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CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris
vendredi 13 octobre 2017, par ,
Les programmes sont maintenant livrés par les musées, même si certaines dates, ou certains sujets restent à préciser.
Merci de votre indulgence... et de vos enrichissements, que nous espérons nombreux, quand vous avez cette sensation, enivrante, j’en conviens, d’avoir une information que nous n’aurions nous-mêmes pas encore...
Profitez au mieux de ces informations. En 2016, notre Calendrier des grandes expositions de Paris, qui fait chaque année de plus en plus référence, a reçu 353 380 visites...
Accès rapide : Expositions commencées en 2016 - Expositions commençant en 2017 : Janvier - Février - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Août - Septembre - Octobre - Novembre - Décembre
À la suite des expositions de Paris commencées en 2016 et se prolongeant en 2017, voici les nouveautés de 2017 ! Si leur totalité n’est pas encore annoncée, informations, confirmations, et précisions viendront en leur temps, et nécessiteront d’inévitables mises à jour... Voilà sculpté jour après jour le programme 2017 des expositions de Paris. Si vous disposez d’informations complémentaires que nous n’aurions pas, n’hésitez pas bien sûr à nous les transmettre.
Vous avez, dans cet article, les expositions 2017 annoncées, classées date à date, en calendrier, comme nous l’avions fait en 2016, 2015, 2014, 2013, ou 2012.... Pour les expos 2018, rendez-vous ici !
Van Gogh, La Vigne rouge (1888), musée Pouchkine
Nous vous indiquons également chaque semaine les nouveautés, les expositions qui ferment bientôt leurs portes, et.... nos préférences : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.
Lire aussi le 1er DIMANCHE DU MOIS, pour profiter au mieux de cette journée mensuelle de gratuité, et d’accès libre aux collections permanentes.
Sur le plan des événements culturels, Paris est vraiment une ville-monde formidable !
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Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer.
Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, pour 2017, la sélection des meilleurs catalogues d’expositions de Paris, comme nous l’avions fait pour 2016, (2015, 2014, 2013, et 2012).
Voir aussi : www.laffairedescatalogues.org.
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**Expositions commencées en 2016 et se prolongeant en 2017**
– Du 8 novembre 2016 au 8 janvier 2017. Philippe Gronon. Révéler, au musée Picasso, Niveau -1.
– Du 2 juillet 2016 au 8 janvier 2017. Le Grand Orchestre des Animaux, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain.
Bernie Krause, bio-acousticien, scientifique et musicien amè ricain, a collecté en 50 ans plus de 5 000 heures d’enregistrement sonore d’habitats naturels sauvages, terrestres et marins (15 000 espèces animales !). Une plongè e exceptionnelle au cœur du monde secret des animaux.
– Du 18 octobre 2016 au 8 janvier 2017. Vivre ! La collection agnès b., au Musée national de l’histoire de l’immigration.
Quand des œuvres (photographies, installations, peintures, vidéos) de Claude Lévêque, Henri Cartier-Bresson ou John Giorno en côtoient de Mona Hatoum, Kader Attia et Chéri Samba, offrant un regard sensible sur les histoires de celles et ceux venus d’ailleurs.
– Du 8 septembre 2016 au 8 janvier 2017. Roger Tallon, le design en mouvement, au musée des Arts décoratifs.
– Du 21 octobre 2016 au 8 janvier 2017. Maurizio Cattelan. Not afraid of Love, à la Monnaie de Paris.
Un choix d’œuvres, de celles qui demeurent accrochées à la rétine... quand Cattelan réinvente le portrait. Irrévérencieux, génial, facétieux, drôle, grave, provocateur, cynique, potache, Maurizio Cattelan n’est jamais là où on l’attend.
– Du 14 décembre 2016 au 9 janvier 2017. Sites éternels. De Bâmiyân à Palmyre, Voyage au cœur des sites du patrimoine universel, au Grand Palais, Galerie Sud-Est.
Arche de Palmyre, reconstruction 3D, image 3D, © Iconem/DGAM
Présentation par la Rmn-Grand Palais et le Louvre, sous le haut patronage de l’Unesco, d’une exposition gratuite pour (re)découvrir les splendeurs de grands sites archéologiques aujourd’hui inaccessibles : Bâmyiân, Khorsabad, Palmyre, la Mosquée des Omeyyades de Damas et le Krak des Chevaliers, sites du patrimoine universel sous la menace de conflits.
– Du 6 octobre 2016 au 14 janvier 2017. Coluche, à l’Hôtel de Ville.
– Du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017. Oscar Wilde, l’impertinent absolu, au musée du Petit Palais.
Une mise en scène d’Oscar Wilde (1854-1900) dans sa vie et dans son œuvre, grand écrivain d’expression anglaise, parfait francophone, qui écrivit dans notre langue sa pièce de théâtre Salomé dont il destinait le rôle titre à Sarah Bernhardt.
– Du 14 septembre 2016 au 15 janvier 2017. Ben, au musée Maillol.
Pour la réouverture du musée, resté fermé 18 mois, une exposition, venue en bonne partie du musée Tinguely de Bâle, du Suisse Ben Vautier, des bananes aux écritures, Fluxus, le rapport de l’artiste à l’art, à l’Histoire de l’art, à ses interrogations.
Si Dieu est partout…, 1962 © Ben Vautier
Une partie, plus contemporaine, égrainera des moments inspirés de thèmes comme "petites idées", "nouvelles écritures", "photographie", "le temps", et même "la mort".
– Du 19 octobre 2016 au 15 janvier 2017. L’Art de la Paix. Trésors et secrets de la diplomatie, au musée du Petit Palais. Du 19 octobre 2016 au 15 janvier 2017.
1 000 ans d’histoire de la paix : traités emblématiques, et un choix d’œuvres d’art exceptionnel, destinées à préparer les esprits et apaiser les rancœurs.
The Route. 2006. Chieh-Jen Chen. 35mm film transféré sur DVD, couleur & noir et blanc, muet, 16’ 45’’ © Chieh-Jen Chen, courtesy galerie Lily Robert
– Du 18 octobre 2016 au 15 janvier 2017. Georges Didi-Huberman. Soulèvements, au musée du Jeu de Paume.
Ce sont des gestes qui disent non face à un état de l’histoire considéré comme trop « pesant  » et qu’il faut donc « soulever  », si ce n’est envoyer balader... Ce sont aussi des gestes qui disent oui à quelque chose d’autre : à un monde désiré meilleur, un monde imaginé ou esquissé, un monde autrement vivable ou pensable.
– Du 4 octobre 2016 au 15 janvier 2017. The Color Line. Les artistes africains-américains et la ségrégation aux États-Unis, au musée du Quai Branly, Galerie Jardin.
The Color Line désigne la ségrégation des Noirs après la fin de la guerre de Sécession en 1865. L’exposition aborde cette histoire avec l’angle de la création artistique sous toutes ses formes, par les artistes afro-américains, victimes de cette « ligne de couleur  » discriminatoire, et presque toujours marginaux en leur temps. Un parcours chrono-thématique par 200 œuvres (peinture, sculpture, photographie, film, musique, graphisme et bande-dessinée).
– Du 13 octobre 2016 au 15 janvier 2017. Les Services Buffon au musée Nissim de Camondo, au musée des Arts décoratifs.
– Du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017. Hergé, au Grand Palais.
Le pape de la bande dessinée belge... et peut-être européenne, entre en fanfare au Grand Palais avec toute la tribu de ses personnages : Tintin, le Capitaine Haddock, les Dupondt, le professeur Tournesol, la Castafiore, Milou, et tous les autres...
– Du 27 septembre 2016 au 16 janvier 2017. Spectaculaire Second Empire, au musée d’Orsay, Espace Exposition, Niveau 0.
– Du 17 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Collection Tessin, un Suédois à Paris au XVIIIe siècle, au musée du Louvre, Rotonde Sully.
– Du 17 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Le geste Baroque. Dessins, esquisses et bozzetti sculptés des collections des musées de Salzbourg, au musée du Louvre, Mollien.
– Du 19 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Jades, des empereurs à l’art déco, au musée Guimet.
– Du 21 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Paris 1740. Le comte Carl Gustaf Tessin, connaisseur et savant, musée du Louvre, Hall Napoléon, Haut.
– Du 19 octobre 2016 au 16 janvier 2017. Art et liberté : rupture, guerre et surréalisme en Égypte (1938-1948), au Centre Pompidou. Galerie du musée, Niveau 4.
– Du 18 octobre 2016 au 22 janvier 2017. L’Enfer selon Rodin, au musée Rodin.
Plus de 150 œuvres, dont 50 dessins rarement présentés au public, et de nombreuses sculptures restaurées pour l’exposition... pour revivre la création de La Porte de l’Enfer, un chef-d’œuvre dont l’influence allait être considérable dans l’évolution de la sculpture et des arts.
– Du 14 octobre 2016 au 22 janvier 2017. Ludwig van / Le mythe Beethoven, à la Philharmonie de Paris .
– Du 15 septembre 2016 au 22 janvier 2017. Hodler / Monet / Munch : peindre l’impossible, au musée Marmottan Monet.
– Du 22 octobre 2016 au 22 janvier 2017. Hervé di Rosa et les arts modestes, à la Maison rouge.
– Du 23 septembre 2016 au 22 janvier 2017. Biskra, reine du désert, à l’Institut du Monde arabe.
– Du 21 septembre 2016 au 23 janvier 2017. Magritte. La trahison des images, au Centre Pompidou. Galerie 2, Niveau 6.
Renè Magritte : Le double secret, 1927 © Centre Pompidou, mnam-cci / Dist. RMN-GP, Photo : G. Meguerditchian © Adagp, Paris 2015
Autour d’une centaine de tableaux, emblématiques ou peu connus, de dessins, et de documents d’archives, la proposition d’une lecture renouvelée de son œuvre. Dans la ligne des monographies consacrées par le Centre aux figures majeures de l’art du XXe siècle, après Munch, Matisse et Duchamp.
– Du 16 septembre 2016 au 23 janvier 2017. Rembrandt intime, au musée Jacquemart-André.
– Du 5 octobre 2016 au 23 janvier 2017. Mexique 1900-1950 : Diego Rivera, Frida Kahlo, José Clemente Orozco et les avants-gardes, aux Galeries nationales du Grand Palais .
Un vaste panorama de la modernité mexicaine, depuis les prémices de la Révolution jusqu’au milieu du XXe siècle, complété par des interventions d’artistes contemporains.
Diego Rivera, Adolfo Best Maugard, 1913, huile sur toile, Mexico, MUNAL, INBA © 2016 Banco de México Diego Rivera Frida Kahlo Museums Trust, Mexico, D.F. / ADAGP, Paris
– Du 19 octobre 2016 au 26 janvier 2017. L’esprit du Bauhaus. L’objet en question, au musée des Arts décoratifs.
– Du 20 septembre 2016 au 29 janvier 2017. L’œil de Baudelaire, au musée de la Vie romantique.
– Du 5 octobre 2016 au 29 janvier 2017. De Méliès à la 3D : la Machine Cinéma, à la Cinémathèque française.
Une exposition inédite sur l’histoire de la technique et sur les métamorphoses successives de l’image animée, de la fin du XIXe siècle jusqu’à l’ère numérique.
Roman Polanski, parrain de l’exposition De Méliès à la 3D : la Machine Cinéma sur le tournage de Tess (1979)
Projecteurs, caméras, matériels de studio et de laboratoire, archives, films rares... seront dévoilés dans un parcours à la fois esthétique, technologique et historique, ponctué de projections, de sons et de machines en fonctionnement ou en simulation.
– Du 25 octobre 2016 au 29 janvier 2017. Albert Besnard, 1849-1934. Modernités Belle Époque, au musée du Petit Palais.
Premier peintre qui eut l’honneur de funérailles nationales, Albert Besnard, symboliste tardif, chantre des courbes de la femme 1900, portraitiste et grand décorateur mural, un parcours qui ne demande qu’à être reconsidéré.
Peinture d’Albert Besnard, figurant la première représentation du drame Hernani, de Victor Hugo, le 25 février 1830 à la Comédie-Française. Huile sur toile, 1903 (Maison de Victor Hugo, Paris). Ph. Jeanbor © Archives Larbor
– Du 8 novembre 2016 au 29 janvier 2017. Figures de Pascal, à la BnF, site Mitterrand.
La BnF sort de ses réserves les trésors et livres rares qu’elle détient sur cet auteur toujours si présent dans notre culture.
– Du 28 septembre 2016 au 29 janvier 2017. Arnold Schönberg. Peindre l’âme, au musée d’Art et d’histoire du judaïsme.
– Du 12 octobre 2016 au 29 janvier 2017. Guerres secrètes, au musée de l’Armée.
Une exposition sur les guerres secrètes à travers leurs enjeux, leurs mécanismes, leurs moyens ainsi que les hommes et les femmes qui en sont les acteurs. En confrontant réalité et fiction, elle découvre les grandes heures de l’espionnage et du contre-espionnage, les actions clandestines et subversives, les opérations d’intoxication et de propagande, en temps de guerre comme de paix.
– Du 27 octobre 2016 au 29 janvier 2017. Bourdelle, sculpteur et photographe. De bruit et de fureur, au musée Bourdelle.
– Du 22 novembre 2016 au 29 janvier 2017. Plumes, vision de l’Amérique, au musée du Quai Branly. Galerie Jardin.
De la symbolique de la plume dans l’Amérique précolombienne, et de la réutilisation aux premiers temps de l’évangélisation du Mexique par les religieux de l’art des plumassiers pour promouvoir la nouvelle religion. D’autres œuvres seront montrées d’art baroque andin ou même de création contemporaine.
– Du 9 novembre 2016 au 29 janvier 2017. Andres Serrano, au musée du Jeu de Paume.
Un panorama très humain de ses portraits, contemporains mais évoquant aussi la peinture des maîtres du passé, Titien, Delacroix, Tintoret, Vélasquez ou Courbet.
– Du 12 octobre 2016 au 30 janvier 2017. La Peinture américaine des années 1930, au musée de l’Orangerie. .
Grant Wood, American Gothic, 1930 Photography © Art Institut of Chicago
– Du 9 novembre 2016 au 30 janvier 2017. Brassaï Graffiti, au Centre Pompidou. Galerie de photographies, Forum -1.
Brassaï (1899–1984) est l’un des premiers, dans l’histoire de la photographie moderne, a concentré son regard sur des dessins, signes et gribouillages des murs de la ville. Il établit un protocole, et, au fil des années, constitue un imagier des traces laissées sur les murs. Une centaine de tirages d’époque et de documents.
– Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017. Picasso-Giacometti, au musée Picasso.
L’exposition soulignera les relations formelles, amicales et iconographiques qui se tissèrent entre ces deux artistes majeurs du XXe siècle. Une forme de dialogue est envisagé à partir des collections du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti. Elle confrontera les approches respectives de Picasso et de Giacometti dans plusieurs des domaines de leur création : peinture, sculpture, art graphique, appuyées de plus des fonds d’archives privées des deux artistes.
– Du 2 octobre 2016 au 5 février 2017. Des(t/s)ins de guerre, au musée Zadkine.
– Du 10 juin 2016 au 6 février 2017. La collection Thea Westreich Wagner et Ethan Wagner), au Centre Pompidou. Musée, Niveau 4.
– Du 14 septembre 2016 au 12 février 2017. Henri Fantin-Latour. Le cercle intime, au musée du Luxembourg.
– Du 18 octobre 2016 au 12 février 2017. Carl Andre. Sculpture as place, 1958-2010 au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
– Du 27 octobre 2016 au 12 février 2017. Jean Nouvel, mes meubles d’architecte, au musée des Arts décoratifs.
– Du 3 novembre 2016 au 12 février 2017. Anatomie d’une collection, au musée Galliera. Du 14 mai au 23 octobre 2016, puis du 3 novembre 2016 au 12 février 2017.
– Du 19 octobre 2016 au 13 février 2017. Ascètes, sultans et maharadjahs, pages indiennes du musée Guimet, au musée Guimet.
– Du 26 octobre 2016 au 13 février 2017. Les Temps mérovingiens. Trois siècles d’art et de culture en Gaule franque, au musée de Cluny.
Un large panorama de l’activitè intellectuelle et artistique d’une sè quence complexe de trois siècles, qui court de la bataille des Champs catalauniques (451) aux derniers "rois fainè ants" (751).
– Du 19 octobre 2016 au 13 février 2017. Tous à la plage ! Naissance et è volution des stations balnè aires, à la Cité de l’Architecture.
– Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017. Carte blanche à Jiang Dahai, au musée Guimet.
– Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017. Jean-Luc Moulène, au Centre Pompidou, Galerie Sud, Niveau 1.
Jean-Luc Moulène : Trichrome 2, Marseille, 2015 Courtesy de l’artiste et Galerie Chantal Crousel, Paris © Jean-Luc Moulène / © ADAGP, Paris 2015 Photo : Florian Kleinefenn
– Du 18 octobre 2016 au 26 février 2017. Vieux monde, New Look, la France d’Avedon, à la BnF, site Mitterrand.
Richard Avedon (1923, New York - 2004, San Antonio, Texas) est un photographe de mode et un portraitiste américain dont les clichés ont conquis une célébrité et une reconnaissance internationales.
Du reportage photo (Vietnam) à la mode ou aux portraits noir et blanc de stars comme Marilyn Monroe, Brigitte Bardot ou Sophia Loren, il est reconnu comme un véritable artiste dont le succès est toujours d’actualité.
– Du 7 octobre 2016 au 26 février 2017. Walasse Ting (1929-2010). Le voleur de fleurs, au musée Cernuschi.
– Du 30 septembre 2016 au 26 février 2017. Eva & Adele, you are my biggest inspiration, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
– D’octobre 2016 à février 2017. Georges-Henri Pingusson, à la Cité de l’Architecture.
– D’octobre 2016 à février 2017. Autour du testament spirituel de Delacroix, création et restauration des peintures de Saint Sulpice, au musée Delacroix.
– Du 21 octobre 2016 au 5 mars 2017 (prolongation). Icônes de l’art moderne. La collection Chtchoukine, à la Fondation Louis-Vuitton .
Gauguin, Eh quoi, tu es jaloux ? (No te aha ’oe fe’i’i ?), 1892. Musée Pouchkine.
Une exposition d’envergure internationale avec les chefs-d’œuvre de ce grand collectionneur russe (1854, Moscou-1936, Paris) des impressionnistes et postimpressionnistes (Monet, Cézanne, van Gogh, Gauguin, Picasso Matisse, qui décora son hôtel particulier). Grâce aux prêts exceptionnels des musées de l’Ermitage et Pouchkine.
– Du 14 octobre 2016 au 5 mars 2017 (prolongation). Bernard Buffet. Rétrospective, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Les oiseaux, le rapace, 1959 Huile sur toile, 240 x 335 cm S.D.B.DR. : Bernard Buffet 59 Donation de Maurice Garnier et Ida en 2012 © ADAGP, Paris © Eric Emo / Parisienne de Photographie.
Avec une centaine de peintures de Bernard Buffet (1928-1999), ce célèbre peintre français si controversé, cette exposition mettra en perspective ses grands thèmes : clowns, cycles religieux, mythologiques, littéraires ou allégoriques.
L’accent est mis sur ses grandes séries peu connues (Horreur de la Guerre, Les Oiseaux, Les Folles) et sur l’histoire de la peinture (Le Sommeil d’après Courbet, La Leçon d’anatomie d’après Rembrandt), jusqu’à la très spectaculaire série se référant aux Memento mori médiévaux.
– Du 14 novembre 2016 au 5 mars 2017. Aventuriers des mers. De Sindbad à Marco Polo, à l’Institut du Monde arabe.
De Sindbad le marin à Marco Polo, puis d’Ibn Battûta et Vasco de Gama jusqu’aux Compagnies des Indes orientales, d’extraordinaires récits de voyages ont conté la richesse des échanges maritimes entre les mers de l’Ancien Monde. Cette exposition conduit le visiteur au croisement de l’or d’Afrique et de l’argent d’Occident, des diamants de Golconde et des verreries de Venise, des porcelaines, des soieries et des épices venues de Chine et des Moluques.
– Du 15 novembre 2016 au 5 mars 2017. Frédéric Bazille, 1841-1870. La jeunesse de l’impressionnisme, au musée d’Orsay, espace Exposition Niveau 5.
Frédéric Bazille, La Robe rose, 1864. Huile sur toile, Paris, musée d’Orsay © Rmn-Grand Palais / msée d’Orsay / Hervé Lewandowski
– Du 14 juin 2016 au 5 mars 2017. Mutations urbaines, à la Cité des sciences. Aujourd’hui, bien plus que la moitié de la population mondiale vit dans les villes, et cette proportion ne cesse d’augmenter. Comment gérer le vieillissement des populations, la généralisation de l’utilisation des données numériques, les changements climatiques ? Les villes aujourd’hui doivent se transformer pour répondre à ces problématiques...
– Du 25 novembre 2016 au 12 mars 2017. Le Premier Génocide du XXe siècle. Herero et Nama dans le Sud Ouest africain allemand, 1904-1908, au Mémorial de la Shoah .
– Du 8 décembre 2016 au 12 mars 2017. Ernest et Célestine, aux Arts décoratifs.
– Du 29 novembre 2016 au 26 mars 2017. Fêtes et divertissements à la Cour, au Château de Versailles.
3 règnes d’ingéniosité, de surprise et de magnificence : Louis XIV, Louis XV, Louis XVI.
– Du 14 septembre 2016 au 27 mars 2017. Kollektsia ! Art contemporain en URSS et en Russie (1950-2000), au Centre Pompidou, musée, Niveau 4.
Plus de 250 œuvres soviétiques et russes contemporaines de 1950 à 2000 réunies par le Centre grâce au soutien exceptionnel et à la générosité de la Vladimir Potanin Foundation.
– Du 22 novembre 2016 au 2 avril 2017. Éclectique. Une collection du XXIe siècle, au musée du Quai Branly, Mezzanine est.
Une réflexion sur l’histoire du collectionnisme, mais aussi sur la place des arts dits « primitifs  » dans l’histoire des arts, à travers 61 chefs-d’œuvre (art africain et océanien, grandes œuvres classiques, modernes, contemporaines, historiques ou rares... de la collection de Marc Ladreit de Lacharrière.
Jour d’hiver, 1905, P. Bonnard
– D’octobre 2016 au 2 avril 2017. Bonnard et Vuillard, la donation Marcie-Rivière, au musée d’Orsay.
Une donation exceptionnelle d’œuvres des peintres nabis.
– Du 22 novembre 2016 au 2 avril 2017. Du Jourdain au Congo. Art et christianisme en Afrique centrale, au musée du Quai Branly, Mezzanine Est.
Présentation d’un ensemble exceptionnel de 100 œuvres kongo d’inspiration chrétienne (crucifix, sculptures, pendentifs gravures et dessins du XVe au XXe siècle, et issues des collections du Musée royale de l’Afrique centrale de Tervuren et de collections privées.
– Du 7 décembre 2016 au 10 avril 2017. Gaston : au-delà de Lagaffe, à la Bibliothèque publique d’information / Centre Pompidou, Espace presse, Niveau 2.
Gaston Lagaffe fêtera ses 60 ans le 8 février 2017, date de sa première parution dans le journal de Spirou. "Héros sans emploi" créé par Franquin pour animer le journal, il devient très vite l’un des personnages majeurs de l’épopée Spirou et, sur plus de 900 planches, un grand classique de la BD.
– Du 9 septembre 2016 au 17 avril 2017 (prolongation). Joann Sfar - Salvador DalÃ, une seconde avant l’éveil, à l’Espace DalÃ.
En 1939, Dalà publie une « Déclaration d’indépendance de l’imagination
des droits de l’homme à sa propre folie  », en réponse aux censeurs. Il emploie dès lors cette liberté d’expression en favorisant les associations d’idées et d’images spontanées qui donnent à ses œuvres une incomparable puissance imaginative.
Joann Sfar, talentueux conteur, auteur de la bande dessinée Le Chat du Rabbin et du film Gainsbourg. Vie Héroïque, imagine le scénario d’une rencontre artistique avec celui que Brassaï appelait "l’explorateur aussi
hardi que lucide de l’irrationnel".
– Du 1er décembre 2016 au 23 avril 2017. Tenue correcte exigée, quand le vêtement fait scandale, au musée des Arts décoratifs.
Certains vêtements ont marquè une rupture, provoqué à leur apparition de virulentes critiques, voire des interdictions : trop courts ou trop longs, trop ajustè s ou trop amples, trop impudiques ou trop couvrants, trop fè minins pour un homme, trop masculins pour une femme...
– Du 16 septembre 2016 au 23 avril 2017 (prolongation). Gilbert Peyre, l’électromécanomaniaque, à la Halle Saint-Pierre .
Machines extravagantes, inventives, poétiques, opérant simultanément sur les terrains de l’installation, du spectacle vivant et de l’art contemporain.
– Du 30 novembre 2016 au 24 avril 2017. Cy Twombly, au Centre Pompidou, Galerie 1, Niveau 6.
Cy Twombly : Blooming, 2001 - 2008 Courtesy Archives Fondazione Nicola Del Roscio Photo : Studio Silvano, Gaeta © Cy Twombly Foundation
– De novembre 2016 à avril 2017. Un Poème s’expose, la pente de la rêverie, à la Maison de Victor Hugo.
– Du 30 septembre 2015 au 17 juin 2017. Chefs-d’œuvre d’Afrique. Dans les collections du musée Dapper, au musée Dapper .
Fang – Gabon. Figure de reliquaire. Musée Dapper, Paris © Archives musée Dapper – Photo Hugues Dubois.
Par leur ancienneté, leurs prestigieuses provenances (collections de Charles Ratton, Tristan Tzara, Paul Guillaume), la diversité des origines géographiques, les quelque 130 pièces majeures qui seront montrées n’ont souvent aucun équivalent dans le monde, telles certaines sculptures du Gabon (Fang, Kota, Punu), du Cameroun (Bangwa), du Bénin (Fon), ou du Mali (Dogon, Soninke).
– Du 14 septembre 2016 à juin 2017. L’Écran japonais, à la Cinémathèque française.
Tadanori Yokoo, Journal du voleur de Shinjuku. Sérigraphie – 1970. Journal du voleur de Shinjuku. Nagisa Oshima. Coll. La Cinémathèque française – Don Yuriko Govaers © Kiyoshi Awazu
L’histoire des relations privilégiées de la Cinémathèque française avec les cinéastes, producteurs, distributeurs et techniciens japonais, des années 1950 à nos jours.
– D’octobre 2016 à juin 2017. L’artiste et le Pouvoir, au musée du Louvre, Richelieu.
– Du 6 octobre 2016 au 3 juillet 2017. Corps en mouvement. De l’opéra au musée, au musée du Louvre, la Petite Galerie, Richelieu.
En partenariat avec l’Opè ra national de Paris, la nouvelle exposition d’è ducation artistique et culturelle de la Petite Galerie du Louvre invite les jeunes visiteurs et leurs accompagnateurs (parents, enseignants, animateurs...) à explorer la reprè sentation du mouvement et de la danse de la Grèce antique à l’avant-garde russe, faisant è cho à l’exposition Bouchardon.
– Du 19 avril 2016 au 20 août 2017. Bébés animaux, à la Cité des sciences. Éléphanteau, poussin, ou delphineau, cette exposition pour les tout-petits fait découvrir le monde de 73 espèces, de leur naissance à leur autonomie. À faire debout ou à quatre pattes !
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**Expositions commençant en 2017**
Janvier
– Du 6 janvier au 9 avril 2017. Stéphane Duroy. Again and again, au Bal.
Une Amérique loin d’être aussi fiérote...
– Du 11 janvier au 23 avril 2017. Images à la sauvette. Photographies par Henri Cartier-Bresson, à la Fondation Henri Cartier-Bresson.
– Du 17 janvier au 5 mars 2017. Messiaen. Un génie au travail, à la BnF, site Mitterrand. Galerie des donateurs.
– Du 19 janvier au 30 octobre 2017. Shoah et bande dessinée, au Mémorial de la Shoah .
Non sans prudence, erreurs, tâtonnements, mais aussi génie, la BD s’est emparée de la Shoah. Interrogation ici des sources visuelles de ces représentations, de leur pertinence, leur portée et leurs limites (humour, satire).
– Du 31 janvier au 12 novembre 2017. L’Afrique des routes, au musée du quai Branly - Jacques Chirac, Mezzanine Ouest.
Masque anthropo-zoomorphe © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain
Berceau de l’humanité, pourvoyeur pour les autres continents de force de travail, d’or et de matières premières depuis des millénaires, l’Afrique a une
histoire inscrite dans la dynamique internationale. Panorama d’un continent au carrefour des mondes, et bien à contre-courant des idées reçues.
Février
– Du 1er février au 30 avril 2017. Saâdane Afif. The Fountain Archives, au Centre Pompidou. Musée, Niveau 5.
Depuis 2008, l’artiste collectionne les publications dans lesquelles est reproduit le fameux ready-made et a ainsi donné naissance à une œuvre insolite qui n’a depuis cessé de s’enrichir.
– Du 3 février au 8 mai 2017. Abraham Poincheval, au Palais de Tokyo.
L’homme qui s’était vu en ours puis en stylite se montrera alors sous quelle forme ? L’artiste réalisera deux nouvelles performances intitulées Pierre et Å’uf à des dates communiquées bientôt. Commissaire Adélaïde Blanc.
– Du 3 février au 8 mai 2017. Sous le regard de machines pleines d’amour et de grâce, au Palais de Tokyo.
Ce serpent de "zones affectives" enchaînera ou déchaînera des œuvres de Pedro Barateiro, Isabelle Cornaro, Marie Lund ou Michael E. Smith. Exposition collective. Commissaire Yoann Gourmel.
– Du 3 février au 8 mai 2017. Saison En toute chose, au Palais de Tokyo.
Ces expositions explorent les relations que nous entretenons ou que nous subissons dans notre rapport au réel. Elles s’interroger sur nos pouvoirs parfois absurdes sur les objets qui nous entourent comme sur celui, magique, enchanté ou inquiétant, qu’ils exercent sur nous.
+ Taro Izumi. Résident 2017 Sam Art Projects. Commissaire Jean de Loisy.
+ Mel O’Callaghan. Dangerous on-the-Way. Lauréate du prix Sam pour l’art contemporain 2015. Commissaire Daria de Beauvais.
+ Dorian Gaudin. Commissaire Julien Fronsacq.
+ Emmanuel Saulnier. Black Dancing. Commissaire Katell Jaffrès.
+ Anne Le Troter. Lauréate du grand prix du 61e Salon de Montrouge. Commissaire Claire Moulène.
+ Emmanuelle Lainé. Å’uvre in situ / Anémochorie. Le Païpe, by The Swarovski Foundation. Commissaire Claire Moulène.
– Du 4 février au 7 mai 2017. Du dessin au tableau au siècle de Rembrandt, à la Fondation Custodia.
– Du 8 février au 9 avril 2017. Gao Bo. Les offrandes, à la Maison européenne de la photographie. Niveau 2 et 1.
Nourri des préceptes de Marcel Duchamp comme de la pensée de Lao Tseu, Gao Bo entame un processus de questionnement et de réinvention autour de
sa pratique de la photographie. Utilisant le matériel produit au cours de ses premiers voyages au Tibet, il reprend ses tirages et les recouvre d’encre, de peinture et de son propre sang.
© BoStudio, Photo by Ma Xiaochun
Au fil des années, ses interventions sur les photographies se font de plus en plus extrêmes et flirtent avec la performance, allant jusqu’à recouvrir de peinture noire des tirages monumentaux, ou à brûler entièrement une série de portraits de condamnés à mort pour en récolter les cendres. Gao Bo n’a de cesse de repousser les limites du medium photographique, questionnant la disparition, la trace et le renouveau possible à travers un processus créatif aux frontières de la destruction.
– Du 9 février au 9 avril 2017. La collection de Bernard Plossu, à la Maison européenne de la photographie.
160 clichés sélectionnés à partir d’une collection de 1 300 photos qui ont fait l’objet d’une donation à la MEP.
– Du 14 février au 28 mai 2017. Eli Lotar, 1905-1969, au musée du Jeu de Paume.
Eli Lotar, Las Hurdes, 1933, épreuve gélatino-argentique d’époque, 22,8 x 17,9 cm, don de Anne-Marie et Jean-Pierre Marchand 1993, n° inv. : AM 1995-98 (1), collection Centre Pompidou, Paris, MNAM-CCI © Eli Lotar
Cette première rétrospective sur l’œuvre de ce grand photographe et cinéaste, exposition coproduite par le Centre Pompidou (pour son 40e anniversaire) et le Jeu de Paume, rassemble une centaine de tirages d’époque, et rend compte de la créativité foisonnante des années 1930.
– Du 15 février au 17 avril 2017. Mission Île de la Cité. Le Cœur du Cœur. L’Île de la Cité à l’horizon 2040, à la Conciergerie. Dans la salle des Gens d’Armes. Accès gratuit du 15 au 19 février, et le 5 mars.
– Du 22 février au 22 mai 2017. Valentin de Boulogne (1591-1632). Réinventer Caravage, au musée du Louvre, Hall Napoléon Bas.
La première monographie dédiée au plus brillant des peintres caravagesque d’Europe. Il fut l’égal de Poussin, et reçut de prestigieuses commandes des papes. Collectionnée par Mazarin et Louis XIV, son œuvre servit de modèle au XIXe à des maîtres comme David ou Courbet.
– Du 22 février au 22 mai 2017. Vermeer et les maîtres de la peinture de genre, au musée du Louvre, Hall Napoléon Bas.
Jan Vermeer, dit Vermeer de Delft, La Dentelière (détail) © 2005 musée du Louvre / Angèle Dequier
Les grands chefs-d’œuvre de Vermeer et des maîtres de la peinture de genre du Siècle d’or : Gérard Dou, Gerard ter Borch, Jan Steen, Pieter de Hooch, Gabriel Metsu, Caspar Netscher ou Frans van Mieris. L’insertion de Vermeer dans un réseau de peintres, spécialisés dans la représentation de scènes quotidiennes, qui s’admiraient, s’inspiraient mutuellement, et rivalisaient les uns avec les autres.
– Du 22 février au 22 mai 2017. Collection Leiden (Chefs-d’œuvre de la). Le siècle de Rembrandt, au musée du Louvre, Aile Sully.
Collectionneur américain, Thomas S. Kaplan a réuni, avec cette Leiden Collection, l’un des ensembles les plus complets de tableaux du Siècle d’or hollandais en mains privées : Jan Steen, Rembrandt et Jan Lievens, leur maître Lastman, Frans van Mieris, Gérard Dou, Gérard ter Borch…
– Du 22 février au 22 mai 2017. Joseph Koudelka, la fabrique d’exil, au Centre Pompidou, Galerie de photographies, Forum - 1.
Josef Koudelka, Invasion, Prague, 1968. Collection Centre Pompidou, Paris © Josef Koudelka / Magnum Photos © Centre Pompidou / Dist. RMN-GP
– Du 22 février au 22 mai 2017. Kimono, au bonheur des dames, au musée Guimet.
L’évolution de la mode au Japon de l’époque Edo (1603-1868) à nos jours, à travers la prestigieuse collection de kimono anciens de la maison Matsuzakaya (l’un des plus anciens grands magasins du Japon fondé en 1611) et la réinterprétation de ce vêtement traditionnel par les créateurs contemporains, japonais et européens.
Supports privilégiés de l’expression artistique japonaise, les décors des kimono rivalisent d’audace et témoignent de l’incroyable inventivité des artisans et de l’évolution des techniques de tissage, broderie, teinture ou peinture.
– Du 23 février au 16 juillet 2017 (prolongation). Camille Pissarro. Le premier des impressionnistes, au musée Marmottan.
– Du 24 février au 21 mai 2017. François Morellet, le retour à la Monnaie de Paris.
François Morellet déploie son œuvre et vient jouer de la verticalité et de l’inclinaison pour faire basculer ces salons du XVIIIe. Un dialogue entre la vision du grand artiste français avec la collection du Centre Pompidou, l’architecture de la Monnaie de Paris et la Seine, et un hommage qui mettra en scène ses œuvres et projets les plus précurseurs par des installations architecturales sans limite, qui gagneront les ponts et le quai face à la Monnaie.
– Du 24 février au 21 mai 2017. L’Esprit français, contre-cultures en France 1969-1989, à la Maison rouge.
Pays qui ne s’aime pas, mais ne peut se penser qu’au centre d’un modèle culturel, où l’auto-référentialité et l’auto-célébration iraient de pair, une cartographie subjective et critique de la culture d’une époque en France, celle d’une génération post-1968, prônant toutes les libérations tout en maintenant un quasi statu quo politique.
Une situation paradoxale marquera les mouvements d’émancipation et de contestation, et créera de nouvelles formes d’avant-garde où les cultures populaires (cinéma, rock, BD, télé, graphisme…) influent sur les savoirs et les champs esthétiques plus traditionnels (théâtre, philosophie, arts plastiques).
– Du 24 février au 20 août 2017. Karel Appel. L’art est une fête ! au musée d’Art moderne de la Ville de Paris .
Petite rétrospective sur l’un des fondateurs hollandais du mouvement CoBrA.
– Du 25 février au 25 juin 2017. Sérénissime ! Venise en Fête, de Tiepolo à Guardi, au musée Cognacq-Jay.
Alors que la Venise du XVIIIe siècle voit sa puissance politique, économique et territoriale se réduire considérablement en regard de son poids sous la Renaissance, elle connaît un formidable âge d’or culturel.
Falca Pietro (1702-1785), Pietro Longhi (dit), Le Charlatan, Toulouse, Fondation Bemberg © RMN-Grand Palais / Mathieu Rabeau
Comme pour conjurer son déclin qui aboutira à sa reddition face à Napoléon en 1797, la Cité des Doges multiplie fêtes, célébrations et spectacles qui attirent curieux et amateurs de l’Europe entière.
Ces festivités sont de véritables mises en scène et prennent une dimension politique et religieuse, Venise consacrant son attachement au culte catholique comme au pouvoir aristocratique par de grandes réjouissances dans les lieux emblématiques de la ville, de la place Saint-Marc au Grand Canal.
Plus encore que la régate ou le mariage de Venise avec la mer, c’est le carnaval qui fait de Venise un lieu de plaisirs. Cette exposition redonne vie à ces grandes fêtes à travers une soixantaine d’œuvres de Tiepolo, Guardi, Canaletto ou Longhi.
– Du 28 février au 2 juillet 2017. 100 Chefs-d’œuvre de l’art moderne et contemporain arabe, La Collection Barjeel, à l’Institut du monde arabe .
Une plongée dans la collection de Sultan Al Qassemi, grand collectionneur d’art qui a créé la Fondation Barjeel à Sharjah aux EAU pour ouvrir sa collection au public. C’est la première fois qu’elle est exposée en France.
Mars
– Du 1er mars au 27 août 2017. Game. Une histoire du jeu vidéo, à la Fondation EdF.
45 ans de conquête pour une industrie qui ne manque pas d’appétit.
– Du 2 mars au 23 juillet 2017. 21 rue La Boétie. Picasso, Matisse, Braque, Léger... au musée Maillol.
Chefs-d’œuvre passés chez Paul Rosenberg, grand marchand d’art et galeriste.
– Du 3 mars au 10 juillet 2017. De Zurbaran à Rothko - La Collection Alicia Koplowitz / Grupo Omega Capital, au musée Jacquemart-André.
Lucian Freud (1922-2011). Fille au manteau de fourrure (1967). Huile sur toile. 61x51cm © Collection Alicia Koplowitz - Grupo Omega Capital. Fukuoka Sogo Bank Ltd. / © Lucian Freud Archive / Bridgeman Images
52 œuvres, de maîtres anciens et modernes, d’une collection peu connue en France et teintée de féminité : Zurbarán, Tiepolo, Canaletto, Guardi et Goya, mais aussi Toulouse-Lautrec, Gauguin, Van Gogh, Picasso, Van Dongen, Modigliani, Schiele, de Staël, Freud, Rothko ou Barceló, Bourgeois...
– Du 8 mars au 16 juillet 2017. Golem ! Avatars d’une légende d’argile, 132793 au musée d’art et d’histoire du judaïsme .
– Du 8 mars au 16 juillet 2017. Balenciaga, l’œuvre au noir, au musée Bourdelle.
– Du 9 mars au 25 juin 2017. Posing Beauty in African American Culture, au Mona Bismarck American Center.
La richesse de l’imagerie africaine-américaine ainsi que la diversité des représentations de la beauté noire à travers le temps et les évolutions culturelles et sociales de 1890 à nos jours.
– Du 14 mars au 25 juin 2017. Le Paysage mystique. De Monet à Kandinsky, au musée d’Orsay.
Avec des œuvres de Gauguin, Maurice Denis, Monet, Hodler, Klimt, Munch et van Gogh, en osmose avec l’Univers...
Vincent Van Gogh, "La nuit étoilée sur le Rhône à Arles", 1888, huile sur toile, 73 x 92 cm Collection du musée d’Orsay, Paris (France/Bridgeman Images).
– Du 14 mars au 22 octobre 2017. Kiefer-Rodin, au musée Rodin.
Carte blanche à Anselm Kiefer qui investit la salle d’exposition et la cour du musée, provoquant la rencontre de ces deux démiurges, pétris de liberté et affranchis des contingences artistiques.
Attirés par l’accident, disponibles au hasard, ils exploitent tous les domaines, manipulent les matières, et s’autorisent nouveaux agencements et mutations audacieuses.
Mêlant le ciment rodinien aux reliques de sa propre vie et à d’autres matériaux inattendus, Anselm Kiefer réalise des vitrines inédites, et sous le verre, l’artiste guette l’étincelle de ses métamorphoses.
Si Kiefer et Rodin se jouent des supports, ils usent des techniques pour digérer l’héritage du passé et célébrer leur culte commun du travail au travers d’une même quête, celle de la vérité, jamais embellie.
– Du 15 mars au 24 juillet 2017. Jardins, au Grand Palais.
Le jardin est une manière de voir la nature, de la mettre en scène, de la penser. Il est une empreinte de l’homme, qui en fait, dès la Renaissance, une œuvre d’art totale capable d’éveiller les sens. Peintures, sculptures, photographies, dessins, installations, environnements sonores et olfactifs retracent 6 siècles de création autour du jardin, avec les participations gracieuses de Dürer, David, Monet, Cézanne, Picasso, Matisse, Magritte...
– Du 15 mars au 12 juin 2017. Dessiner le quotidien. La Hollande au Siècle d’or, au musée du Louvre, Rotonde Sully Sud.
Une grande exposition de dessins retraçant le développement de la scène de genre aux Pays-Bas au XVIIe siècle et le foisonnement de motifs quotidiens chez les peintres d’histoire, paysagistes ou de genre.
– Du 16 mars au 25 juin 2017. Or virtuose à la Cour de France. Pierre Gouthière 1732-1813), au musée des Arts décoratifs.
Deux pots-pourris, Pierre Gouthière, vers 1770-1775. Porcelaine de Chine, XVIIIe siècle ; bronze doré © Musée du Louvre
Des œuvres de l’un des plus célèbres artisans du XVIIIe siècle, doreur et ciseleur des rois Louis XV et Louis XVI. 104 objets d’art et 85 dessins et estampes, qui replacent l’œuvre de Gouthière au cœur de la création ornementale de cette époque. En collaboration avec la Frick Collection de New York.
– Du 20 mars au 31 juillet 2017. Rodin : l’exposition du centenaire, au Grand Palais.
Auguste Rodin, Iris messagère des dieux © Musée Rodin — ADAGP, Paris 2013 — Photo : Christian Baraja
Rodin (1840-1917) est l’un des pères de la sculpture moderne. Avant Braque, Picasso, Matisse, il intègre l’accident dans son travail, invente l’œuvre non finie, la figure partielle, l’assemblage et le collage.
L’exposition du centenaire fête cet artiste protéiforme, convoque ses collectionneurs, et Carpeaux, Bourdelle, Claudel, Brancusi, Picasso, Richier, pour rendre mieux compte de son génie.
– Du 21 mars au 23 juillet 2017. Pissarro à Éragny, la nature retrouvée au musée du Luxembourg.
Pissarro s’installe en famille en 1884, à Éragny, et vivra 20 ans au rythme de sa peinture, de sa ferme et de la poésie des champs, recevant ses amis Monet, Cézanne, Van Gogh ou Gauguin. Il adhère aussi aux idéaux anarchistes de la fin du XIXe siècle. Première grande exposition parisienne consacrée à Pissarro depuis 1981.
– Du 21 mars au 3 septembre 2017. Olga Picasso, au musée Picasso.
Entre 1915 et 1937, tandis qu’il partage sa vie avec Olga Khokhlova, danseuse des Ballets russes, Picasso réalise des œuvres majeures, issues notamment de sa période classique.
Avec près de 200 œuvres et 80 images d’archives, cette exposition laisse découvrir cet extraordinaire destin d’Olga et la métamorphose que le peintre fera subir à son modèle au fil de l’évolution de leurs relations conjugales.
– Du 21 mars au 9 juillet 2017. De Watteau à David, la collection Horvitz, au musée du Petit Palais.
François Boucher, Nu féminin allongé, sanguine et craie © The Horvitz Collection, Boston
200 tableaux, sculptures et dessins du XVIIIe siècle français venus de la plus importante collection privée de dessins français du XVIIIe siècle, la Collection Horvitz à Boston.
Constituée en 3 décennies, elle rassemble des œuvres de tout premier plan : Watteau, Boucher, Fragonard, Greuze et David, comme un intéressant panorama d’autres artistes de la période, d’Oudry à De Troy, de Natoire à Bouchardon, d’Hubert Robert à Vincent, et toujours dans leurs meilleures pièces.
– Du 21 mars au 16 juillet 2017. Le Baroque des Lumières. Chefs-d’œuvre du XVIIIe siècle des églises de Paris, au musée du Petit Palais.
Importance et diversité de la peinture religieuse parisienne de la Régence à la Révolution : des héritiers du Grand Siècle, comme Largillierre et Restout, aux tenants du goût rocaille, de Lemoine à Carl Van Loo, au meilleur du néo-classicisme, de Vien à David.
Pour voir réunis, dans une mise en scène exceptionnelle, ces grands tableaux d’autel de Paris qui viennent d’être restaurés.
– Du 23 mars au 21 mai 2017. Afriques capitales, à La Villette.
– Du 28 mars au 23 juillet 2017. Picasso primitif, au musée du Quai Branly. Galerie Jardin.
Picasso Pablo (dit), Ruiz Picasso Pablo (1881 - 1973). Nu debout de profil. 1908. Paris, musée Picasso. Photo © RMN-Grand Palais (musée Picasso de Paris) / Thierry Le Mage © Succession Picasso - Gestion droits d’auteur
Deux approches complémentaires révèlent la relation entre Picasso et les arts d’Afrique, d’Océanie, des Amériques mais aussi d’Asie. La première, chronologique, montre les jalons avérés entretenus par Picasso avec les arts non occidentaux, pendant la période décisive de la gestation des Demoiselles d’Avignon (1906-1907), mais aussi, comme le montre sa collection conservée sa vie durant, tout au long de sa création.
L’autre, plus conceptuelle, fait dialoguer la richesse de ses œuvres avec celle de créations d’artistes non occidentaux.
Le primitif ne s’entend plus alors comme un stade de non développement mais comme l’accès aux couches les plus profondes, les plus fondatrices de l’humain.
– Du 28 mars au 16 juillet 2017. Le monde selon Topor, à la BnF, site Mitterrand, Galerie 1.
Roland Topor, Histoire comme si, 1975. Collection Gérard Klein © adagp, Paris, 2016
Roland Topor (1938-1997), créateur insatiable, mit son crayon au service d’un imaginaire débridé : dessins d’humour, illustrations pour la presse et l’édition, affiches, films d’animation, émissions de télévision, décors, costumes de théâtre, romans, nouvelles, pièces de théâtre, chansons et scénarii de films.
Cette rétrospective fait découvrir la variété de sa production artistique et montre un grand nombre de dessins originaux, rarement exposés, car provenant de collections privées.
– Du 28 mars au 10 septembre 2017. Ciao Italia !, au musée de l’histoire de l’immigration.
La plus importante immigration que connut la France, de 1850 à 1960 : les Italiens !
– Du 29 mars au 5 juin 2017. Des Grands Moghols aux Maradjahs. Joyaux de la Collection Al-Thani, au Grand Palais. Salon d’Honneur.
230 pièces de la collection Al-Thani, racontent la joaillerie indienne, des Grands Moghols à nos jours. Des pièces historiques inestimables : diamants, gemmes de renom, joyaux spectaculaires, objets précieux.
– Du 29 mars au 30 juillet 2017. Mômes et Cie, à la Cinémathèque française.
Une exposition en forme de double voyage à la découverte des liens entre le monde de l’enfance et celui du cinéma : un voyage dans les émotions des personnages d’enfants des films et un voyage dans les émotions des spectateurs.
Alice au pays des merveilles de Tim Burton (2010)
Les visiteurs traversent l’histoire et la géographie mondiale du cinéma : ils peuvent reconnaître certains films et en découvrir d’autres.
– Du 30 mars au 15 octobre 2017. Le Procès Klaus Barbie. Lyon, 1987, au Mémorial de la Shoah.
– En mars 2017. Ré-ouverture place de la Concorde de l’Hôtel de la Marine, confié au Centre des monuments nationaux.
– Du 31 mars au 9 juillet 2017. À pied d’œuvres(s), à la Monnaie de Paris .
– Du 31 mars 2017 au 8 janvier 2018. Nous et les autres, des préjugés au racisme, au musée de l’Homme.
Avril
– Du 1er avril au 31 octobre 2017. Pierre-Joseph Redouté et le goût des fleurs, au musée de la Vie romantique.
– Du 3 avril au 16 juillet 2017. Yallah Africa, à l’Institut du monde arabe .
– Du 4 avril au 20 août 2017. Jamaica, Jamaica !, au Philharmonie.
La Jamaïque nous aura tant donné, du reggae au remix, du club au sound system, et c’est loin d’être fini ! Une visite bien rythmée...
– Du 4 avril 2017 au 7 janvier 2018. Terra Data. Nos vies à l’ère du numérique, à la Cité des sciences et de l’industrie.
© Simon Belcher- Age fotostock
– Du 5 avril au 21 août 2017. Tokyo - Paris. Chefs-d’œuvre du Bridgestone Museum of Art. Collection Ishibashi Foundation, au musée de l’Orangerie. Du 5 avril au 21 août 2017.
Pierre-Auguste Renoir, Mademoiselle Georgette Carpentier assise, 1876, huile sur toile, 97,8 x 70,8cm, Tokyo, Bridgestone Museum of Art © Bridgestone Museum of Art, Ishibashi Foundation
Des chefs-d’œuvre, notamment de Monet, Matisse et Pollock, nous visitant du fait d’une rénovation de ce grand musée de Tokyo.
– Du 6 avril au 7 mai 2017. Louise-Denise Germain, 1870-1936. Reliures, à la Bibliothèque de l’Arsenal.
– Du 12 avril au 30 juillet 2017. France-Allemagne(s), 1870-1871 : la guerre, la Commune, les mémoires, au musée de l’Armée.
Occultée par les deux conflits mondiaux, la guerre entre la France et l’Allemagne de 1870 à 1871 est aujourd’hui un sujet souvent méconnu, alors qu’elle représente un moment fondateur dans la relation entre ces deux
pays, autour de laquelle se noue déjà l’avenir de l’Europe.
– Du 14 avril au 30 juillet 2017. Trésors de l’islam en Afrique, de Tombouctou à Zanzibar, à l’Institut du monde arabe .
13 siècles d’influences et d’échanges entre l’islam et l’Afrique subsaharienne à travers 300 pièces patrimoniales jamais montrées (manuscrits rescapés de Tombouctou,…) et œuvres d’art contemporaines monumentales de Rachid Koraïchi, Aïda Muluneh…
– Du 19 avril au 24 septembre 2017. Autophoto, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain.
L’automobile façonne le paysage et permet l’exploration de nouveaux horizons. Elle a aussi bouleversé notre conception spatio-temporelle, offrant un nouveau paradigme à la photographie. Cette exposition rassemblera un montage des extraits mythiques de l’histoire du cinéma ainsi que quelque 400 œuvres de photographes historiques et contemporains sur le sujet : Jacques-Henri Lartigue, Ed Ruscha, Lee Friedlander, Jacqueline Hassink...
– Du 19 avril au 18 juin 2017. ORLAN en capitales, à la Maison européenne de la photographie. Niveau 3.
Une grande exposition de l’artiste photographe et plasticienne.
– Du 21 avril au 4 septembre 2017. L’Architecte : portraits... et clichés, à la Cité de l’Architecture.
– Du 25 avril au 27 août 2017. Sciences pour tous. 1850-1900, à la BnF, site Mitterrand. Allée Julien Cain.
Astronomie, médecine, sciences naturelles, chimie, aéronautique... Au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, toutes les disciplines scientifiques sont mises en valeur et popularisées. Si elle trouve ses racines dans le courant des Lumières, la vulgarisation scientifique prend toute son ampleur environ un siècle plus tard, alors que se développe la croyance dans le progrès et l’instruction.
– Du 25 avril au 24 septembre 2017. Sièges en société du Roi-Soleil à Marianne, à la Galerie des Gobelins.
– Du 25 avril au 1er octobre 2017. Le pouvoir des fleurs. Pierre-Joseph Redouté (1759-1840), au musée de la Vie romantique.
– Du 26 avril au 28 août 2017. Art / Afrique, le nouvel atelier, à la Fondation Louis-Vuitton .
"Les Initiés" (1989-2009), réunit un choix d’œuvres de la collection d’art contemporain africain de Jean Pigozzi, élaborée sous les conseils d’André Magnin. /// "Être là", une exposition collective d’artistes consacrée à l’Afrique du Sud, une des scènes les plus dynamiques du continent africain aujourd’hui. /// La présentation d’œuvres de la Collection liées à l’Afrique, mais incluant aussi des artistes travaillant ailleurs que chez eux ainsi que des artistes afro-américains.
– Du 26 avril au 14 août 2017. Walker Evans, un style vernaculaire, au Centre Pompidou. Galerie 2, Niveau 6.
La rétrospective retrace, de ses premières photographies de la fin des années 1920 jusqu’aux polaroids des années 1970, la totalité de sa carrière à travers plus de 300 tirages vintages provenant des plus grandes collections internationales.
– Du 27 avril au 13 août 2017. Dalida, la garde-robe de la ville à la scène, au musée Galliera.
Dalida. Paris, Bobino, octobre 1958 © Boris Lipnitzki / Roger-Viollet
Dalida est une icône de la mode. Look pulpeux, fifties, swinging London, acidulé, théâtral... elle ne laissait rien au hasard, et les couturiers l’aimaient. Habillée par les plus grands à la ville comme à la scène, en haute couture ou en prêt-à-porter, la miss Égypte à la plastique explosive devient Dalida et fait un tabac à Bobino avec Bambino. Taille marquée, hanche et poitrine moulées, épaule dégagée, chute de reins, tout est vertigineux chez elle.
Robes New Look Carven des années 50, fourreau rouge incendiaire façon Hollywood par Jean Dessès, sobre et chic en Azzaro, robe chasuble du Balmain sixties, costumes paillettes et disco par Michel Fresnay dans les années 1970, classique et indémodable en Saint Laurent, elle a tout osé, tout porté.
Mai
– À partir du 3 mai 2017. Collections modernes 1905-1965. Nouvelles présentations, au Centre Pompidou. Niveau 5.
– Du 3 au 8 mai 2017. Révélations, au Grand Palais.
3e édition de cette manifestation organisée par Ateliers d’art de France, qui se place en Biennale des métiers d’art en alternance avec l’exposition Monumental devenue également biennale. 400 créateurs. Invité d’honneur, le Chili.
– Du 9 mai au 30 juillet 2017. Grand Trouble, à La Halle Saint Pierre.
Une quarantaine d’artistes : dessins, peintures, sculptures, photographies, installations, vidéos se confrontent et s’assemblent pour parler de la vie, du monde, de notre quotidien.
– Du 10 mai au 28 août 2017. Ross Lovegrove, au Centre Pompidou. Galerie 3.
Créateur de la coque de l’iMac et des baladeurs du Walkman de Sony : le designer gallois Lovegrove, fondateur, en 1986 à Londres, du studio Lovegrove et Brown, puis du Studio X.
– Du 11 mai au 30 juillet 2017. Claude Iverné. Bilad es Sudan à la Fondation Henri Cartier Bresson.
– Du 16 mai au 13 août 2017. La Bibliothèque, la nuit. Bibliothèques mythiques en réalité virtuelle, à la BnF, site Mitterrand. Galerie 2.
© photo Stéphane Bourgeois
La bibliothèque, la nuit devient une machine à rêves. Grâce à la réalité virtuelle, cette exposition propose un voyage onirique dans le temps et dans le monde, qui mène de Sarajevo à Mexico et d’Alexandrie jusqu’au fond des océans. Invité à vivre une expérience d’immersion muséale et scénographique, le visiteur, au moyen de lunettes vidéo 3D, parcourt une forêt de dix bibliothèques réelles ou imaginaires.
– Du 19 mai au 5 novembre 2017. Medusa. Bijoux et tabous, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Salvador Dali, Ruby Lips Brooch, 1949. Broche or, rubis, perles © ADAGP, Paris, 2016
Quand les plasticiens s’emparent de l’orfèvrerie : Meret Oppenheim, Man Ray, Calder, Dali, Picasso, et même Fabrice Gygi et Thomas Hirschhorn.
– Du 23 mai au 8 octobre 2017. La pierre magique des Maoris, au musée du Quai Branly, Mezzanine Est.
© Hei tiki (pendant in human form). Gift of Leo Buller, 1911. Museum of New Zealand Te Papa Tongarewa
Conçue par le néo-zélandais Te Papa Tongarewa Museum, l’exposition met en lumière ses très riches collections de jade, et les liens existant entre cette pierre aux vertus magiques et le peuple maori.
– Du 25 mai au 30 septembre 2017. Dragonland, à Paris Expo / Porte de Versailles / Pavillon 2.1 .
– Du 28 mai au 24 septembre 2017. Un Tsar en France, Pierre Le Grand à la Cour de Louis XV, au Grand Trianon .
Juin
– Du 2 juin au 29 octobre 2017. Derain, Balthus, Giacometti : une amitié artistique, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris.
Balthus, Les Beaux jours (1944-1946). Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, Smithsonian Institution, Washington, DC, Gift of the Joseph H. Hirshhorn Foundation, 1966 Photography by Lee Stalsworth
200 œuvres pour convaincre que, bien au-delà d’une admiration réciproque et d’une véritable affection dont ils témoigneront tout au long de leur propre vie, c’est une profonde communauté esthétique qui réunissait ces trois-là.
– Du 9 juin au 19 novembre 2017. Lee Ungno, l’homme des foules, au musée Cernuschi.
– Du 13 juin au 24 septembre 2017. Ed Van der Elsken, au musée du Jeu de Paume.
Vali Myers devant son miroir, Paris, 1953. Ed Van der Elsken. Épreuve gélatino-argentique. Collection Stedelijk Museum Amsterdam. © Ed van der Elsken/Nederlands Fotomuseum Rotterdam, courtesy Annet Gelink Gallery
Une large sélection des images iconiques de son œuvre photographique : celles de Paris des années 1950, des personnes captées pendant ses voyages et dans sa ville natale d’Amsterdam au cours des décennies suivantes, mais aussi ses livres, des extraits de ses films et de ses diaporamas, plus spécialement Eye Love You et Tokyo Symphony.
Van der Elsken photographie et filme ses sujets dans des situations souvent théâtrales et se comporte en metteur en scène, engageant le dialogue avec les personnes qu’il photographie. Il aime provoquer, inciter les gens à accentuer la personnalité qu’il décèle en eux.
– Du 13 juin au 27 août 2017. Théâtre du mouvement. L’aventure du geste, à la BnF, site Mitterrand. Galerie des donateurs.
La compagnie "Théâtre du mouvement" a joué un rôle majeur dans l’émergence d’un mime contemporain. L’exposition se propose de reconstituer une démarche artistique à l’esthétique singulière qui fait appel à des techniques diverses et n’hésite pas à dialoguer avec la danse, la marionnette, le théâtre, le théâtre non verbal ou le nouveau cirque.
– Du 13 juin au 23 septembre 2017. Portraits de Cézanne, au musée d’Orsay.
Paul Cézanne, Portrait de l’artiste au fond rose, c.1875, Huile sur toile, 66 x 55 cm, Paris, musée d’Orsay, donation anonyme sous réserve d’usufruit aux musées nationaux, 2000. © RMN/ Art Ressource, NY
Une sélection de grands portraits de Cézanne, portraits très particuliers, qui se répondent et révèlent sans doute une facette primordiale de cet artiste, personnelle et humaine, relativement peu mise en avant jusqu’à présent : paires complémentaires, série d’un même sujet, développement chronologique, évolutions de style et de méthode, balancements de la ressemblance à l’identité.
– Du 13 juin 2017 au 14 janvier 2018. Valerian et Laureline, en mission pour la Cité, à la Cité des sciences et de l’industrie.
– Du 14 juin au 11 septembre 2017. Steven Pippin, au Centre Pompidou, Galerie de photographies, Niveau -1.
– Du 14 juin au 11 septembre 2017. Hervé Fischer, au Centre Pompidou. Galerie du musée, Niveau 4.
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– Du 14 juin au 10 septembre 2017. Saison Histoires naturelles, au Palais de Tokyo, avec :
+ Dioramas, une histoire déconstruite du regard, source d’inspiration inattendue des artistes contemporains.
+ Le Rêve des formes : art, sciences, etc. Une exploration du dialogue ininterrompu, mais truffée d’accidents, entre art et sciences.
+ Et aussi Hayoun Kwon, Gareth Nyandoro, Taloi Havini, Wilfrid Almendra.
– Du 20 juin au 24 septembre 2017. Mozart. Une passion française, à la bibliothèque-musée de l’Opéra Garnier .
La Flûte enchantée, Opéra Bastille, 2014 © christophe Pelé - Opéra national de Paris
Les grandes étapes de la réception de Mozart et de sa reconnaissance par le public français : fascination, d’abord, pour la précocité de l’enfant prodige ; adaptation, ensuite, de ses œuvres au goût français ; célébration, enfin, d’un génie musical à nul autre pareil. L’accent est mis sur ses principaux opéras à travers une sélection de maquettes de costumes, d’esquisses de décors et de photos de scènes issues des productions les plus emblématiques, du XIXe siècle à nos jours.
– À partir du 21 juin 2017. Réouverture de l’Hôtel d’Heidelbach, une des dépendances du musée Guimet, au 19 de l’avenue d’Iéna. Collection de mobilier chinois, et exposition temporaire de la collection Ise de porcelaine chinoise. À terme le rez de chaussée de l’Hôtel accueillera la collection de textiles du musée. Le jardin japonais ouvrira au printemps 2018.
– Du 21 juin au 23 octobre 2017. David Hockney, au Centre Pompidou.
Généreuse rétrospective des 60 premières années de la carrière de ce célèbre artiste anglo-californien touche-à-tout et hédoniste.
– Du 21 juin au 4 septembre 2017. 113 ors d’Asie, au musée Guimet. .
L’estampe Kajikazawa dans la province de Kai d’Hokusai, 1831-1833 © Musée Guimet/Richard Lambert
– Du 21 juin au 4 septembre 2017. Porcelaine, chefs-d’œuvre de la collection Ise, au musée Guimet / Hôtel d’Heidelbach.
– Du 21 juin au 2 octobre 2017. Paysages japonais, de Hokusai à Hasui, au musée Guimet - Musée national des arts asiatiques. Dans la bibliothèque historique du 2e étage. Du 21 juin au 2 octobre 2017.
– Du 21 juin au 24 septembre 2017. Costumes espagnols, entre ombre et lumière, à la maison de Victor Hugo.
– Du 23 juin au 10 septembre 2017. Imagine van Gogh, à la Grande Halle de La Villette .
Imagine Van Gogh © lililillilil
Pour expérimenter les émotions que procureraient quelque 200 œuvres du peintre... en dimensions XXL.
– Du 23 juin au 17 septembre 2017. Hélène Delprat : "I Did It my Way", à la Maison rouge.
Inspirée par la littérature, le cinéma, les databases d’Internet, la radio, la presse, Hélène développe au travers d’une pratique quotidienne une sorte de Livre d’Heures grinçant où se mêlent fiction et documentaire. Ses interviews vraies ou fausses, ses dessins radiophoniques, ses peintures, ses vidéos et ses collections d’articles complètent cette inventaire d’un monde fait de hasard et de programmation.
Saint Jérôme à genoux devant un crucifix. Musée du Louvre. Paris
– De juin à août 2017. Dessins gênois, au musée du Louvre, Hall Napoléon Haut.
– Du 28 juin au 27 août 2017. Mémoire et lumière, photographie japonaise 1950-2000, la donation Dai Nippon Printing, à la Maison européenne de la photographie.
– Du 28 juin au 27 août 2017. Bernard Pierre Wolff, photographies 1971-1984, à la Maison européenne de la photographie.
– À partir de juin 2017. Collections contemporaines de 1960 à nos jours. Nouvelle présentation, au Centre Pompidou. Niveau 5.
Un panorama des pratiques qui affirment à partir des années 1960 une dimension corporelle (l’esprit Fluxus, l’actionnisme viennois ou l’art corporel,), langagière (art conceptuel américain et conceptualisme international) ou objectale (minimalisme, arte povera).
Les années 1970 et 1980 sont dépeintes à travers des installations, à l’instar de Dream Passage with Four Corridors (1984) de Bruce Nauman ou Das Figur-Grund Problem in der Architektur des Barock (1985) de Reinhard Mucha. Pour les années 1990 et 2000, le parcours présente les nouvelles pratiques, comme celles de l’"esthétique relationnelle".
De grandes œuvres-repères du musée : le Magasin (1958-1973) de Ben, la Salle Blanche (1975) de Marcel Broodthaers, Réserve (1990) de Christian Boltanski ou Precious Liquids de Louise Bourgeois (1992).
Juillet
– Du 5 juillet 2017 au 7 janvier 2018. Christian Dior, couturier du rêve, au musée des Arts décoratifs.
La rétrospective-événement sur un grand couturier qui fut galeriste. 300 modèles présentés, dans un dialogue avec de grands moments de l’histoire de l’art.
– Du 12 juillet au 28 août 2017. Fred Forest, au Centre Pompidou. Forum, Niveau -1.
Été 2017
Septembre
– Du 6 septembre au 29 octobre 2017. Anne et Patrick Poirier, à la Maison européenne de la photographie. Du 6 septembre au 29 octobre 2017.
– Du 7 septembre 2017 au 31 juillet 2018. Caro / Jeunet, à la Halle Saint-Pierre.
Image tirée du film Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain
Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro pour une première grande exposition événement : le cinéma, à travers extraits de films, objets, costumes et documents vient dialoguer avec les dessins et peintures de Marc Caro et des œuvres d’art singulier réalisées ou collectionnées par Jean-Pierre Jeunet.
– Du 11 au 17 septembre 2017. La Biennale de Paris, au Grand Palais.
"Le plus beau musée éphémère du monde" : avec des pièces inè dites des Collections Barbier-Mueller ; "Paysage anthropomorphe" de Pablo Picasso, présenté par la galerie Hè lène Bailly ; une "dè esse mère" vieille de 6000 ans, protectrice évocatrice de fertilitè , prè sentè e par la galerie Kevorkian, probablement originaire d’Anatolie ; quatre tapisseries de la galerie Chevalier, rè è dition prè cieuse tissè e à la Manufacture Royale des Gobelins entre 1665 et 1673 pour Jean-Baptiste Colbert (1619-1683), le ministre de Louis XIV...
– Du 13 septembre au 17 décembre 2017. Raymond Depardon. Traversée, à la Fondation Henri Cartier-Bresson.
– Du 14 septembre 2017 au 14 janvier 2018. Monet collectionneur, au musée Marmottan.
Une passion secrète couvrant des œuvres de Delacroix, Corot, Boudin, Jongkind, Manet, Renoir, Caillebotte, Cézanne, Morisot, Pissarro, Rodin et Signac.
– Du 15 septembre 2017 au 8 avril 2018. L’Art du pastel de Degas à Redon, au musée du Petit Palais.
Les fleurons de la collection du Petit Palais avec des œuvres de Berthe Morisot, Auguste Renoir, Paul Gauguin, Mary Cassatt et Edgar Degas, des artistes symbolistes comme Lucien Lévy-Dhurmer, Charles Léandre, Alphonse Osbert, Émile-René Ménard et un remarquable ensemble d’œuvres d’Odilon Redon, ou l’art plus mondain d’un James Tissot, de Jacques-Émile Blanche, de Victor Prouvé ou de Pierre Carrier-Belleuse.
– Du 15 septembre au 17 décembre 2017. Anders Zorn. Le maître de la peinture suédoise, au Petit Palais.
Domaine public. Anders Zorn, la Veuve (En Deuil). Création probablement 1882-1883
Avec Carl Larsson, Anders Zorn (1860-1920), qui fut peintre, sculpteur, graveur, fut aussi l’autre figure centrale de la peinture suédoise du tournant du XIXe et du XXe siècle.
– Du 15 septembre 2017 au 22 janvier 2018. Impressionnistes de la Collection Ordrupgaard, Cézanne, Sisley, Monet, Gauguin, Renoir, au musée Jacquemart-André.
Paul Cézanne (1839-1906), Baigneuses, vers 1895, huile sur toile, 47 x 77 cm © Ordrupgaard, Copenhague / Photo Anders Sune Berg
Pour la première fois à Paris, une des plus importantes collections d’art français des XIXe et XXe siècles.
– Du 20 septembre 2017 au 8 janvier 2018. Le Verre, un Moyen Age inventif, au Musée de Cluny, musée national du Moyen Âge.
– Du 21 septembre 2017 au 20 mars 2018. Le dessin de plein air dans la première moitié du XIXe siècle, au musée du Louvre.
– Du 21 septembre 2017 au 29 janvier 2018. Irving Penn, au Grand Palais.
Le photographe américain Irving Penn (1917-2009) s’est rendu essentiellement célèbre pour ses photos de mode, de beauté, mais également pour ses natures mortes et ses portraits.
Élégante simplicité et rigueur remarquable de son travail, du studio jusqu’au tirage auquel il accordait un soin méticuleux. Fidèle à la photographie de studio, il parvenait à créer, pour chaque portrait à réaliser, une véritable intimité avec son modèle.
En partenariat avec le Metropolitan Museum de New York, le Grand Palais célèbre ses portraits de personnalités majeures : Pablo Picasso, Yves Saint Laurent, Audrey Hepburn, Alfred Hitchcock...
– Du 22 septembre 2017 au 21 janvier 2018. Pop Art, au musée Maillol.
Une sélection d’une soixantaine d’œuvres essentielles du Pop Art, trésors du Whitney Museum : Robert Rauschenberg, Jasper Johns, Claes Oldenburg, Tom Wesselmann, James Rosenquist, Alex Katz, Andy Warhol, bien sûr, sans qui... et des peintures de Jim Dine et de Roy Lichtenstein.
– Du 26 septembre au 26 novembre 2017. Jean Rouch, à la BnF, site Mitterrand.
Figure singulière du paysage intellectuel français de l’après-guerre, il aurait eu 100 ans en 2017. Sa vie et l’ensemble de son œuvre cinématographique et ethnographique.
– Du 26 septembre 2017 au 14 janvier 2018. Chrétien d’Orient, 2000 ans d’histoire, à l’ Institut du monde arabe.
– Du 27 septembre 2017 au 4 mars 2018. René Goscinny, au-delà du rire (1926-1977), au musée d’art et d’histoire du judaïsme .
À l’occasion de la commémoration des 40 ans de sa disparition, une importante exposition avec plus de 200 pièces dont 50% n’ont jamais été montrées.
– Du 27 septembre 2017 au 2 juillet 2018. Théâtre du pouvoir, au musée du Louvre, Petite Galerie du Louvre.
Gouverner, c’est se mettre en scène pour assoir son autorité, sa légitimité et son prestige. L’art, au service des commanditaires mécènes, devient alors instrument de propagande ; il peut également se faire contestataire et bousculer l’ordre établi.
Octobre
– Octobre 2017. Musée Saint Laurent. Ouverture.
– D’octobre 2017 à septembre 2018. Parcours rétrospectif de l’œuvre de Saint Laurent, au musée Saint Laurent Paris.
– Du 1er octobre 2017 au 30 mars 2018. Georges-Henri Pingusson, le modernisme transcendé, à la Cité de l’Architecture.
– Du 3 octobre 2017 au 28 janvier 2018. Gabon, au au musée du Quai Branly.
André Derain. L’Estaque route tournante, 1906. Huile sur toile, 129,5 × 195 cm, Museum of Fine Arts, Houston.
– Du 4 octobre 2017 au 29 janvier 2018. André Derain, 1904-1914, la décennie radicale, au Centre Pompidou, Galerie 2, Niveau 6.
Souvent moteur, théoricien et intellectuel dans l’éclosion du fauvisme, du cubisme et d’un retour précoce au réalisme, l’œuvre d’avant-guerre d’André Derain fascine par sa très grande inventivité, sa richesse, sa radicalité et son audace.
– Du 4 octobre 2017 au 7 mars 2018. Goscinny et le cinéma : Astérix, Lucky Luke & Cie, à la Cinémathèque.
Pour le versant cinéma...
– Du 4 octobre 2017 au 15 janvier 2018. Rubens, portraits princiers, au musée du Luxembourg.
Portrait équestre du duc de Lerme huile sur toile, 290,5 × 207,5 cm, 1603, Musée du Prado (Madrid)
Pierre Paul Rubens (1577-1640) est un peintre baroque flamand, qui, à la tête d’un important atelier, produisit une œuvre considérable : grands projets religieux, peintures mythologiques, historiques. Il fit des portraits de princes, ceux-ci appréciant sa compagnie, pour son érudition et le charme de sa conversation. Eut-il un rôle de diplomate ? D’espion ?
Autour des portraits de Charles Quint, Louis XIII ou Marie de Médicis réalisés par Rubens et par quelques-uns de ses célèbres contemporains (Pourbus, Champaigne, Velázquez, Van Dyck...), l’exposition laisse entrevoir certaines des intrigues diplomatiques du XVIIe siècle.
– Du 7 octobre 2017 au 7 janvier 2018. Mariano Fortuny, au musée Galliera.
Une rétrospective, à travers une centaine de pièces issues du fonds Galliera et du Museo del Traje à Madrid. Diversité d’inspirations (Grèce antique, Moyen-Âge, Renaissance) et talents d’inventeur (la robe "Delphos", en soie unie si finement plissée, se range en boule et retrouve toute sa fluidité une fois dépliée).
Fortuny magnifie chaque coupe de tissu en une pièce unique aux subtils jeux de lumière. Parmi les robes (que portèrent la comtesse Greffulhe et sa fille Elaine, Eleonora Duse, Isadora Duncan), ses savantes impressions à base de poudres métalliques sur velours de soie rendent hommage aux influences byzantines, japonaises, persanes et sont autant d’interprétations de sa collection particulière de textiles et de brocards anciens célébrée par Marcel Proust.
– Du 10 octobre 2017 au 11 février 2018. Picasso 1932. Année érotique, au musée Picasso.
Présentation de chefs-d’œuvre essentiels dans la carrière de Picasso comme Le Rêve et de nombreux documents d’archives.
L’exposition invite le visiteur à suivre au quotidien, par un parcours rigoureusement chronologique, la production d’une année particulièrement riche. Comme si, selon l’artiste, « l’œuvre que l’on fait est une façon de tenir son journal  ».
– Du 10 octobre 2017 au 7 janvier 2018. Tahar Ben Jelloun, à l’ Institut du monde arabe.
– Du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018. Gauguin, l’alchimiste, au Grand Palais.
Paul Gauguin (1848-1903), peintre postimpressionniste, est considéré comme le chef de file de l’École de Pont-Aven, l’inspirateur des nabis, et l’un des artistes français majeurs du XIXe siècle.
Cette exposition retrace son étonnante carrière et ses explorations des arts les plus divers : peinture, dessin, gravure, sculpture, céramique, etc.
Les chefs-d’œuvre réunis mettent en avant le travail de Gauguin sur la matière et son processus de création, une œuvre peuplée de répétition de motifs et de thèmes récurrents.
– Du 11 octobre 2016 au 28 janvier 2018. Dans la peau d’un soldat. De la Rome antique à nos jours, au musée de l’Armée.
– Du 11 octobre 2017 au 5 mars 2018. Être moderne : le MoMA à Paris, à la Fondation Louis Vuitton.
Une sélection de 200 œuvres (Beckmann, Calder, Cézanne, Duchamp, Evans, Johns, Klimt, Kusama, Magritte, Picasso, mies van der Rohe, Stella, Signac...), choisies dans 6 départements du musée et reflétant l’historique de ses collections : peintures, sculptures, dessins, estampes, photographies, films, œuvres numériques, performances, objets d’architecture et de design.
– Du 13 octobre 2017 au 28 janvier 2018. Barbara, au Philharmonie.
– Du 18 octobre 2017 au 29 janvier 2018. Dessiner en plein air. Variations du dessin sur nature dans la première moitié du XIXe siècle, au musée du Louvre. Rotonde Sully.
Quand le dessin sur nature se définit progressivement comme une œuvre en soi, une œuvre achevée ayant sa propre justification, sa propre finalité.
– Du 17 octobre 2017 au 19 février 2018. DADA et l’art africain, au musée de l’Orangerie.
– Du 17 octobre 2017 au 21 janvier 2018. Albert Renger-Patzsch. Les choses, au musée du Jeu de Paume.
Ce photographe allemand (1897-1966) serait l’une des plus influentes figures de l’histoire de la photographie du XXe siècle. Son œuvre nous invite à réfléchir sur le nature de la photographie et sur son potentiel artistique et spéculatif dans les problématiques actuelles de l’art.
– Du 17 octobre 2017 au 21 janvier 2018. Ali Kazma. Souterrain, au musée du Jeu de Paume.
Partout dans le monde, cet artiste turc filme et photographie les situations, les lieux, et les structures qui montrent la capacité de l’homme à transformer le monde. Avec des questions fondamentales sur l’activité humaine dans les domaines économique, industriel, scientifique, médical, social et artistique.
– Du 17 octobre 2017 au 19 août 2018. Effets spéciaux. Crevez l’écran !, à la Cité des Sciences et de l’industrie.
Supers héros, monstres et science-fiction... des effets à vous laisser sans voix.
– Du 18 octobre 2017 au 15 janvier 2018. François 1er et l’art des Pays-Bas, au musée du Louvre. Hall Napoléon Bas.
Le Portrait de François Ier, roi de France (1494-1547). Détail. Musée du Louvre
François Ier fut à son époque un mécène pour l’art italien mais il facilita aussi l’implantation en France d’artistes originaires des Pays-Bas, dont Jean Clouet et Corneille de La Haye dit Corneille de Lyon spécialisés dans le portrait...
– Du 18 octobre 2017 au 26 février 2018. Enquêtes vagabondes, Félix Regamey et Émile Guimet en Asie, au musée Guimet.
– Du 18 octobre 2017 au 22 janvier 2018. Images birmanes. Trésors photographiques du Mnaag, au musée Guimet. Dans la bibliothèque historique du 2e étage.
– Du 18 octobre 2017 au 8 janvier 2018. Nalini Malani, au Centre Pompidou, Galerie du Musée et Galerie d’art graphique, Niveau 4.
– Du 20 octobre 2017 au 4 février 2018. Paysages français, une aventure photographique (1984-2017), à la BnF, site Mitterrand.
– Du 20 octobre 2017 au 21 janvier 2018. La Collection Marin Karmitz, étranger résident, à la Maison rouge.
Une autre collection privée.
– Du 20 octobre 2017 à février 2018. Sidibé (Malick). Mali Twist, à la Fondation Cartier.
Une grande exposition rétrospective en hommage au grand photographe malien disparu en avril 2016. À côté d’œuvres iconiques, pour la première fois un vaste ensemble de photographies vintage et de portraits d’une beauté intemporelle, retrouvés dans les archives de l’artiste.
– Du 20 octobre 2017 au 28 janvier 2018. Women House, à la Monnaie de Paris.
40 artistes femmes, entre genre et domicile.
– 21 octobre 2017. Institut suédois. Réouverture. Arts plastiques, design, mode, musique, photographie, littérature... ce petit bout de Suède en plein cœur du Marais permet de s’immerger dans la culture du pays.
– Du 21 octobre 2017 au 7 janvier 2018. Voyage d’hiver, au Château de Versailles .
Les jardins de Versailles s’ouvrent chaque année à un artiste contemporain. Après Jeff Koons, Joana Vasconcelos, Anish Kapoor… ce sont 12 artistes, chacun intervenant dans un bosquet sur le thème de la promenade, de la métamorphose de la nature au passage de l’automne à l’hiver, métaphore de notre propre métamorphose.
– Du 24 octobre 2017 au 27 janvier 2018. Picasso 1947. Un don majeur au Musée national d’Art Moderne, au musée Picasso.
L’Aubade. Pablo Picasso, 4 Mai 1942. Paris, Centre Pompidou – Musée national d’art moderne – Centre de création industrielle. Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais © Succession Picasso
Présentation des 10 œuvres iconiques offertes par Pablo Picasso au Musée national d’art moderne pour son inauguration en 1947. Des chefs-d’œuvre dont Atelier de la modiste (1926), La Muse (1935) ou L’Aubade (1942). Les œuvres sont accompagnées des archives et documents qui racontent leur création, leur acquisition et leur première exposition.
– Du 24 octobre 2017 au 25 février 2018. Les visiteurs de Versailles (1682-1789), au Château de Versailles .
– D’octobre 2017 à janvier 2018. La Figure du fou, au musée du Louvre. Hall Napoléon Haut.
– D’octobre 2017 à février 2018. Bourdelle et les dieux : le futur de l’Antique, au musée Bourdelle.
Novembre
– Du 14 novembre 2017 au 14 février 2018. Le Pérou avant les Incas, au musée du Quai Branly.
L’une des découvertes archéologiques de ces dernières années est la révélation de l’existence d’une civilisation antérieure aux Incas. Cette exposition retrace pas à pas la vie de cette civilisation. Les archéologues ont ainsi exhumés des temples et palais, places chargées de la symbolique du pouvoir ; mais également des tombes qui reflétaient les différents niveaux des strates de la société de l’époque.
La femme occupait également une place primordiale dans l’exercice du pouvoir de ces sociétés pré-Incas.
– Du 18 novembre 2017 au 3 mars 2018. Patrice Chéreau et l’opéra, à la bibliothèque-musée de l’Opéra Garnier .
Photographie de scène de Lulu, d’Alban Berg. Mise en scène de Patrice Chéreau, Opéra de Paris, 1979. Photo Daniel Cande, BnF, Arts du spectacle
À l’occasion de la reprise de De la Maison des Morts, de JanÃ¡Ä ek, en novembre 2017, l’œuvre de l’artiste pour la scène lyrique.
– Du 28 novembre 2017 au 25 février 2018. Degas Danse Dessin. Un hommage à Degas avec Paul Valéry, au musée d’Orsay.
Edgar Degas (1834-1917) Danseuses montant un escalier. Entre 1886 et 1890. Huile sur toile. H. 39 ; L. 89,5 cm. Paris, musée d’Orsay. Legs du comte Isaac de Camondo, 1911 © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Stéphane Maréchalle
L’amitié de plus de 20 ans de Degas et de Valéry donna lieu au texte Degas Danse Dessin, publié aux éditions Vollard en 1937, fil conducteur de cette exposition. À la fois intime et universel, il offre une évocation poétique et fragmentaire de la personnalité du peintre et de son art, et comme une méditation sur la création.
– De novembre 2017 à mars 2018. Entre Ciel et terre. Le globe et l’architecte, à la Cité de l’architecture.
– De novembre 2017 à février 2018. La Folie en tête. L’invention de l’art des fous, à la Maison de Victor Hugo.
Décembre
– Du 5 décembre 2017 au 29 avril 2018. Daho l’aime pop, au Philharmonie.
Le Poing
– Du 13 décembre 2017 au 23 mars 2018. César, la rétrospective, au Centre Pompidou. Galerie 1, Niveau6.
Cette rétrospective de cette figure majeure du Nouveau Réalisme réunit une centaine de ses œuvres venues du monde entier. Certains cycles méconnus, comme ceux des premières Venus, des sculptures de Plexiglas "enrubannées", des Championnes, à partir de carcasses automobiles, réalisées en 1986, de la Suite milanaise de 1998 constituent des ensembles qui ne furent encore jamais réunis.
– Du 8 février au 8 juillet 2018. Corot et la figure, au musée du Luxembourg.
Célébré pour ses paysages, il fut aussi un immense et moderne peintre de figures, particulièrement estimé de Degas.
– Du 2 mai au 29 juillet 2018. Kris Marker, à la Cinémathèque.
– Du 18 septembre 2018 au 6 janvier 2019. Picasso. Périodes bleue et rose, au musée d’Orsay.
Les musées d’Orsay et Picasso-Paris, associés pour une exposition-événement consacrée aux périodes bleue et rose de Pablo Picasso, qui ont vu éclore tant de chefs-d’œuvre, et furent particulièrement déterminantes dans la carrière de l’artiste.
– D’octobre 2018 à janvier 2019. L’Asie rêvée de Saint Laurent, au musée Saint Laurent Paris.
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Vous retrouvez comme chaque année dans PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z les différentes expositions annoncées par leurs établissements et musées.
Frederic Leighton (1830–1896) Crenaia, the nymph of the dargle, ca. 1880 Huile sur toile 76.2x26.7 cm Colección Pérez Simón, Mexico © Arturo Piera, Musée Jacquemart-André 09/13-01/14
Dans Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris ces mêmes expositions sont classées par dates.
Dans la série Toutes les expositions 2017-2018 dans les plus grands musées de Paris... lire également :
Au musée du Louvre, au Centre Pompidou, au Grand Palais, au musées d’Orsay et de l’Orangerie, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, au Jeu de Paume, au Palais de Tokyo, à la Bibliothèque nationale de France, au musée du Quai Branly, au musée des Arts décoratifs, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, au musée Guimet, au musée Galliera, et au Petit Palais.
Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.
Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et... nos préférences, car on ne se refait pas : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.
Vous pouvez consulter plus d’une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.
Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2017 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2016, 2015, 2014, 2013, 2012.
Nous vous proposons aussi une sélection de musées et d’expositions 2017 dans les villes françaises suivantes, que nous nous efforçons de tenir assez régulièrement à jour :
– Aix-en-Provence - Albi - Les Alpilles - Angers, - Angoulême - Antibes - Arles - Aubagne - Avignon : Saintes-Maries-de-la-Mer, L’Isle-sur-la-Sorgue - Bègles - Biarritz - Biot, - Blois - Bordeaux - Bourg-en-Bresse - Cagnes-sur-Mer, - Cannes, - Carcassonne - Dijon - Grasse- Grenoble - Hyères - Ile-de-France : Auvers/Oise, Boulogne-Billancourt, Bussy-Saint-Martin, Chamarande, Chantilly, Châtenay-Malabry, Compiègne, Écouen, Fontainebleau, Giverny, L’Isle-Adam, Jouy-en-Josas, Malmaison, Marne-la-Vallée, Meudon, Milly-la-Forêt, Noisiel, Pantin, Pierrefitte/Seine, Poissy, Pontoise, Royaumont, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, Saint-Denis, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Ouen-l’Aumône, Sceaux, Sèvres, Versailles, Vitry/Seine, Yerres - Le Cannet - Le Havre - Lens - Le Rayol - Le Canadel/Mer - Les Sables-d’Olonne - Libourne - Lille : Villeneuve d’Ascq, Roubaix, Tourcoing, Croix, Graveline, Cassel, Valenciennes - Lodève - Lyon - Marseille - Martigues - Metz - Monaco, - Montauban - Montpellier - Mougins, - Nantes - Narbonne - Nice - Nîmes - Ornans - Rennes : Landernau, Quimper - Rodez - Rouen - Saint-Étienne - Saint-Nazaire- Saint-Paul-de-Vence, - Saint-Tropez - Sérignan - Sète - Strasbourg - Toulon - Toulouse - Tours - Valence - Vallauris - Vence - Vendôme - Villeurbanne
Et juste des musées et expositions temporaires pour quelques villes étrangères : Amsterdam : Harlem, Rotterdam, La-Haye, Bois-le-Duc Berlin Bâle Bruxelles Genève Londres Madrid Milan, et Venise.
André Balbo
sources : visites, musées, presse...