Clubs, Discothèques, Paris 9e

Situé au cœur même de la capitale, à deux pas de l’Opéra Garnier et des Grands Boulevards, le Club Haussmann a élu domicile dans une ancienne banque des années 30. Sa salle principale de 500 m2 est surplombée d’une mezzanine de 200 m2 et d’une hauteur sous plafond de 8 mètres.
L’atmosphère qui se dégage du lieu rappelle son histoire ainsi que celle d’une époque où les vitrines des Grands Magasins éveillent toutes les envies et tous les désirs. Des grands bourgeoises aux ouvrières de la (…)

La nuit n’est jamais finie à Pigalle. La preuve, l’éphémère Fox Club a changé de trottoir et renaît sous le nom du Calamity Joe. Johanne, ex du Moune, est aux commandes de l’établissement.
Si le Calamity Joe est le samedi un club réservé aux filles qui aiment les filles, les autres soirs, hétéros et gays y sont les bienvenus. Bar à partir de 21h, le lieu fait scène ouverte le vendredi et club la nuit. La programmation est variée (house, disco, synth-pop), mais les synthés 80 y sont un (…)

Les fans d’electro se souviennent forcément du Folie’s Pigalle. Ce petit club situé sur la place Pigalle a accueilli à partir des années 1990 d’excellents DJs et organisait des afters mémorables. Puis les dimanches, un gay tea-dance métissé fit aussi son succès. Sa réputation a flanché il y a quelques années, la fréquentation y devenant douteuse et problématique.
La petite salle de spectacle (c’est un ancien théâtre) a réouvert ses portes sous le nom de Pigallion. La programmation de la (…)

Situé juste en face du café le Mansart, le Dandy est le tout dernier né des bars-clubs de Pigalle.
Lové dans une ancienne maison close, Le Dandy a l’allure d’un lupanard chic sur deux étages, aménagé comme un appartement : bar spacieux, chambre avec piano et lit, salon privé tenant lieu de fumoir.
Les soirées électro "Delirium Trémens" y ont fait leur pendaison de crémaillère le 27 octobre dernier et auront lieu tous les samedis. Des "papas" de la scène techno - SAN PROPER, MARC (…)

Certains d’entre vous se souviendront peut-être des after-parties (improbables mais inoubliables) du dimanche matin au Pigall’s dans les années 1990 ? Bien avant, ce lieu fut connu dans les années 1920 comme un cabaret surréaliste.
Depuis le début de l’année, le cabaret-club-music hall le "Rouge" l’a ressuscité. Le décor Années Folles est resté. La programmation s’annonce éclectique et rafraîchissante avec des scènes ouvertes pour les artistes de 20h à 23h. La nuit est réservée au (…)

Le Privilège, club "intime" situé sous le Palace, fut culte dans les années 80 et 90. Toute la scène artistique de l’époque y passait ses nuits : Yves Saint Laurent, Gainsbourg, Lagerfeld, Régine, Grace Jones, Kenzo, Pierre Bergé, Thierry Mugler, Rupert Everett pendant "les années Palace".
Tout comme le Palace, récemment restauré et redevenu un théâtre, le Privilège a été soigneusement redécoré, tout en gardant la célèbre fresque du peintre Garouste. C’est aujourd’hui à nouveau un (…)

Tomate, c’est le rendez-vous hystérique, déjanté et surtout happy des clubbers de la Capitale ! Les after-parties de qualité sont rares à Paris, alors voici une adresse à noter dans ses tablettes...
Entrée : 20€

Le lieu :
– nous sommes ici dans l’ancien hôtel particulier de la famille Halévy, construit à partir de 1867. Cette famille brillante compta des compositeurs, historiens, écrivains. L’hôte le plus célèbre de cet hôtel fut le compositeur Georges Bizet qui épousa Geneviève Halévy, fille du compositeur Fromental Halévy. Cette demeure incarne à merveille l’opulence et l’éclectisme du Second Empire.
– Les soirées :
Le Café Carmen est un lieu vraiment singulier dans Paris qui se loue pour (…)

En l’espace de deux ans, Confession a redynamisé les dimanches après-midi de la Capitale. Une fois par mois, Eric Lab & Michael Marx, les promoteurs de Butch et Home Deluxe, proposent cette soirée pas comme les autres. Ce rendez-vous dominical est suivi religieusement par toute une procession de clubbeurs, venant communier devant l’autel de la musique trance et progressive. La célébration est dirigée par le duo Godfathers Project, alias DJ Tommy Marcus & DJ Michael Marx. Ils y (…)

Le cabaret Chez Moune était le plus ancien cabaret lesbien de Pigalle, créé en 1936, à l’époque où le quartier était déjà un lieu de tolérance pour les homosexuels. Il était tenu par des femmes habillées pour l’occasion en hommes.
En 2009, il a changé de mains et est passé dans le giron de La Clique, société spécialisée dans l’événementiel avec des lieux comme l’hôtel Amour (9e), le Baron (8e) ou le restaurant la Fidélité (10e). C’est donc maintenant un club mixte qui privilégie une (…)