Arriver là a été réalisée par l’artiste Raphaël de Villers. La crèche est ensuite visible jusqu’au 29 février 2018, tous les jours de 9h30 à 19h.
Dans le contexte des migrants qui sont confrontè s à des situations difficiles voir hostiles, l’artiste se pose la question de savoir comment la Sainte Famille en dè placement aurait è tè accueillie à la Madeleine et dans notre quartier. Il nous pose la mè‚me question.

La crèche 2016
Nativité, réalisée par Samuel Yal, a été dévoilée le 10 décembre 2016, avant un concert de chants sacrés et traditionnels slovaques. L’enfant Jè sus rè alisè en cire à partir des è gouttures repose sur un amas de photos noir et blanc de visages de notre siè€cle (saints ou criminels, martyres ou bourreau) tè moins de notre humanitè dans sa diversitè ; des mains d’expression diffè rentes tè moignent de l’accueil qui lui est rè servè

La crèche 2015
Cette oeuvre baptisée Révélations est dévoilée samedi 28 novembre 2015 à 17h en présence de l’artiste, la sculptrice Pauline Ohrel. Le grillage, matè riau simple, est mis au service du message universel incarnè par la Sainte Famille et prè sentè dans la dè mesure de l’Eglise de la Madeleine.

La crèche 2014
Place à Résonances, la création d’Edéenne, une joaillière de renom qui veut faire passer un message d’espérance de Noël sous un ciel étoilé... Chaque personnage a son è lè ment identitaire. Le visiteur peut l’habiller des souvenirs et des pages d’Evangile qui rè sonnent en lui.

La crèche 2013
Après Josette Rispal en 2011 et Gaëtan Duthu en 2012, l’église de la Madeleine invitait en 2013 la Maison Fouque à revisiter sa célèbre crèche. Du 18 décembre 2013 au 26 janvier 2014, cette représentation de la naissance du Christ fut peuplée de santons de 50 cm, dessinés dans les ateliers de la famille provençale. De notoriété internationale, la Maison Fouque est réputée pour son savoir-faire exceptionnel dans la fabrication de santons. Un talent qu’elle perpétue depuis quatre générations.

La crèche 2012
C’est le styliste Gaëtan Duthu qui imaginait cette année une crèche inspirée d’un passage de l’évangile de Saint Luc : "et soudain, il se joignit une multitude de l’armée céleste… " (Luc 2, 8-14). L’artiste s’est demandé ce qu’il adviendrait si le Christ naissait à notre époque, imaginant que les réseaux sociaux, Internet et les médias seraient les nouveaux moyens d’annoncer la nouvelle au monde entier. Ainsi, Joseph et Marie apparaissent dans sa crèche comme un couple de dos, devant un écran de télévision brouillé, sur lequel Jésus apparait le 25 décembre.

La mise en scène était pour le moins étonnante car très contemporaine, puisque le numérique et les nouvelles technologies y étaient très présents. Sur une création de 11 mètres de long, l’artiste proposait une crèche symbole de notre société, qui ne cesse de multiplier les moyens de communications. Les portraits d’utilisateurs du web ayant souhaité participé à l’œuvre défilaient sur des personnages étranges, quelque peu inquiétants, dans un halo de lumière blanche.
D’aucuns ont trouvé cette crèche revisitée gênante, de mauvais goût ou décevante ; elle avait néanmoins le mérite de surprendre, dans le cadre majestueux qui l’accueillait. Il en émanait une atmosphère particulière, qui malgré son caractère insolite, s’avérait propice à la méditation.