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Automne 2017. Deux grandes expositions René Goscinny !

lundi 6 mai 2019, par Expositions

Du 27 septembre 2017 au 4 mars 2018, exposition René Goscinny, au-delà du rire, au Mahj (musée d’art et d’histoire du Judaïsme).
Du 4 octobre 2017 au 7 mars 2018, exposition Le cinéma de Goscinny : Astérix, Lucky Luke & Cie, à la Cinémathèque.

Présentation de l’artiste

Voir Présentations d’Artistes de A à Z

René Goscinny (1926-1977), scénariste de BD, journaliste, écrivain, humoriste français, fut également réalisateur et scénariste de films. Créateur des personnages d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas, et longtemps scénariste de Lucky Luke, il est l’un des auteurs français les plus lus au monde.

1926. Naissance à Paris de René Goscinny, fils cadet de Stanislas, dit "Simkha", et Anna, née Beresniak.
1928. La famille Goscinny rejoint Stanislas à Buenos Aires, où il a été nommé secrétaire général de la Jewish Colonization Association (JCA) ; René étudie dans les écoles françaises de la ville.
1939-1941. Lazare Beresniak, grand-père maternel de René Goscinny, publie, sous le pseudonyme de Abaq (poussière, en hébreu), le Dictionnaire
complet yiddish-hébreu
.
1941. "Aryanisation" de l’imprimerie parisienne Beresniak, arrestation de Léon Beresniak et de ses frères, également employés à l’imprimerie lors de la rafle dite "des notables" qui toucha 1 043 avocats, médecins, hommes politiques et industriels juifs.
1942. Déportation et assassinat à Auschwitz de Léon, Volodya et Maurice Beresniak ; René Goscinny réalise des caricatures de Mussolini, Hitler et Staline dans ses carnets de croquis.

René Goscinny, Churchill (portrait caricature). Buenos Aires, 31 octobre 1943. Encre de Chine, gouache et mine de plomb sur carton, 20,5 x 17 cm © Anne Goscinny. Prêt de l’institut René Goscinny

1943. Baccalauréat à Buenos Aires. À la suite du décès de Stanislas Goscinny, la famille connaît une grande précarité.
1944-1947. René Goscinny publie ses premiers textes et dessins dans les revues d’élèves Notre Voix et Quartier Latin.
1944. Comptable adjoint dans une entreprise de pneumatiques, puis dessinateur pour une agence de publicité.
1945. Installation d’Anna et René Goscinny à New York.
1946. Service militaire en France dans un bataillon d’infanterie alpine à Aubagne.
1947. Retour à New York ; Goscinny frappe en vain aux portes des éditeurs, agences de presse et studios de création ; période la plus difficile de sa vie, il reste un an et demi sans emploi, aidé par sa mère.
1948. Goscinny propose ses dessins au New Yorker dont il ne recevra jamais de réponse ; il intègre une agence de publicité. Rencontre Harvey Kurtzman, futur fondateur du magazine Mad, John Severin et Will Elder.
1949. Rencontre Jijé (Joseph Gillain) pilier du journal Spirou, installé dans le Connecticut, puis Morris, son élève et l’auteur de la série Lucky Luke ; Goscinny publie des livres pour enfants avec Harvey Kurtzman.
1950. Par l’intermédiaire de Jijé, René rencontre Georges Troisfontaines, directeur de la World Press Agency, qui travaille en étroite collaboration avec les éditions Dupuis.
1951. René Goscinny s’installe à Paris, trouve un emploi au sein de l’antenne de la World Press. Il y rencontre Jean-Michel Charlier et Albert Uderzo ; avec ce dernier, il commence à produire des histoires pour l’hebdomadaire féminin belge Bonnes Soirées ; leur bande dessinée Oumpah-Pah est refusé par le Journal de Spirou.
1952. Goscinny est missionné par les éditions Dupuis pour lancer à New York un journal de programmes de télévision TV Family ; il y reste six mois puis rentre à Paris.
1954. Goscinny rencontre Sempé ; il travaille pour Le Moustique, hebdomadaire belge où paraissent les premiers dessins de Sempé et de son petit garçon facétieux, Nicolas.

Morris (dess.) et Goscinny (scénario non signé). Lucky Luke : Des rails sur la prairie. Spirou n°906, 25 août 1955 (couv.) Impression couleur sur papier, 28 x 19,5 cm. mahJ archives © Lucky Comics, 2017

1955. Début de la collaboration entre Morris et Goscinny sur la série Lucky Luke : parution de la première planche de Des rails sur la prairie dans le n° 906 du Journal de Spirou ; Goscinny, Jean-Michel Charlier et Uderzo défendent les droits des auteurs au sein de la World Press.
1956. Goscinny, licencié de la World Press, entre au Journal de Tintin.
1958. Il démarre la série Strapontin avec Berck et relance Oumpah-Pah avec Uderzo.
1959. Goscinny et Sempé reprennent le personnage de Nicolas ; Le Petit Nicolas devient un feuilleton hebdomadaire pendant 6 ans ; création du magazine Pilote, racheté en 1960 par Dargaud ; dans la première édition, lancement d’Astérix avec Albert Uderzo.
1961. Parution du premier album : Astérix le Gaulois.
1962. Avec Tabary, création d’Iznogoud dans le magazine Record.
1963. Goscinny partage la rédaction en chef de Pilote avec Charlier, jusqu’en 1974 ; il écrit Les Aventures du facteur Rhésus illustrées par Bretécher et créé avec Cabu La Potachologie dans Pilote.
1965-1967. Avec Gotlib, parution dans Pilote de la série des Dingodossiers.
1967. Goscinny épouse Gilberte Pollaro-Millo ; leur fille Anne naît l’année suivante.
1968. Crise au journal Pilote : une poignée de dessinateurs remettent en cause le fonctionnement de l’hebdomadaire ; Goscinny passe de rédacteur en chef à directeur du journal.
1970. Goscinny et Uderzo réalisent Astérix et Cléopâtre avec la collaboration de Pierre Tchernia.

1971. Morris et Goscinny réalisent Daisy Town, premier long métrage d’animation mettant en scène Lucky Luke ; adaptation de l’album Le Juge, avec Robert Hossein et Pierre Perret.
1972. Goscinny est nommé DG de Pilote et vice-président de Dargaud ; sortie du film Le Viager de Tchernia et Goscinny.
1973. L’imprimerie Beresniak imprime en russe la première édition originale de L’Archipel du Goulag d’Alexandre Soljenitsyne.
1974. Fondation du Studio Idéfix avec Uderzo et Dargaud ; réalisation de deux dessins animés, Les Douze Travaux d’Astérix (sortie en 1976) et La Ballade des Dalton (sortie en 1978) ; lancement du mensuel Lucky Luke dont Goscinny et Morris sont respectivement directeur de la publication et directeur artistique ; Goscinny quitte Pilote.
1975. Fermeture de l’imprimerie Beresniak.
1976. L’album Obélix et compagnie atteint les 1,3 million d’exemplaires.
1977. Dernier album de Lucky Luke : Le Fil qui chante ; Goscinny achève le scénario d’Astérix chez les Belges mais en conflit avec son éditeur, il demande à Uderzo de cesser la réalisation du dessin ; le 5 novembre, il est victime d’une crise cardiaque, lors d’un test de routine chez son cardiologue ; il meurt à 51 ans et est enterré au carré juif du cimetière du Château, à Nice.
1978. Goscinny reçoit un césar posthume pour l’ensemble de son œuvre cinématographique
1979. Parution de l’album Astérix chez les Belges, dernier Astérix dont le scénario est signé Goscinny, et dernier publié chez Dargaud ; création des éditions Albert René.
1988. Création du prix René Goscinny, décerné jusqu’en 2008 puis de nouveau à partir de 2017.

Présentation de l’exposition Goscinny. Au-delà du rire, au Mahj

En commémoration des 40 ans de la disparition de Goscinny, le MahJ présente, avec l’Institut René Goscinny, la première rétrospective consacrée au co-créateur d’Astérix et du Petit Nicolas. Avec plus de 200 œuvres, dont des planches et scénarios originaux, et de nombreux documents inédits issus des archives Goscinny.

René Goscinny à sa table de dessin © Anne Goscinny. Courtesy de l’Institut René Goscinny

Elle retrace le parcours de ce fils d’émigrés juifs originaires de Pologne et d’Ukraine, né à Paris en 1926, et dont l’objectif était de "faire rire les autres".

Parodies, calembours et traits d’union métaphysiques forment le versant le plus fameux du style de Goscinny pour lequel l’histoire, le français et l’enfance furent des sources d’inspiration et des moteurs de création constants.

Au-delà du rire, l’exposition montre que la culture "goscinnyenne", héritière du judaïsme d’Europe orientale, s’enrichit au croisement d’exils argentin et nord-américain, sans jamais cesser de se nourrir au classicisme de la tradition française.

Goscinny est un phénomène ! Personnalité géniale, amplitude exceptionnelle de l’œuvre, succès considérable (plus de 500 millions de livres et d’albums vendus dans le monde, dont 200 pour Lucky Luke (Goscinny-Morris), 320 pour Astérix (Goscinny-Uderzo) et 15 pour Le Petit Nicolas (Goscinny-Sempé).

C’est également à lui que l’on doit la reconnaissance du métier de scénariste de bande dessinée qui n’existait quasiment pas avant lui. Goscinny a utilisé des pseudonymes dont René Maldecq, René Macaire, Agostini ou Liliane d’Orsay.

Ses œuvres ont été traduites en 150 langues (Astérix en 120, Iznogoud (Goscinny-Tabary) et Lucky Luke en une quarantaine. Le Petit Nicolas a intégré les programmes scolaires.

Les adaptations cinématographiques de Lucky Luke, Iznogoud ou du Petit Nicolas appartiennent à la culture populaire contemporaine. Mission Cléopâtre, réalisé par Alain Chabat en 2002, a attiré plus de 14,5 millions de spectateurs en France.

Goscinny, phénomène culturel mondial, est un auteur-clé de la littérature et de l’avènement du 9e art.

Pilote N°325, 13 janvier 1966. Couverture par Gotlib. Gotlib © Dargaud 2017

Ses collaborations avec Uderzo, Morris, Sempé et Tabary au dessin ont eu une importance considérable dans la carrière de Goscinny. Avec son complice Uderzo, de 1951 à 1958, Goscinny explore les champs de la narration de manière éclectique avant d’aboutir à Oumpah-Pah (1958) et surtout à Astérix (24 albums réalisés entre 1959 et 1977) qui parodie quelques tranches de l’histoire de France.

En 1955, Morris demande à Goscinny des scénarios pour sa BD Lucky Luke, créée en 1946. L’association de ces deux auteurs marqués par la culture nord-américaine, tant du point de vue du traitement de l’histoire que de la parodie des films de western, se révèle fructueuse. C’est avec Goscinny que le "poor lonesome cow-boy" devient "l’homme qui tire plus vite que son ombre".

De 1955 à 1977, la publication de 41 histoires complètes leur vaudra un succès international.

Jean-Jacques Sempé « Je fréquente Agnan  ». Dessin pour Les récrés du Petit Nicolas, Encre sur papier, dimensions © IMAV éditions / Goscinny – Sempé

En 1959, Goscinny et Sempé, partageant leurs souvenirs personnels, retravaillent pour créer les histoires du Petit Nicolas. Entre 1959 et 1964, 14 volumes d’histoires totaliseront 15 millions d’exemplaires vendus et traduits en de nombreuses langues étrangères et régionales.

L’ignoble Iznogoud, grand-vizir du calife Haroun El-Poussah, apparait en 1962, des imaginations conjuguées de Goscinny et de Jean Tabary. Cet anti-héros, vil personnage, rêve de "devenir calife à la place du calife", connaît un succès populaire en pays francophones avec 14 albums.

Portés à l’écran en films d’animation ou en longs métrages, bénéficiant de multiples traductions, ces piliers de l’œuvre goscinnyenne ont été créés dans une étroite symbiose nourrie d’un fructueux échange d’idées, comme d’un humour finement élaboré et propre à chacun des duos formés par Goscinny et le dessinateur de la série.

En 1959, Clauteaux, Joly, Hébrard, Goscinny, Charlier et Uderzo créent Pilote, un hebdomadaire pour les jeunes associant BD et sujets d’actualité. Son lancement est un véritable succès. La bande dessinée y occupe une place importante, mais moindre que celle du rédactionnel. Certaines BD, dont Astérix, Barbe-Rouge, Tanguy et Laverdure marqueront le 9e art.

Dès 1963, Goscinny et Charlier, rédacteurs en chefs, donnent priorité à la BD et intègrent une nouvelle génération d’auteurs : Giraud, Greg, Cabu, Gotlib, Fred, Mandryka, Bretécher, Gébé, Reiser, Géri, Christin et Mézières, et bien d’autres talents.

À la fin des années 1960, Giraud, Mandryka, Brétécher, Gotlib, Alexis, Druillet s’éloignent de Pilote pour publier dans des titres contestataires et satiriques dont L’Écho des savanes, Métal hurlant, Fluide glacial et Charlie-Hebdo, successeurs de Hara-Kiri, interdit en 1966. Goscinny quitte Pilote en 1974.

Génie comique, écrivain exigeant, créateur frénétique, René Goscinny a dissous la ligne qui séparait la culture savante de la culture populaire, l’humour des élites de celui des classes laborieuses.

Comment travaillait-il ? Qu’est-ce qui rendait son univers si original ? La plongée au cœur de la mécanique de l’écrivain, la prise en compte de sa
connaissance de l’imprimerie et du geste du typographe (le zetser en yiddish), nous permettent de discerner les ressorts de son inspiration, comme de ses thèmes de prédilection (l’histoire, le sens de l’absurde et l’humour noir, l’attachement au monde de l’enfance et à la langue française) qui trament son œuvre, et sa fine observation de la nature humaine.

Derrière l’auteur comique se révèlent à nous l’âme du moraliste et l’esprit du philosophe.

Commissariat Anne Hélène Hoog, conservatrice au mahJ, avec Virginie Michel ; Conseillers scientifiques Aymar du Chatenet, Institut René Goscinny, Didier Pasamonik, éditeur et journaliste, historien de la bande dessinée.

Avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, et en partenariat avec l’Institut René Goscinny.

René Goscinny (1926-1977). Au-delà du rire, du 27 septembre 2017 au 4 mars 2018, musée d’Art et d’histoire du Judaïsme, Hôtel de Saint-Aignan, 71, rue du Temple, 75003 Paris, 01 53 01 86 65, www.mahj.org, info@mahj.org. Métro Rambuteau, ou Hôtel-de-Ville, RER Châtelet – Les Halles. Bus 29, 38, 47, 75. Velib’ 76, rue du Temple. Ouvert les mardi, jeudi, vendredi de 11 à 18h, le mercredi de 11 à 21h. Samedi et dimanche de 10 à 19h. 8 ou 5€.
Sur présentation du billet d’entrée de l’exposition, 50 % de réduction et gratuité pour les moins de 18 ans sur l’exposition « Goscinny et le cinéma, Astérix, Lucky Luke & Cie  » à La Cinémathèque française. Billet jumelé parcours permanent et exposition 10 ou 7€. Conférence et tables rondes 6 ou 4€. Parcours ateliers enfants et familles 9 ou 7€. Visites guidées 12 ou 9€.

Présentation de l’exposition Goscinny et le cinéma : Astérix, Lucky Luke & Cie, à la Cinémathèque

Pour le 40e anniversaire de la disparition de René Goscinny, La Cinémathèque française (Paris) et La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image (Angoulême), en partenariat avec l’Institut René Goscinny, lui rendent hommage par cette grande exposition consacrée aux influences du cinéma sur son travail, ainsi qu’à sa propre œuvre cinématographique.

Cette exposition explorera les rapports constants et ô combien féconds entre un scénariste de génie et l’objet de sa rêverie préférée : le cinéma, pour lequel il était souvent associé à son ami Pierre Tchernia.

https://youtu.be/KFBdkF4q-_E

Goscinny laisse au cinéma et à la postérité quelques formidables pépites, d’Astérix et Cléopâtre (mis en scène avec son Albert Uderzo, en 1968) au délicieux et cruel Viager (1972), sans oublier Daisy Town (1971), ou La Ballade des Dalton (1978).

L’exposition montrera comment le cinéma et ses genres les plus populaires (burlesque, péplum, western) ont été parodiés et magnifiés par ce créateur dont l’originalité se nourrissait de son immense culture cinématographique.

Avant de se lancer dans l’aventure du cinéma en tant que telle, avec la création des studios Idéfix en 1974, Goscinny a été gagman pour Bourvil, scénariste de dramatiques télévisuelles avec Jean Rochefort, et finalement scénariste à part entière, avec son ami Pierre Tchernia, des films devenus cultes : Le Viager et Les Gaspards.

Avec Les 12 travaux d’Astérix, puis La Ballade des Dalton, les studios Idéfix ont pleinement participé à la naissance d’une école d’animation française... et la mort brutale de Goscinny viendra interrompre cet élan.

https://youtu.be/0yAIHPJXP-g

Bien entendu, une large rétrospective du cinéma de René Goscinny lui sera dédiée en 2017.

40 ans après la mort de leur démiurge, les personnages de Goscinny continuent de nourrir la culture populaire internationale.

Astérix et Obélix, Lucky Luke ou Le Petit Nicolas sont devenus des personnages de cinéma à part entière. Et Goscinny mérite plus que jamais le surnom affectueux que lui avait donné son ami Gotlib : « Walt Goscinny ».

Les sections successives de l’exposition seront :
 L’enfant qui rêvait d’être Walt Disney ;
 Le Petit Nicolas va au ciné ;
 Astérix, une star est née ;
 Lucky Luke et la parodie ;
 Les Studios Idéfix ;
 L’humour à la télé ;
 Goscinny for ever !

Jean-Pierre Mercier, commissaire général d’exposition, Frédéric Bonnaud et Aymar du Chatenet, commissaires associés.

Goscinny et le cinéma : Astérix, Lucky Luke & Cie, du 4 octobre 2017
au 7 mars 2018, à la Cinémathèque, 51 rue de Bercy 75012 Paris, www.cinematheque.fr. Lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 12 à 19h. Week-end, jours fériés et vacances scolaires de 10 à 20h. Nocturne le jeudi jusqu’à 22h. 11 ou 8,50€, - 18 ans 5,50€.


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Vous retrouvez comme chaque année dans PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z les différentes expositions annoncées par leurs établissements et musées.

Frederic Leighton (1830–1896) Crenaia, the nymph of the dargle, ca. 1880 Huile sur toile 76.2x26.7 cm Colección Pérez Simón, Mexico © Arturo Piera, Musée Jacquemart-André 09/13-01/14

Dans Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris ces mêmes expositions sont classées par dates.

Dans la série Toutes les expositions 2017-2018 dans les plus grands musées de Paris... lire également :
Au musée du Louvre, au Centre Pompidou, au Grand Palais, au musées d’Orsay et de l’Orangerie, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, au Jeu de Paume, au Palais de Tokyo, à la Bibliothèque nationale de France, au musée du Quai Branly, au musée des Arts décoratifs, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, au musée Guimet, au musée Galliera, au Petit Palais, et au Château de Versailles.

Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.

Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et... nos préférences, car on ne se refait pas : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.

Vous pouvez consulter plus d’une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.

Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2017 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2016, 2015, 2014, 2013, 2012.

Nous vous proposons aussi une sélection de musées et d’expositions 2017 dans les villes françaises suivantes, que nous nous efforçons de tenir assez régulièrement à jour :
 Aix-en-Provence - Albi - Les Alpilles - Angers - Angoulême - Antibes - Arles - Aubagne - Avignon - Bègles - Biarritz - Biot - Blois - Bordeaux - Bourg-en-Bresse - Brest - Cagnes-sur-Mer - Cannes - Carcassonne - Dijon - Grasse- Grenoble - Hyères - Ile-de-France : Auvers/Oise, Boulogne-Billancourt, Bussy-Saint-Martin, Chamarande, Chantilly, Châtenay-Malabry, Compiègne, Écouen, Fontainebleau, Giverny, L’Isle-Adam, Jouy-en-Josas, Malmaison, Marne-la-Vallée, Meudon, Milly-la-Forêt, Noisiel, Pantin, Pierrefitte/Seine, Poissy, Pontoise, Royaumont, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, Saint-Denis, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Ouen-l’Aumône, Sceaux, Sèvres, Versailles, Vitry/Seine, Yerres - L’Isle-sur-la-Sorgue - Landerneau - Le Cannet - Le Havre - Lens - Le Rayol - Le Canadel/Mer - Les Sables-d’Olonne - Les-Saintes-Maries-de-la-Mer - Libourne - Lille : Villeneuve d’Ascq, Roubaix, Tourcoing, Croix, Graveline, Cassel, Valenciennes - L’Isle-sur-la-Sorgue - Lodève - Lyon - Marseille - Martigues - Metz - Monaco - Montauban - Montpellier - Mougins - Nantes - Narbonne - Nice - Nîmes - Nogent/Seine -Ornans - Rennes - Rodez - Rouen - Saint-Étienne - Saint-Nazaire - Saint-Paul-de-Vence - Saint-Tropez - Sérignan - Sète - Strasbourg - Toulon - Toulouse - Tours - Valence - Vallauris - Vence - Vendôme - Villeurbanne

Et juste des musées et expositions temporaires pour quelques villes étrangères : Amsterdam : Harlem, Rotterdam, La-Haye, Bois-le-Duc, - Bâle - Berlin - Bruxelles - Genève - Liège - Londres - Madrid - Milan - Monaco - Venise

André Balbo

sources : Mahj, Wikipédia