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DERNIERS JOURS des impressionnantes exposition et collection d’art contemporain chinois

À la Fondation Louis Vuitton.

Du 27 janvier au 2 mai 2016. Bentu, des artistes chinois dans la turbulence des mutations / Exposition, à la Fondation Louis Vuitton, Galeries 1, 2 et 3, rez-de-bassin.

Du 27 janvier au 5 septembre 2016. Art contemporain chinois / Un choix d’œuvres / Collection, à la Fondation Louis Vuitton. Galeries 4 à 10, niveaux 0, 1 et 2.


De l’art contemporain chinois

L’art chinois contemporain, qui ne comprend que les arts visuels, se distingue de l’art chinois moderne dans les années 1979-1984, après la révolution culturelle. Il recouvre l’ensemble des arts de culture chinoise, qu’il s’agisse du pays lui-même ou des représentants chinois de la diaspora à travers le monde.

Sous un régime politique assoupli par Deng Xiaoping, mais aussi gravement marqué par les manifestations d’étudiants de la place Tian’anmen d’avril à juin 1989, synonymes d’effervescence, de soif de davantage de démocratie, de liberté, puis de massacres et de violences contre les étudiants, les artistes chinois vont constituer des avant-gardes qui revêtiront plusieurs formes et courants artistiques.

Le Xiamen Dada, par exemple, créé en 1986 par Huang Yong Ping, établit des liens entre les créations de Chine et de l’Occident.

La ville d’origine de l’artiste en est l’éponyme, mais hommage est également rendu par ce nom au mouvement dadaïste. Par ailleurs, dada en chinois signifie "tonton", ce qui est plutôt affectueux. L’inspiration de ce mouvement puise aussi dans le taoïsme.

Huang Yong Ping, "100 Arms of Guan-Yin" 1997

Son caractère révolutionnaire n’échappera pas aux autorités, et il est rapidement interdit.

L’œuvre totémique de ce mouvement est la sculpture intitulée 100 Arms of Guan-Yin, qui adopte le principe du porte-bouteilles de Marcel Duchamp, avec des bras dont les mains tiennent des objets. Irrévérence, irrespect, mélange de cultures...

Une déclinaison de cette sculpture est présentée dans la Galerie 10/11 de la Fondation, à côté de l’arbre de Ai Weiwei.

Un autre mouvement, le Political Pop Art, mêle le style graphique du "réalisme socialiste" et de fortes images publicitaires (Coca-Cola ou Rolex). Son animateur en est l’artiste Wang Guangyi, dont la série "Great Criticism" place ouvriers ou soldats de propagande dans des contextes de marques célèbres.

Ainsi l’art contemporain chinois s’est-il de ces deux manières inscrit résolument dans un dialogue métissé entre cultures, en tricotant de manière assez adroite les influences de tous bords, et usant ainsi de significations aux multiples entrées.

Cet art se fera connaitre, notamment en Europe, avec l’exposition historique "Magiciens de la Terre" en 1989 (qui se tint pendant les massacres de la place Tian’anmen).

Participèrent à l’événement Huang Yong Ping, Gu Dexin et Yang Jiechang), quand l’Occident découvrait que des artistes existaient dans d’autres cultures qu’en Europe ou au États-Unis, ou avec "Alors, la Chine ?" en 2003 au Centre Pompidou (50 artistes chinois invités), ou en 2004 à Lyon, ou dans quelques Biennales de Venise.

"Magiciens de la Terre", en 1999, avait accueilli également près de 50 artistes chinois et participa grandement au lancement mondiale de la scène artistique chinoise.

Depuis quelques années, l’art contemporain chinois est devenu l’un des grands investissements financiers, tant pour les Chinois de l’intérieur, que pour ceux de la diaspora, pour de grands collectionneurs, d’anciens musées, de nouveaux et pour des fondations dans le monde entier.

Du fait de la terrible répression du Printemps de Pékin, une nouvelle diaspora avait poussé nombre d’artistes chinois vers les grandes métropoles mondiales, comme en France Huang Yong Ping et Shen Yuan, dont les œuvres mêlent culture chinoise et symboliques occidentales, bien qu’ils se considèrent simplement, l’un et l’autre, comme des artistes contemporains.

Li Chevalier (Shilan en Chinois), de cette même génération d’artistes, quitte la Chine en 1984. Malgré une formation artistique entièrement européenne, elle fera le choix d’un retour vers la singularité de l’Asie, proposant une peinture à encre de Chine sur toile dans un esprit expérimental, enrichi des pratiques artistiques du monde à laquelle elle a été confrontée.

Au début du XXIe siècle, méga expositions, Biennales et Triennales se succèdent en Chine (comme celles de Shangai, mais aussi de Chengdu, Guiyang, Guangzhou, Macao, Shenzhen et Pékin).

Toutes ces manifestations s’ouvraient à la globalisation, aux formes venues de l’Occident (installations et multimédia), ou aux styles occidentaux en peinture comme en sculpture. Initialement plutôt hostile à l’art contemporain, le gouvernement de la République populaire de Chine se posait dès lors comme l’organisateur de l’exportation de l’art contemporain chinois dans le monde, et cela à partir de 2000.

1/ Exposition Bentu / Des artistes chinois dans la turbulence des mutations

Du 27 janvier au 2 mai 2016

Bentu : la terre natale. Dans le champ de l’art contemporain chinois, ce terme ne renvoie nullement à une forme de nationalisme, mais recouvre un concept dialectique qui concilie le bentu "local" au bentu "global" dans un processus d’universalisme et de redécouverte critique de l’identité propre. Cette expression est au centre des réflexions des artistes, des critiques et des chercheurs en Chine aujourd’hui. Elle s’approcherait un peu du concept "glocal" dont on usa et abusa ici il y a quelques années.

Liu Shiyuan. From Happiness to Whatever. Courtesy de l’artiste. 2015. Tapis, enceintes. Dimensions variable. Courtesy of Leo Xu Projects, Shanghai. Liu Shiyuan, qui vit entre Pékin et Copenhague, emprunte son vocabulaire à la télévision, à Internet et aux objets du quotidien pour créer des collages, des installations, et des vidéos.

Avec cette œuvre, Liu Shiyuan brouille les frontières entre réalité et fiction. En accompagnement sonore de cette mosaïque de tapis si cosy qui recouvrent tout, du sol au plafond, une bande diffuse en continu informations, récits et publicités centrés sur la notion de bonheur. Ce confortable cocon présenté reste ouvert à une multiplicité de références culturelles et formelles...

L’exposition "Bentu" réunit douze artistes de différentes générations vivant en Chine continentale. La plupart vivent et travaillent à Pékin,
- comme Cao Fei (née en 1978 à Canton),
- Hao Liang (né en 1983 à Chengdu),
- Hu Xiangqian (né en 1983 à Guangdong),
- Liu Chuang (né en 1978 à Hubei),
- Liu Wei (né en 1972 à Pékin),
- Liu Xiaodong (né en 1963 à Liaoning),
- Tao Hui (né en 1987 à Chongqing),
- Xu Qu (né en 1978 à Nanjing).
- Liu Shiyuan (née en 1985 à Pékin, et mentionnée plus haut) vit et travaille à Pékin et Copenhague ;
- Qiu Zhijie (né en 1969 à Zhangzhou) vit et travaille à Pékin et Canton ;
- Xu Zhen (né en 1977 à Shanghai) et Yang Fudong (né 1971 à Pékin) vivent et travaillent à Shanghai.

https://youtu.be/Nax-UVBmbII

Exploitant un large éventail de techniques et d’outils, issus aussi bien d’une tradition et d’une culture locales que des technologies nouvelles les plus pointues, ces artistes révèlent les complexités d’une société chinoise en mutation permanente, et au prise avec une accélération... dont nous avons quelque difficulté à mesurer l’ampleur.

Leurs œuvres répercutent, gèrent et digèrent (ou pas) les nouvelles donnes de l’économie, de l’écologie et, parmi elles, la transformation des rapports ville/campagne. Les questions d’identité sont aussi récurrentes, capitales / provinces, villes / campagne, traditions / modernités, Chine / mondialisation.

Si ce choix n’offre un panorama ni exhaustif ni synthétique de la scène artistique chinoise, il met en revanche particulièrement bien en lumière le caractère protéiforme de sa production soumise à des évolutions extrêmement rapides, qui s’affirme moins à travers des courants que des individualités marquantes exceptionnellement fortes.

Xu Zhen, par exemple, qui s’est entouré de nombreux assistants, a créé l’entité artistique Madeln Company. Sous ce nom elle réalise sculptures et installations aux courts circuits culturels saisissants (Orient / Occident, passé / présent), se libérant en plus des notions de copie, de copyright, de notions de respect à l’œuvre et à l’original.

Ainsi juxtapose-t-il avec deux statues qu’il mêle et présente avec leurs backgrounds groupés, Le Gaulois blessé, du XIXe siècle, et la statue hellénistique Le Soldat de Marathon annonçant la Victoire, et cela en 5 exemplaires coexistants. L’œuvre complète s’appelle Eternity.

Pour Liu Xiaodong, les questions sont plurielles.

Liu Xiaodong (1963, Liaoning) My Egypt, 2010, huile su toile, 300 x 400cm.

Dans quels temps vivons-nous, s’interroge l’artiste comme le visiteur ?

Ceux des temples de civilisations anciennes, dans ce cas égyptiennes ? Ceux de nos ancêtres et mannes, dont on aperçoit un crâne en vanité ? Un temps contemporain ? Industriel, peut-être ?

De nos jours, les artistes chinois parcourent sans cesse en accéléré le monde. Ils sont au fait de toutes les techniques les plus avant-gardistes, et même semblent nouvellement éprouver le besoin d’effectuer un retour sur leur terre (Bentu), d’intégrer ses passés, son histoire, comme ils se positionnent aussi pour être parties prenantes des mutations en cours.

Cette première exposition dans une grande institution consacrée à l’art contemporain chinois en France depuis 10 ans (mais n’oublions pas le travail formidable réalisé ces dernières années par la galerie Paris Beijing), est coorganisée avec le Ullens Center for Contemporary Art de Pékin (UCCA à Pékin).

Lorsque ces œuvres seront progressivement enlevées, au plus tard au 2 mai, elles seront successivement remplacées par d’autres œuvres de la collection de la Fondation, si bien que, de ce début d’année jusqu’au mois de septembre, l’ensemble du lieu, toutes galeries confondues, sera exclusivement consacré à la Chine et à son art contemporain. Une aubaine.

2/ La Collection / Un choix d’œuvres chinoises

Du 27 janvier au 5 septembre 2016

Ai Weiwei, Tree, 2010. Tronçons de bois, 530 x 560 x 660 cm © Ai Weiwei, 2015. Courtesy de l’artiste et Lisson Gallery

Il s’agit d’une sélection de chefs-d’œuvre d’art contemporain chinois, de la collection de la Fondation Louis Vuitton, qui s’enrichira au fur et à mesure du départ des œuvres de l’exposition Bentu, d’autres pièces maîtresses de la collection.

Au niveau 2

+ Galeries 10 et 11. L’arbre, de Ai Weiwei (l’exposition "Er Xi" de certaines de ses œuvres monumentales se tient au Bon Marché du 16 janvier au 20 février 2016. Tiens, on reste dans le groupe !), les œuvres de Huang Yong Ping (qui est l’artiste invité à se confronter à la grande Nef du Grand Palais dans le cadre de l’exposition Monumenta 2016), et la tête de Bouddha de Zhang Huan.

Des œuvres monumentales et spectaculaires, empreintes d’une dimension contemplative, mixant et réinventant références orientales et occidentales.

Huang Yong Ping (1954, Xiamen), L’Arc de Saint-Gilles, 2015. Bois, fer, fibre de verre, poils de chien, feuille d’or. 156x448x70cm.

À la croisée de l’Orient et de l’Occident, les œuvres de Huang Yong Ping puise très librement dans des références bouddhiques, taoïstes et chrétiennes, comme dans d’autres propres à l’histoire de l’art et à la philosophie occidentale.

Ici, l’Arc de Saint Gilles s’inspire de la légende de cet ermite du VIIe siècle qui, retiré dans le Sud de la France, sauve une biche de la flèche du roi Flavius.

Dans le récit, en interceptant la flèche qui lui était destinée, et dans cette œuvre en sauvant l’animal en segmentant son corps en deux, laissant ainsi transparaître l’or intérieur de toute créature, une formidable richesse naturelle très largement dispensée dans tous les êtres vivants, une matière quasi mystique.

+ Galerie 9. Des peintures d’histoire de grand format de Yan Pei-Ming et de Zhang Huan utilisent un camaïeu de noir et de gris qui leur confère une dimension dramatique.

Au centre se dresse la sculpture de Xu Zhen, Eternity, qui superpose deux icônes : un Bodhisattva célèbre et la Victoire de Samothrace, cul par dessus tête, tous éléments bousculés et empilés.

Xu Zhen (1977, Shanghai). Eternity-Tianlongshan Grottoes Bodhisattva Winged Victory of Samothrace, 2013. Fibre de verre, acier, ciment, 626x460x230cm. Production Madeln Company.

Artiste, commissaire d’exposition, chef d’entreprise, ses œuvres questionnent avec ironie les différents comportements culturels, religieux ou consuméristes à l’échelle d’un monde globalisé.

Depuis 2013, les œuvres de la série Eternity fusionnent les chefs-d’œuvre des plus grandes civilisations dans un syncrétisme planétaire.

De gigantesques salades culturelles chargées certainement de nous faire toucher du doigt l’avancement approfondi et les conséquences d’une mondialisation déjà très largement instillée dans chaque parcelle de notre quotidien.

Zhang Huan (1965, Anyang), Sudden Awakening, 2006. Cendre et acier 70x78x100cm.

S’inspirant de son propre visage, Zhang Huan reproduit dans cette œuvre une tête de Bouddha aux yeux fermés et aux traits paisibles, incarnation de sagesse et de l’éveil au monde.

Animée perpétuellement par les volutes de la combustion d’encens, cette sculpture renvoie à la fois aux pratiques cultuelles et au caractère actif des performances, qui étaient précédemment au cœur du travail de l’artiste.

+ Galerie 8. Avec New, Xu Zhen transforme Guanyin, l’une des déesses les plus vénérées du panthéon bouddhique chinois, en digne figure à la fois du Pop Art américain ou des figurines religieuses vendues sur les marchés populaires en Inde, ici considérablement agrandie et colorisée. Jeff Koons ne serait pas très loin...

Xu Zhen, New, 2014 Acier inoxydable peint, 130 x 110 x 402 cm Production : MadeIn Company © Xu Zhen, 2015 Courtesy de l’artiste et Shanghart Gallery, Shanghai Photo : MadeIn Company

Au niveau 1

+ Galerie 5. 2 installations, Tonight Moon (2000) et New Women II (2014), de Yang Fudong, plongent le spectateur dans une atmosphère de rêverie.

À partir d’avril 2016, le cycle de 5 films noir & blanc Seven Intellectuals in a Bamboo Forest, du même artiste, est montré dans les galeries 1, 2 et 3.

+ Galerie 6. Cao Fei utilise dans ses vidéos d’animation, les codes de Second Life, en combinant différents univers issus de la culture pop et traditionnelle.

+ Galerie 7. My Ideal, de Zhang Xiaogang, se compose d’une peinture et de 5 sculptures.

Ce portrait familial et social reprend les différentes figures de la société chinoise, les thèmes de la mémoire et de l’identité individuelle dans le contexte du collectivisme chinois : ouvrier, paysan, étudiant, soldat et commerçant.

My Ideal représente 5 enfants nus jusqu’à la ceinture, habillés dans des costumes d’adultes. Ils incarnent les différentes carrières auxquelles les destinent leurs parents.

Au niveau 0

+ Galerie 4. L’installation Ten Thousand Waves de Isaac Julien, artiste britannique d’origine antillaise, rend hommage à la culture chinoise avec des références précises (calligraphie, cinéma des années 30, etc).

Elle a été conçue en collaboration avec d’autres grandes figures de la scène artistique chinoise.

Isaac Julien (1960, Londres), Ten Thousand Waves, 2010. Installation, film couleur, son. 49mn, 42s.

Impressionnante installation à la fois polyscénique et polyphonique mobilisant 10 écrans qui cernent et segmentent cette immense galerie.

L’œuvre croise le récit d’un fait divers impliquant des travailleurs chinois avec la légende chinoise de la déesse Mazu, interprétée par la vedette Maggie Cheung, image d’une Chine éternelle, qui flotte majestueuse loin au-dessus des orgueilleux buildings modernes, maternelle et sans jugement.

Regards des diasporas noires et asiatiques dans l’Angleterre des années Thatcher...

Fondation Louis-Vuitton, 8 av. du Mahatma Gandhi, Bois de Boulogne, 75116 Paris, 01 40 69 96 00, fondationlouisvuitton.fr, entrée 14€, ou 10, et 5, comprenant (le même jour) le Jardin d’Acclimatation. Ouvert de 12 à 19h lundi, mercredi et jeudi, nocturne le vendredi jusqu’à 23h, fermé le mardi. Métro Sablons, sortie Fondation Louis-Vuitton. Comptez 12 minutes de marche. Il n’y a pas encore de stations de taxis à proximité.
En périodes de vacances scolaires, les lundi, mercredi et jeudi de 10 à 20h, le vendredi de 10 à 23h.

Voir aussi Octobre 2016. Exposition de la collection Chtchoukine à Paris, un événement mondial ?


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Vous retrouvez comme chaque année dans LES GRANDES EXPOSITIONS 2016 à Paris de A à Z les différentes expositions annoncées par leurs établissements et musées.

Frederic Leighton (1830–1896) Crenaia, the nymph of the dargle, ca. 1880 Huile sur toile 76.2x26.7 cm Colección Pérez Simón, Mexico © Arturo Piera, Musée Jacquemart-André 09/13-01/14

Dans CALENDRIER 2016 des grandes expositions à Paris ces mêmes expositions sont classées par dates.

Nouvellement en ligne :
Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris
PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z

Dans la série Toutes les expositions 2016 dans les plus grands musées de Paris... lire également :
Au musée du Louvre, au Centre Pompidou, au Grand Palais, au musée d’Orsay, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, au Jeu de Paume, au Palais de Tokyo, à la Bibliothèque nationale de France, au musée du Quai Branly, au musée des Arts décoratifs, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain.

Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.

Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et... nos préférences, car on ne se refait pas : LA SEMAINE des expositions, musées, et galeries : que faire à Paris du....

Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2016 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2015, 2014, 2013, 2012.

Celui de l’exposition Bentu fait partie de la sélection 2016.

Nous vous proposons aussi une sélection de musées et d’expositions dans les villes françaises suivantes, que nous nous efforçons de tenir assez régulièrement à jour :
Angoulême - Arles - Avignon - Bordeaux - Dijon - Grenoble - Ile-de-France - Lens - Lille - Lyon - Marseille - Metz - Montpellier - Nantes - Nice - Ornans - Rennes - Rodez - Rouen, Le Havre - Saint-Étienne - Strasbourg - Toulouse - Tours

Et juste des musées et expositions temporaires pour quelques villes étrangères : Amsterdam, Berlin, Bâle, Bruxelles, Genève, Londres, Madrid, Milan, et Venise.

André Balbo

sources : Visite, Fondation Louis Vuitton, Wikipédia

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

lundi 6 mai 2019,    Expositions